ALARMANT
! ASNIERES ET PUTEAUX : MEME COMBAT DES MAIRES CONTRE LA LIBERTÉ
D'EXPRESSION
samedi 28 février 2004
Je
suis totalement solidaire du site asnierois.org
contre lequel le maire d'Asnières porte plainte pour diffamation...
pour des motifs franchement ridicules...
Tout est expliqué ici (ce lien est à faire passer le
plus largement possible...) :
http://www.asnierois.org/fw/html/modules.php?name=News&file=article&sid=85
En
s'attaquant à un petit site citoyen, formé d'une équipe
de bénévoles, plutôt qu'à une grosse rédaction,
défendue par des bataillons de juristes, le maire d'Asnières
n'est pas fou : il espère obtenir à très bon
compte un jugement favorable qui lui permettra ensuite de dire "vous
voyez, je suis une victime et c'est la justice qui le dit".
Il
faut se mobiliser contre ce genre d'attaque, car avec cette plainte
ce sont en réalité tous les sites citoyens qui sont
en danger. C'est en fait la liberté d'expression citoyenne
qui est visée par le maire d'Asnières... Nous sommes
bien placés à Puteaux pour savoir ce qu'il en est.
Nous devons être tous attentifs à sauvegarder cette liberté
très chèrement payée par nos aïeux.
Dans
un premier temps, disons au maire d'Asnières ce que nous pensons
de son action : lemaire@ville-asnieressurseine.fr
Christophe Grébert
PANNEAUX
D'EXPRESSION LIBRE : PUTEAUX NE RESPECTE PAS LA LOI
samedi 28 février 2004
L'affichage
sauvage, heureusement pour notre cadre de vie et plus globalement
pour l'environnement, est interdit dans nos villes. Cependant, pour
permettre aux organisations (syndicats, associations, etc...) de pouvoir
s'exprimer librement par voie d'affichage, la loi a prévu que
des "panneaux d'opinion" soient installés "sur
le domaine public". Les textes sont très précis.
Ils prévoient même un certain nombre de mètres
carrés de panneaux d'affichage par milliers d'habitants.
A Puteaux, qui compte 40.000 habitants, il en faudrait 27 m2. Où
sont-ils ? En avez-vous jamais vu dans votre quartier ? La réglementation
ne semble pas du tout appliquée par la mairie.
En cherchant bien, nous avons trouvé un panneau "d'expression"
sur l'une des façades de la maison des associations. Mais,
en fait, il semble avoir été posé après
la publication de notre article du 25 février ("à
Puteaux, on ne s'affiche pas") :
ce panneau fixé avec des fils
de fer contre un mur, cachant un boitier (EDF ou de Gaz ?), sans qu'aucun
arrêté n'ait été publié à
notre connaissance, est complètement illégal !!!!
Que
disent les textes en vigueur :
Article
L581-13 du code de l'environnement
"Le
maire détermine par arrêté et fait aménager
sur le domaine public ou en surplomb de celui-ci ou sur le domaine
privé communal, un ou plusieurs emplacements destinés
à l'affichage d'opinion ainsi qu'à la publicité
relative aux activités des associations sans but lucratif.
Aucune redevance ou taxe n'est perçue à l'occasion de
cet affichage ou de cette publicité.
En vue d'assurer la liberté d'opinion et de répondre
aux besoins des associations, les conditions d'application du présent
article sont fixées par décret en Conseil d'Etat en
fonction du nombre d'habitants et de la superficie de la commune.
Ce décret fixe une surface minimale que chaque catégorie
de communes doit réserver à l'affichage défini
à l'alinéa précédent.
Si dans un délai de six mois à compter de l'entrée
en vigueur de ce décret, le maire n'a pas pris l'arrêté
prévu au premier alinéa, le préfet, après
une mise en demeure restée sans effet durant trois mois, détermine
le ou les emplacements nécessaires. L'arrêté préfectoral
cesse de s'appliquer dès l'entrée en vigueur d'un arrêté
du maire déterminant un autre ou d'autres emplacements".
Décret
d'application n° 82-220 du 25 février 1982
"La
surface minimale que chaque commune doit, en vertu des dispositions
de l'alinéa 2 de l'article 12 de la loi du 29 décembre
1979, réserver à l'affichage d'opinion et à la
publicité relative aux activités des associations sans
but lucratif est la suivante :
4 mètres carrés pour les communes de moins de 2000 habitants
;
4 mètres carrés plus 2 mètres carrés par
2000 habitants au-delà de 2000 habitants pour les communes
de 2000 à 10000 habitants ;
12 mètres carrés plus 5 mètres carrés
pour 10000 habitants au-delà de 10000 habitants pour les autres
communes" .
"Le
ou les emplacements réservés à l'affichage d'opinion
et à la publicité relative aux activités des
associations sans but lucratif doivent être disposés
de telle sorte que tout point situé en agglomération
se trouve à moins d'un kilomètre de l'un au moins d'entre
eux.
Lorsqu'ils sont situés dans une zone de publicité restreinte,
ces emplacements doivent être conformes aux prescriptions définies
par l'acte instituant cette zone et applicable à la publicité.
Leur surface totale ne peut toutefois pas être inférieure
à 2 mètres carrés".
Nous
demandons à la mairie d'appliquer et de respecter les lois,
ainsi que l'esprit des lois de la République et de la démocratie...
Nous verrons qui s'affiche sur ces panneaux et de quelle manière.
Tous les citoyens -désormais éclairés- pourront
juger sur pièce.
CG
INCENDIE
A BOIELDIEU : 10 VOITURES DÉTRUITES
vendredi 27 février 2004
Un incendie a éclaté dans la nuit de jeudi à
vendredi dans les sous-sols de la résidence Boieldieu. Une
dizaine de voitures ont été complétement détruites.
Et une trentaine d'autres abîmées. L'origine du sinistre
reste pour le moment indéterminée. Des analyses sont
en cours.
CANTONALE
A PUTEAUX : 5 CANDIDATS DÉJÀ DÉCLARÉS
vendredi 27 février 2004
Hier, au premier jour de dépôt de candidature pour les
cantonales des 21 et 28 mars, 5 candidats ont été enregistrés
par la préfecture pour le canton de Puteaux (par ordre alphabétique)
:
- Pierre
Aubry, "divers droite"
- Charles Ceccaldi-Raynaud, UMP
- Nadine Jeanne, Parti Socialiste
- Bruno Ligonie, Front National
- Christian Renard, Parti des travailleurs
2 autres candidats doivent encore déposer un dossier : Brigitte
Cassigneul pour les Verts... et Annick Herbin pour le PC.
Ce qui
fera 7 candidats en tout sur le canton de Puteaux... sauf surprise
de dernière minute : les candidats ont jusqu'au jeudi 4 mars,
à midi, pour se déclarer.
CANTONALE
A PUTEAUX : UN CANDIDAT DE DROITE SE PRÉSENTE FACE A CHARLES
CECCALDI
jeudi 26 février 2004
Les candidats aux élections cantonales des 21 et 28 mars ont
commencé aujourd'hui à déposer en préfecture
leur dossier de candidature. Pour Puteaux, notre sénateur-maire
(à 78 ans, il n'a pas peur de cumuler les mandats) devrait
se présenter, mais sous la seule étiquette UMP. En effet,
il ne pourra pas se prévaloir du soutien de l'UDF. Comme l'a
révélé ce matin Le Parisien, la formation centriste
refuse de lui accorder son investiture. "Charles Ceccaldi-Raynaud,
le sénateur-maire UMP de Puteaux, ne devra compter que sur
lui-même et sa famille politique dans sa campagne des cantonales"
commente le quotidien dans son édition
des Hauts-de-Seine.
Plus
grave pour Charles Ceccaldi, pour la première fois depuis bien
longtemps, il ne sera pas seul à droite à solliciter
les voix des Putéoliens : Pierre Aubry, du "Rassemblement
Social et Libéral" (un petit mouvement d'inspiration libérale),
a dans la journée déclaré sa candidature. Ce
juriste de 38 ans avait créé la surprise lors du premier
tour de la cantonale partielle de novembre
2002 en obtenant -sans avoir mené de véritable
campagne- 7,5% des suffrages.

Cette fois-ci, Pierre Aubry ne se présente pas sous l'étiquette
"RSL", mais "divers droite". En 2002, il n'avait
pas caché son intention de s'installer à Puteaux pour
longtemps.
On peut
penser que cette candidature, qui tombe en même temps que le
refus de l'UDF de soutenir Charles Ceccaldi, a reçu l'appui
au moins implicite de certains responsables de la droite départementale.
On imagine mal en effet ce jeunot en politique débarquer dans
un bastion comme Puteaux sans parrainage...
Nicolas Sarkozy doit lui annoncer publiquement ce soir sa propre candidature
sur le canton de Charles Pasqua, à Neuilly... Le 92 est en
train de changer de main. Chacun va devoir très vite se repositionner.
Charles Ceccaldi a comme d'habitude devancé l'appel en laissant
diffuser dernièrement par ses supporters des tracts rappelant
le passé de Charles Pasqua "créateur du Sac".
Mais cela suffira-t-il pour que son clan survive ? Charles Pasqua
était le dernier à le soutenir encore dans la coulisse...
A une petit échelle, la situation de Puteaux ressemblera-t-elle
à celle de Paris : la droite a en partie perdue la capitale
de la faute d'un clan (Tibéri&co) qui -jusqu'à la
défaite finale- a refusé d'abandonner le pouvoir et
de passer la main. A la gauche putéolienne de trouver son propre
Delanoë !!!
A gauche
justement, un nouveau petit candidat s'est déclaré aujourd'hui
: Christian Renard, du Parti des Travailleurs. Il s'ajoute à
une liste déjà longue : Nadine Jeanne du PS, Annick
Herbin du PC et Brigitte Cassigneul des Verts.
LES
BREVES DE PUTEAUX ET DU 92
mercredi 25 février 2004
- Reine Denoulet, notre discrète conseillère
générale, ne se représentera pas en mars prochain,
annonce www.actualites92.com.
Mais plus intéressant, c'est le groupe politique auquel Reine
Denoulet est attachée, d'après ce site bien informé
: le RPF de Charles Pasqua, et non pas l'UMP !!! Ainsi donc les électeurs
de Puteaux auraient été trompés sur l'origine
de la marchandise...

- A
Puteaux, on ne s'affiche pas... Certains nouveaux candidats
en campagne électorale sur Puteaux s'étonnent que notre
ville soit la seule de la région à faire l'impasse de
ces espaces d'expression que sont les panneaux d'"affichage libre".
Il en existe à Suresnes, Nanterre, Courbevoie, St Cloud, Rueil,
etc... Encore une fois, la ville de Puteaux se distingue. Et cela
fait dramatiquement 33 ans (dans quelques jours) que cela dure !
- Les
risques industriels dans notre département en débat
à La Défense... 990 sites industriels à
risques – dont 9 de type SEVESO – sont implantés
dans les Hauts-de-Seine. La centrale thermique de La Défense
illustre parfaitement les risques industriels que ces types d’installations
font courir aux populations.
Pour dénoncer les dangers liés à ces types d’activités
industrielles et obtenir la cessation des activités incriminées
au plus vite, les Verts organisent une action le lundi 01 mars. Toute
la journée des parapluies verts symbolisant le principe de
précaution seront déployés par les participants.
A 15h, un rassemblement aura lieu devant la Préfecture des
Hauts-de-Seine.
A 15h45, un cortège emmené par Francine Bavay, tête
de liste Verts / PS / PRG / MRC des Hauts-de-Seine sur la liste régionale
de Jean-Paul Huchon, Estelle Le Touzé, candidate des Verts
aux cantonales à Nanterre, Joëlle Paris, candidate des
Verts aux cantonales de Courbevoie et Vincent Gazeilles, Conseiller
général des Hauts-de-Seine sillonnera les abords de
la centrale thermique.
A 16h30, les candidates rencontreront les familles devant les écoles
et se dirigeront vers l’esplanade de La Défense.
A 17h30, Yves Cochet, ancien Ministre de l’environnement, rejoindra
les élus pour une réunion publique sur le thème
« Risques industriels : principe de précaution
ou politique de fatalité ? » qui aura lieu
au Café Malongo sur l’esplanade de La Défense.
D’autres élus et associations sont également invités
à participer au débat.
-
Le dernier arrêté du maire sur le "sport
libre de Puteaux". En date du 12 janvier, cet arrêté
précise que pourront obtenir la "carte omnisports",
qui permet d'accéder aux clubs sportifs de la ville, les "adultes
résidant hors de la commune ayant été scolarisés
à Puteaux ou ayant pratiqué longtemps le sport à
Puteaux ou faisant état d'un lien familial avec des personnes
de Puteaux pratiquant le sport ou tout autre demandeur habitant à
proximité dans l'hypothèse et la limite de places disponibles
et après agrément des demandes provenant de personnes
demeurant dans la commune". Quand on peut compliquer, pourquoi
faire simple !
MONPUTEAUX
SUR LA PLANÈTE WEB
vendredi 20 février 2004
La ville de Puteaux est en train de devenir une véritable référence
sur le web français ! Une référence positive,
pour les uns : ou comment un simple citoyen peut influer sur le débat
local en animant un site internet... Une référence négative,
pour les autres : ou comment une majorité municipale effrayée
par la liberté de ton de cet internaute insolant perd tout
sens démocratique... en insultant, menaçant et harcelant
celui-ci.
L'histoire de MonPuteaux fait donc petit à petit le tour de
la planète web... et cela ne fait que commencer...
Quelques propositions de lecture :
- MonPuteaux.Com
un site web d'excellence... Champagne !!! sur
Fromage&Vin
- Christophe
Grébert webloggue sur Puteaux sur TBYM
- Echange
avec MonPuteaux.com sur Flecam
QUAND
BRUNO MÉGRET INVOQUE PUTEAUX POUR SE FAIRE ELIRE
vendredi 20 février 2004
Nous l'avons lu dans les journaux : Bruno Mégret, qui avait
l'intention de se présenter en Champagne-Ardenne, est inéligible
dans cette région, selon le préfet. Pour être
candidat quelque part, il faut y avoir payé des impôts
l'année qui précède l'élection ou bien
y avoir sa résidence principale. Pour l'administration, le
président du MNR ne répond pas à ces conditions.
Ce dernier conteste et saisit le tribunal administratif de Châlons
qui doit statuer dans les prochains jours.
Et Bruno Mégret de faire référence à une
affaire similaire jugée par le Conseil d'Etat en 1996, qui
selon lui, vaut jurisprudence. Elle concerne un élu de Puteaux
-le Front National Bruno Ligonie- déclaré inéligible
par le tribunal administratif pour un problème de taxe d'habitation.
Le Conseil d'Etat avait finalement donné raison à cet
élu qui avait produit le contrat de location d'un studio conclu
le 14 décembre 1994 et enregistré à la recette
des impôts le 29 décembre suivant, juste avant l'année
des élections municipales.
Et devinez qui avait contesté l'élection de Bruno Ligonie
??? réponse : la mairie de Puteaux par la voix de son maire-adjoint
Gaston Garino... C'est donc "grâce" à ce dernier
que Bruno Mègret pourra peut-être se présenter
aux régionales !!!
LIRE
LA DÉCISION
DU CONSEIL D'ETAT
LE
CREDIT LYONNAIS OUVRE 2 AGENCES AU MEME CARREFOUR
jeudi 19 février 2004
Il y a quelques semaines, nous vous annonçions l'ouverture
d'une agence du "Crédit Lyonnais" à la place
d'un bar, au carrefour boulevard Richard Wallace/rue Jean Jaurès.
Puis, un peu plus tard, nous vous avons dit qu'une autre banque allait
s'installer de l'autre côté du trottoir, à la
place de la quincaillerie bien connue des vieux putéoliens.
En fait, ce sera aussi le Crédit Lyonnais. La banque au lion
occupera les 2 (superbes) emplacements !
A Puteaux, le petit commerce disparaît... et les agences bancaires
se multiplient...
F.
Des 2 côtés
de la rue, ce sera le Crédit Lyonnais...
EN
DIRECT DU CONSEIL MUNICIPAL
mercredi 18 février 2004
- Passerelle
Valmy : le maire introduit un recours devant le conseil d'Etat...
Charles Ceccaldi ne cède pas, c'est sa marque de fabrique,
jusqu'à l'absurde !!! Pour pouvoir construire une passerelle
entre le parvis de La Défense et le nouveau quartier de l'arche,
sur le territoire de Courbevoie, il faut survoler la rue de Valmy,
voie communale de Puteaux. Le maire depuis 6 ans s'y oppose. Pourquoi
? Lors du conseil du 9 février, il n'a pu fournir aucune réponse.
Finalement, en décembre, l'Etat a transféré la
rue de Valmy dans le domaine routier national, seul moyen de réaliser
la passerelle en se passant de l'autorisation de la municipalité
de Puteaux. Le maire a décidé d'introduire un recours
devant le conseil d'Etat contre cette décision du gouvernement
! Un avocat au conseil d'Etat et à la cour de cassation, maître
Denis Garreau, a été désigné pour défendre
les intérêts de la ville (sic). Il sera bien entendu
payé par nos impôts...
- Un nouvel éclairage pour le terrain de football...
L'actuel éclairage du terrain de l'île ne répond
plus aux normes exigées par la fédération française
de football. 28 projecteurs de 2.000 w vont être installés
pour un coût de 80.000 euros.
- La ville vend une résidence de vacances... "Les
Estaris" à Orcières Merlette a été
vendue 678.000 euros à un voisin... hôtelier de son état.
Une belle affaire pour lui...
- La
Shalp logée par la mairie... L'association historique et
culturelle, véritable monument de Puteaux (elle a été
créée en 1937 par la municipalité socialiste
d'alors), a obtenu un local de 25 m2 au palais des congrès.
L'imprimerie municipale lui fournira aussi gratuitement affiches,
programmes et invitations.
- Puteaux adhère à l'ACRENA... c'est l'association
des communes pour la réduction des nuisances aériennes.
Elle a pour objet de défendre la qualité de vie des
habitants de l'Ouest parisien menacée par les conditions de
survol des avions des aéroports de la région.
- Réaménagement de la rue Roque de Fillol... Le
marché a été attribué pour le réaménagement
de la voirie à l'entreprise Fayolle & fils pour 509.917
euros hors taxes et pour le rénovation de l'éclairage
à la société Satelec pour 176.977 euros hors
taxes. Le budget est bien inférieur à celui de la courte
rue de Brazza.
- Une fontaine devant la résidence des jeunes, rues Jean
Jaurès-Pavillons... L'avant projet vient d'être adopté
par le conseil municipal. Il prévoit l'installation de bancs,
d'arbres et de jardinière.
- 18.176.619 euros... soit 450 euros par Putéolien...
c'est le prix prévu pour le gros oeuvre du futur palais de
la médiathèque, îlot Montaigne. Le chantier sera
réalisé par l'entreprise Bateg d'Issy-les-Moulineaux.
LES
BREVES DE PUTEAUX ET DES ENVIRONS
mardi 17 février 2004
-
Puteaux na malheureusement pas le monopole des insultes...
Le procès en appel d'Annie Mandois contre Patrick Balkany,
pour diffamation et injure, se déroulera mercredi 18 février,
à 16h30, devant la 8ème chambre d'appel de Versailles.
- Que va faire la RATP des 13 doubles rames quelle a
commandé pour la ligne T2 du tramway si le maire nautorise
pas le chantier de création dun 2eme escalier en gare
de La Défense ? Ces nouvelles rames devaient commencer à
circuler en octobre prochain.
- 10 jours pour donner son sang. Du 16 au 28 février,
Les Quatre Temps accueillent lEtablissement Français
du Sang Île-de-France (EFS), pour une opération spéciale
de collecte de sang. Rendez-vous Place de lArc en Ciel
Niveau 1 du lundi au vendredi de 12h à 18h.
- Francine BAVAY, tête de liste Verts-PS-PRG du 92 aux
élections régionales tiendra une réunion publique
à Suresnes le JEUDI 4 MARS A 19h à l'Ecole Jules Ferry
(dans le bas de Suresnes, à deux pas de la mairie et de la
poste principale).
RUE
DELARIVIERE LEFOULLON : SON APPARTEMENT A ÉTÉ VIDÉ
PENDANT SON ABSENCE !
lundi 16 février 2004
Ce vendredi 13 ne lui a pas porté chance : Jérome, en
déplacement en province, reçoit un appel de son voisin
: "rentrez vite, des ouvriers sont en train de murer votre
logement !". Le soir, il retrouve sa porte défoncée,
à moitié murée (l'ouvrier n'a pas eu le temps
de finir le travail) et à l'intérieur : le vide ! Tous
ses meubles et ses affaires ont été déménagés...
Même le compteur d'eau a été embarqué !

Jérome
est l'un des habitants de la maintenant fameuse résidence du
10 Delarivière Lefoullon, où le nouveau propriétaire
semble user de méthodes plutôt expéditives pour
se débarrasser de ses derniers locataires !
Jérome
a porté plainte pour violation de domicile, dégradation
et vol. Le tout est passible de 2 ans de prison et de 30.000 euros
d'amende.

Dans
cette résidence, plusieurs petits vieux vivent encore dans
des conditions indignes. Il se dit qu'ils vont être relogés
à proximité dans un petit immeuble actuellement en chantier,
au 55 rue de la République. Effectivement, des travaux sont
en cours à cet endroit, mais sur la façade nous n'avons
trouvé aucun permis de construire. Et le bâtiment semble
bien petit et dégradé.

rue de la République
Tout cela est vraiment bizarre. J'invite les habitants du quartier
à s'alarmer un peu de cette situation....
CROTTE
ALORS !!!
lundi 16 février 2004
Dans la série "j'te mets des panneaux d'interdiction partout
et tant pis pour la facture"... A quoi ça sert de mettre
un distributeur à un endroit où les chiens n'ont pas
le droit d'aller ?

LES
BRÈVES DE CANTONALE
dimanche 15 février 2004
- La
campagne cantonale à Puteaux attire du beau monde : après
Robert Badinter la semaine dernière, Michèle Canet,
responsable du groupe socialiste au conseil général,
est venue soutenir Nadine Jeanne, dimanche matin sur le marché.
Les ceccaldistes se sont fait remarquer par leur absence... jusqu'aux
environs de 13 heures. Difficile de se réveiller le dimanche
matin...
- Le tract ceccaldiste ne fait pas dans la dentelle. Nous veillerons
comme d'habitude à accorder pendant cette campagne la parole
aux uns et aux autres... Remarquez le dernier tract ceccaldiste "Mensonges
socialo-communistes" ne leur fait-il pas plus de tort qu'autre
chose ? Je vous laisse juge :

vous aurez noté
la finesse et l'intelligence de la prose ceccaldiste
-
La liste parisienne de l'UMP pour les régionales écarte
les "fils et filles de...". Et si la droite faisait
pareil dans les Hauts-de-Seine... et surtout à Puteaux ???
- Les
membres de "Puteaux Alternative" ont distribué le
nouveau numéro de leur magazine, dimanche sur le marché...
"Nous avons besoin de vous, lance Puteaux Alternative, pour
faire entendre une expression démocratique et citoyenne plus
forte, pour ne pas laisser la politique (c'est à dire nos affaires)
entre les mains des seules forces politiques officielles, pour débattre
librement des problèmes de notre ville...".
- Brigitte
Cassigneul, la candidate Verte, était aussi présente
dimanche matin sur le marché.
- Les
communistes étaient eux présents en nombre la semaine
dernière. Leur candidate est Annick Herbin.
- A
droite, personne ne s'est encore déclarée contre le
maire... à l'exception de Bruno Ligonie, le candidat FN,
qui a ouvert son site internet de campagne.
RUE
VICTOR HUGO : LA MAIRIE EST EN TRAIN D'EXPULSER PLUSIEURS FAMILLES
vendredi 13 février 2004
Au début de la rue Victor Hugo, aux numéros 4, 6 et
8, la ville est en train de murer les immeubles (pour un nouveau projet
immobilier de très haut standing ??? on ne sait pas).
Au numéro 6, 3 familles avec des enfants, dont 1 bébé,
vivent dans un bâtiment que la ville laisse se dégrader.
Elle ne leur propose aucune solution de relogement. "Allez
retourner vivre dans votre famille" aurait-on répondu
à une maman. Des procédures "de reprise des
lieux pour impayés de loyers" ont été
engagés par la municipalité en octobre dernier pour
pousser à la porte ces habitants. Alors qu'une solution sociale
visiblement s'impose, la ville engage un bras de fer juridique avec
ces pauvres gens. Le résultat sera 3 nouvelles familles putéoliennes
à la rue... et une facture importante de procédures
indignes que nous contribuables payerons finalement. L'huissier a
déjà présenté 3 premières factures
pour un total de 2.300 euros, visées par les élus lors
du conseil municipal du 9 février ! Lors de ce conseil, une
demi douzaine d'autres procédures d'expulsion et de reprise
des lieux ont été communiquées... Est-ce normal
dans une ville riche comme Puteaux ? C'est bien beau d'offrir de la
galette à la moitié de la ville (lire le Puteaux infos
de février), mais quelle véritable politique sociale
mène-t-on derrière ? Combien de temps assisterons-nous
à l'épuration sociale de notre ville sans réagir
?
Christophe Grébert

Rue Victor Hugo,
le foyer du même nom, un pavillon occupé autrefois par
un restaurant, et un petit immeuble d'habitations sont condamnés
à la démolition. Là, plusieurs familles sont
menacées s'expulsion sans solution de relogement...
RUE
JEAN JAURÈS : LES PANNEAUX INUTILES
vendredi 13 février 2004
Qui a affirmé que l'on ne pouvait plus stationner rue Jean
Jaurès à cause des palmiers ! Les panneaux nous disent
pourtant le contraire :

Quelqu'un à la mairie peut-il nous dire à quoi servent
ces panneaux de stationnement payant dans une rue sans du tout de
place ?
Note
: aussitôt la publication de cet article les 2 panneaux ont
été retirés par les services municipaux. Un 3eme
panneau, à l'autre bout de la rue, a en revanche été
laissé ! CG
CHAUFFERIE
RUE ROQUE DE FILLOL : LE NUAGE DE FUMÉE EN VIDÉO
jeudi 12 février 2004
Une Putéolienne, qui "aspire à un air plus pur",
m'a envoyé cette petite vidéo du nuage de fumée
noire au-dessus de la chaufferie de la Soclip, rue Roque de Fillol.
Pour tous ceux qui trouvent que l'air est un peu pollué à
Puteaux !

LIRE LA VIDÉO
(FORMAT AVI , 1MO)
REVUE
DE PRESSE : APRÈS LA PERQUISITION DU BUREAU DE CHARLES CECCALDI
AU SÉNAT
jeudi 12 février 2004
Plusieurs
journaux publient ce matin des articles sur la perquisition réalisée
mardi (10 février) au bureau de Charles Ceccaldi au Sénat
:
-
LE PARISIEN (ÉDITION DES HAUTS-DE-SEINE) :
Puteaux
Le bureau du sénateur perquisitionné
UNE PERQUISITION a été menée mardi après-midi
au Sénat dans le bureau du sénateur-maire UMP de Puteaux
Charles Ceccaldi-Raynaud. Cette intervention des policiers s'est déroulée
sous la conduite d'un juge d'instruction de Nanterre qui enquête
sur l'attribution du marché de la chaufferie de La Défense
par un
syndicat que préside le maire de Puteaux. Plusieurs perquisitions
ont déjà été menées depuis le mois
de décembre aux différents domiciles de l'élu,
ainsi que dans son bureau de la mairie et dans celui de sa première
adjointe, qui n'est autre que sa propre fille.
Plusieurs documents, notamment des agendas, avaient alors été
saisis. Selon «le Monde», qui révèle l'information,
une perquisition au Sénat est «un événement
rarissime». Charles Ceccaldi-Raynaud n'a pas encore été
interrogé dans le cadre de cette information judiciaire.
-
20 MINUTES :

Lire l'article
en ligne
PERQUISITION
AU SÉNAT DANS LE BUREAU DE CHARLES CECCALDI (LE MONDE)
mercredi 11 février 2004
Le bureau de Charles Ceccaldi au Sénat a été
perquisitionné, hier (mardi 10 février), par la juge
d'instruction Isabelle Prévost-Desprez. Une perquisition au
palais du Luxembourg est un fait rare : c'est une première
depuis 10 ans. La magistrate poursuit ses investigations sur des irrégularités
dans l'attribution de marchés publics. L'affaire est révélée
à la une du journal LE MONDE publié cet après-midi
(daté du jeudi 12 février 2004) et l'AFP et Reuters
ont publié des dépêches :

"MARCHÉS
PUBLICS DES HAUTS-DE-SEINE : PERQUISITION AU SÉNAT DANS LE
BUREAU DE M. CECCALDI-RAYNAUD". PUBLIÉ
DANS LE JOURNAL LE MONDE DATÉ DU JEUDI 12 FÉVRIER 2004
L'initiative a provoqué un certain émoi au
palais du Luxembourg : mardi 10 février, la juge du tribunal
de Nanterre (Hauts-de-Seine) Isabelle Prévost-Desprez a conduit
une perquisition dans le bureau du sénateur (UMP) et maire
de Puteaux, Charles Ceccaldi-Raynaud. Cette perquisition au Sénat
- un événement rarissime - s'est déroulée
en présence d'un représentant du conseil de l'ordre
des avocats, M. Ceccaldi-Raynaud étant lui-même avocat.
En revanche, aucun magistrat du parquet n'était présent.
Des représentants des questeurs et du président du Sénat,
Christian Poncelet, ont également assisté à la
perquisition, en vertu des pouvoirs de police dont dispose le président
dans les locaux du Sénat.
Mme Prévost-Desprez avait prévenu la présidence
du Sénat la semaine dernière de son intention de se
rendre, mardi, au palais du Luxembourg. Les services de M. Poncelet
s'étaient ensuite renseignés auprès de la chancellerie
qui a
rapidement fait savoir que les bureaux des sénateurs ne bénéficiaient
d'aucune forme d'immunité. En revanche, comme tous les parlementaires,
qu'ils soient sénateurs ou députés, M. Ceccaldi-Raynaud,
qui n'a pas encore été interrogé dans cette enquête
portant sur des irrégularités commises lors de l'attribution
de marchés publics, ne peut être l'objet d'aucune mesure
coercitive (garde à vue, contrôle judiciaire...).
Isabelle Prévost-Desprez avait déjà mené,
le 14 janvier, une très longue perquisition à la mairie
de Puteaux. La magistrate s'était rendue dans le bureau du
maire, où elle avait saisi plusieurs agendas, de même
que dans le
bureau de la première adjointe, qui n'est autre que la fille
de M. Ceccaldi-Raynaud, Joëlle.
Au mois de décembre 2003, la magistrate s'était rendue
au domicile parisien de M. Ceccaldi-Raynaud, ainsi que dans sa résidence
secondaire en Corse.
Son cabinet d'avocat, dans le 17e arrondissement de Paris, avait également
été perquisitionné. Ces différentes opérations
avaient alors été confirmées par le parquet de
Nanterre. Pourtant, Charles Ceccaldi-Raynaud, interrogé le
17 décembre 2003 par l'Agence France-Presse, avait affirmé
que ces perquisitions n'avaient pas eu lieu "à -sa- connaissance".
Cette affaire retient toute l'attention du ministère de la
justice, mais aussi du ministère de l'intérieur. Car
le maire (depuis 1969) de Puteaux, âgé de 78 ans, est
un proche de Nicolas Sarkozy. Il l'avait remplacé à
l'Assemblée nationale entre 1993 et 1995, lorsque ce dernier
était ministre du budget. Et c'est Joëlle Ceccaldi-Raynaud
qui siège depuis 2002 à l'Assemblée en lieu et
place du ministre de l'intérieur, dont elle était la
suppléante, dans la 6e circonscription des Hauts-de-Seine,
lors des dernières élections législatives.
La juge Prévost-Desprez instruit deux enquêtes susceptibles
d'inquiéter le maire de Puteaux, en sa qualité de président
du Syndicat de chauffage urbain de la Défense (Sicudef), qui
regroupe les communes de Courbevoie, Nanterre et Puteaux. La première,
ouverte mi-2002 pour "corruption" à la suite d'un
rapport de la direction générale de la concurrence,
de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF),
recoupe largement la seconde, déclenchée début
2003 pour "abus de biens sociaux" et qui s'est essentiellement
nourrie des déclarations d'un conseiller financier basé
au Luxembourg.
Selon cet ancien analyste financier, plusieurs marchés importants
passés par le Sicudef l'auraient été en contravention
avec les procédures d'appel d'offres. Ils pourraient avoir
donné lieu au versement d'importantes
commissions. Dans une lettre adressée début 2003 au
parquet de Nanterre, ce témoin évoquait notamment le
versement, en France, de "rétrocommissions" à
hauteur de 100 millions de francs.
Le Sicudef gère notamment la centrale de la Défense,
qui dessert le plus grand réseau de France, fournissant chauffage
et climatisation à près de 90 immeubles de bureaux,
9 800 logements et une quinzaine d'écoles et de commerces,
le tout réparti sur onze communes.
Fabrice Lhomme
-
DEPECHE AFP :
Perquisition
mardi au bureau de M. Ceccaldi-Raynaud au
Sénat
PARIS, 11 fév (AFP) - Une perquisition a été
effectuée mardi après-midi au Sénat dans le bureau
de Charles Ceccaldi-Raynaud, sénateur-maire (UMP) de Puteaux
(Hauts-de-Seine), a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Cette perquisition, révélée par le journal Le
Monde, s'est déroulée sous la conduite d'Isabelle Prévost-Desprez,
juge d'instruction à Nanterre, dans le cadre d'une information
judiciaire portant sur le marché de la chaufferie de la Défense
attribué par un syndicat présidé par le maire
de Puteaux.
En décembre, plusieurs perquisitions, s'étaient déjà
déroulées au domicile de M. Ceccaldi-Raynaud, sous le
contrôle du juge Prévost-Desprez, dans le cadre de cette
information judiciaire.
pb-pmg/bp/bg AFP 111210 FEV 04377
-
DEPECHE REUTERS :
Hauts-de-Seine/Marchés-Perquisition au bureau d'un sénateur
UMP
PARIS,
11 février (Reuters) - La juge Isabelle Prévost-Desprez
a conduit mardi une perquisition à Paris dans le bureau du
sénateur UMP Charles Ceccaldi-Raynaud, dans le cadre de l'affaire
des marchés publics des Hauts-de-Seine, a-t-on appris mercredi
de source judiciaire et auprès du Sénat.
Cette perquisiton au Sénat visant un proche du ministre de
l'Intérieur Nicolas Sarkozy est un événement
rarissime, souligne Le Monde dans son édition datée
du 12 février.
La dernière perquisition au Sénat remonte à 1994,
a-t-on précisé au service de presse de la haute assemblée.
Elle concernait alors le sénateur du Var Maurice Arreckx.
Un représentant du conseil de l'ordre des avocats a assisté
à la perquisition de mardi car Charles Ceccaldi-Raynaud est
lui-même avocat. Etaient également présents des
questeurs et un représentant du président du Sénat,
Christian Poncelet, qui dispose de pouvoirs de police dans les locaux
du Sénat.
Les sénateurs, comme les députés, ne peuvent
faire l'objet d'aucune mesure coercitive mais leurs bureaux ne bénéficient
d'aucune forme d'immunité.
En décembre 2003, la juge Prévost-Desprez avait déjà
effectué des perquisitions au domicile parisien de Charles
Ceccaldi-Raynaud ainsi que dans sa résidence secondaire en
Corse, selon des sources judiciaires. Le sénateur avait cependant
démenti ces opérations.
Un volet du dossier des marchés publics des Hauts-de-Seine
est susceptible de concerner le maire de Puteaux, 78 ans, en sa qualité
de président du syndicat de chauffage urbain.
Charles Ceccaldi-Raynauld avait remplacé Nicolas Sarkozy à
l'Assemblée nationale entre 1993 et 1995, lorsque ce dernier
était ministre du Budget.
Après la récente condamnation d'Alain Juppé,
président de l'UMP, dans l'affaire des emplois fictifs de la
mairie de Paris, plusieurs dossiers judiciaires menacent la majorité
d'autres tempêtes médiatiques.
Outre la poursuite de l'instruction pour les Hauts-de-Seine, le parquet
de Paris a requis mardi le renvoi devant le tribunal correctionnel
de 47 personnes dans l'enquête sur les marchés publics
du conseil régional d'Ile-de-France. Parmi elles figurent l'ancien
directeur de cabinet de Jacques Chirac à la mairie de Paris
Michel Roussin et l'ex-trésorière "officieuse"
du RPR Louise-Yvonne Casetta.
GB/GK
MORTIFÈRE
MENACE CECCALDISTE AU CONSEIL MUNICIPAL
mardi 10 février 2004
Nous aurons bien entendu l'occasion de revenir dans les jours prochains
sur les décisions prises lors du conseil municipal d'hier soir
(lundi 9 février). Mais commençons pas marquer notre
indignation la plus totale. Ce conseil, comme les précédents,
s'est déroulé dans des conditions intolérables
: tribune du public filtrée, Putéoliens bloqués
dehors, insultes et menaces lancées par les supporters du maire
contre les représentants de l'opposition, élus de la
majorité injurieux envers des citoyens non ceccaldistes. Une
haine... que dis-je... un déchaînement incroyable...
J'en ai été témoin.
Sous les insultes de quelques supporters agissant sur commande (il
s'agit d'employés de la mairie, logés dans des hlm de
la mairie...), j'ai pu accéder à la tribune du public,
la mairie me réservant désormais une chaise sur laquelle
a été très soigneusement inscrit à la
peinture : "place reservée à la demande de R.
Badinter" (sic)...
Alors que les conseillers socialistes de Puteaux sont toujours restés
dignes, le maire a lancé en pleine séance des menaces
très précises à leur encontre : "La tension
a atteint un tel niveau, a déclaré Charles Ceccaldi
en substance, qu'un accident pourrait arriver". "Mes
supporters sont à bout". "Aurais-je longtemps
la force de les retenir ?" s'est-il interroger tout haut.
La menace est en effet claire et finalement du plus sombre ridicule.
Prenons la comme le dernier soubressaut mécanique d'un vieux
système clanique sur le déclin. Nous ne sommes plus
dans les années 60/70, Monsieur ! (voir l'enquête de
Marianne ci-dessous)
Christophe Grébert
VRAIE
MAFIA , FRAUDE ELECTORALE, CLIENTÉLISME... UNE ANCIENNE DÉPUTÉE
UDR DE PUTEAUX-NEUILLY ACCUSE DANS "MARIANNE"
mardi 10 février 2004
"Bien plus grave que l'affaire Juppé... L'autre bombe
dont l'explosion menace la droite" titre cette semaine MARIANNE
(N°355 - semaine du 9 au 15 février 2004). Sur 8 pages,
l'hebdomadaire fait un tour d'horizon des affaires politico-judiciaires
en cours, à venir et passées dans les Hauts-de-Seine.
Notre ville et Charles Ceccaldi-Raynaud, notre maire, tiennent une
"bonne" place dans cette enquête.

Nous en publions un extrait important : l'interview de Florence d'Harcourt,
ancienne députée gaulliste de la circonscription de
Puteaux/Neuilly. "A la fin des années 80, lorsque j'adressais
des courriers aux électeurs de Puteaux, ces lettres me revenaient
pas sacs entiers, sans avoir touché leurs destinataires. Tous
ces citoyens avaient été chassés de leurs maisons
lors de la construction de La Défense. Mais ils continuaient
à figurer sur les listes électorales..." déclare
notamment Florence d'Harcourt.
Marianne
revient aussi sur les affaires récentes de la municipalité
et sur le passé de notre maire :

A lire cette semaine dans MARIANNE...
LE
"PALAIS DE LA MÉDIATHÈQUE" S'AFFICHE EN GRAND
mardi 10 février 2004
Des
panneaux ont été installés la semaine dernière
sur le site de la future médiatheque, derrière la mairie.
Pour son chantier du siècle, la ville a fait les choses en
grand ! Ca faisait bien longtemps qu'on n'avait pas vu des panneaux
comme ça. Cela n'empêche pas le bâtiment d'être
ostantatoire et prétentieux, avec ses arches qui rappellent
l'architecture italienne des années 30 (image
trouvée sur le net !!!!).




"PALAIS DE LA MÉDIATHÈQUE" sera gravé
dans le marbre !
A
LIRE OU RELIRE : "LE PALAIS DE TROP" DANS PEUT
MIEUX FAIRE
CONVOCATIONS
AU CONSEIL MUNICIPAL : À LA LIMITE DE LA LOI
lundi 9 février 2004
La loi dit que le maire doit faire parvenir aux conseillers la liste
des questions qui seront discutées en séance du conseil
au moins 5 jours ouvrés avant la tenue de celui-ci. Ce délais
-déjà très court- doit permettre aux élus
d'étudier les nombreux dossiers (entre 40 et 60 questions,
selon les conseils).
Mais à Puteaux, la majorité municipale fait tout pour
détourner cette règle. Prenons l'exemple du dernier
conseil qui s'est tenu ce soir (9 février) : la mairie a posté
les convocoations et les dossiers à la toute dernière
limite : le mardi 3 février. Les paquets ont été
envoyés, comme le montre les photos ci-dessous, depuis la Poste
du Louvre, la seule poste ouverte à Paris toute la nuit (n'y
a-t-il pas de poste à Puteaux ?). Ainsi, le courrier -posté
le 3 février juste avant 24 heures- n'est arrivé chez
les conseillers de l'opposition que le jeudi matin. Comme ces conseillers
travaillent, ils ont trouvé l'avis de passage le jeudi soir
et n'ont pu en réalité récupérer les dossiers
que le vendredi matin, soit 3 jours seulement avant la tenue du conseil
!
C'est attitude de la majorité municipale n'est-elle pas moralement
petite ? Tout cela se passe à Puteaux, il faut que cela se
sache...

UN
DIMANCHE ORDINAIRE SUR LE MARCHÉ DE PUTEAUX : ENTRE INSULTES
CECCALDISTES ET TRACT CONSTRUCTIF DE L'OPPOSITION
lundi 9 février 2004
Comme chaque dimanche, je suis allé faire mon marché
sur le coup de 11H ; quelle ne fut pas ma surprise de voir autant
de conseillers municipaux dans la rue Eichenberger. On aurait pu croire
que le conseil municipal y préparait sa réunion de ce
soir. Même la fille du maire qui n'y met jamais les pieds, et
préfère d'habitude aller faire ses courses à
Neuilly-sur-Seine, était présente, entourée de
groupies ceccaldistes. Pourquoi étaient-ils donc tous là
?
Etaient-ils venus faire leurs commissions en groupe ? Pas vraiment,
aucun d'entre eux n'avait le moindre cabas : difficile de faire ses
emplettes dans ses conditions !
Etaient-ils venus soutenir les commerçants ? Pas vraiment,
aucun d'entre eux n'a jugé bon d'aller les saluer ou de s'enquérir
de leurs attentes. Il suffit de comparer l'état du marché
aujourd'hui avec celui que l'on a connu par le passé pour se
rendre compte que la défense et le développement du
commerce de proximité n'est pas la priorité de la municipalité
actuelle.
En fait, leur sortie dominicale était due à la présence
de Robert Badinter sur le marché aux côtés des
militants socialistes, à l'occasion du lancement de la campagne
de Nadine Jeanne, candidate à la cantonale des 21 et 28 mars
prochains.
"Il paraît qu'ils photographient les gens"
Pour l'ancien ministre de la justice de François Mitterrand
et actuel sénateur des Hauts-de-Seine, ils avaient sorti le
grand jeu. Toute la clique et la claque ceccaldiste était là
pour "l'accueillir" et distribuer pas moins de deux feuilles
A4, intitulées «Mensonges socialo-communistes»
et «Bienvenue Monsieur Badinter» ; toutes deux signées
par la même personne qui à force de distribuer quasiment
toutes les semaines dans notre ville des milliers de tracts, payés
avec ses économies, risque de se retrouver d'ici peu sur la
paille à moins qu'il ne soit très riche ou qu'il ne
bénéficie des largesses d'un généreux
sponsor. Pourquoi les ceccaldistes de Puteaux éprouvent-ils
le besoin de mettre le terme «indépendant» pour
signer leus tracts ? A la lecture de ces deux pages, on peut se demander
qu'elle est leur définition du mot «indépendant»,
je les invite à consulter au plus vite le Littré, pour
leur éviter d'être la risée des Putéoliens.
Je ne sais pas si Robert Badinter a lu ce magma d'insultes ; ce qui
est sûr, c'est que le clan ceccaldiste a encore perdu une occasion
de faire ses courses...
Il était d'ailleurs intéressant d'écouter les
conversations dans les travées du marché, on pouvait
y entendre des choses comme «Il paraît qu'ils photographient
les gens». Qui peut bien donc se cacher derrière ce «ils»
? Est-ce à cause de la présence sur le marché
de l'adjoint qui aime bien photographier que de braves Putéoliens
se permettaient une telle remarque désobligeante pour le pouvoir
en place ?
Il était tout aussi intéressant d'observer le comportement
des Putéoliens qui passaient à côté des
élus et groupies ceccaldistes sans dire un mot, mais qui n'en
pensaient pas moins.
Les Putéoliens las du clientélisme à la grand-papa
Je suis
donc revenu du marché avec plusieurs tracts. Il y avait les
tracts ceccaldistes avec attaques personnelles et coups bas ; comme
d'habitude me direz-vous. L'imagination n'étant pas le fort
de l'équipe ceccaldiste, elle se limite donc au seul domaine
où elle excelle : les propos de caniveau.
Il y avait également un tract des socialistes qui contrairement
aux ceccaldistes savent faire des photocopies recto-verso afin d'économiser
le papier.
Aux propositions responsables, constructives et visionnaires de la
candidate socialiste, les ceccaldistes répondent pas des insultes.
Ils n'ont pas de programme et leur candidat reste terré chez
lui, alors ils montrent leurs biscoteaux et toute leur méchanceté.
Ce qu'ils ne perçoivent pas c'est qu'ils n'impressionnent plus
et que la ritournelle qu'ils nous jouent depuis trop longtemps ne
fait plus recette. Les Putéoliens sont las de ce clientélisme
à la grand-papa, ils en ont assez de voir leurs impôts
gaspillés dans des dépenses somptuaires et ils sont
outrés par les actes anti-démocratiques et attentatoires
aux libertés de chaque individu.
A force de rester enfermés dans leur univers clos et de faire
la sourde oreille aux demandes des Putéoliens, les ceccaldistes
se sont coupés de la population et sont à des années-lumière
de leurs attentes. Le réveil risque d'être rude d'ici
peu pour certains.
J.
A
LIRE AUSSI : "DIFFICILE
DE FAIRE CAMPAGNE" DANS LE PARISIEN DE CE MATIN (9-2-2004
ÉDITION DU 92)
"DÉCIDÉMENT,
rien n'est facile à Puteaux. Surtout lorsqu'il s'agit de politique.
Cette fois, les tensions entre majorité et opposition ne disposant
pas de leur théâtre habituel - l'hôtel de ville
-, elles se sont tout simplement déplacées dans les
allées du marché dominical où Nadine Jeanne,
conseillère municipale d'opposition et candidate PS aux élections
cantonales de mars prochain, tractait en compagnie de ses militants
et du sénateur socialiste des Hauts-de-Seine, Robert Badinter.
A peine la candidate arrivait-elle sur place, que les partisans du
maire, Charles Ceccaldi-Raynaud, s'empressaient d'investir à
leur tour les lieux... A peine Nadine Jeanne sortait-elle sa profession
de foi pour la distribuer aux passants que les fidèles du premier
magistrat brandissaient à leur tour leurs propres tracts..."
écrit notamment le Parisien dans son édition locale.
PROCHAINE
RÉUNION DU CONSEIL MUNICIPAL LE LUNDI 9 FÉVRIER À
19 HEURES
samedi 7 février 2004
Le maire a enfin convoqué le conseil municipal. La réunion
aura lieu lundi prochain (9 février) à partir de 19
heures. Voici quelqu'unes des questions qui y seront abordées
:
- Installation dun nouveau conseiller, après le décès
- Résultat de lappel doffres ouvert relatif aux
travaux de réaménagement de la voirie et à la
rénovation de léclairage public rue Roque de Fillol
- Résultat de lappel doffres ouvert relatif à
la réalisation du suivi animation de lOpération
dAmélioration de lHabitat (OPAH) du Vieux
Puteaux
- Résultat de la mission de programmation du projet de la halte
culturelle sise 5 rue Gerhard
- Résultat de la mission de programmation pour laménagement
des locaux de la police municipale
- Résultat de lappel doffres ouvert relatif à
la location de matériel de réception
- Dossier de consultation dentreprises relatif à la réfection
des façades et au ravalement du groupe scolaire Benoit Malon
(maternel et élémentaire)
- Dossier de consultation dentreprises relatif à lentretien
des réseaux darrosage automatique et à la mise
en place dune gestion centralisée
- Avant projet relatif à la construction dune fontaine
rues Jean Jaurès-Pavillons
- Acte authentique en vue de lacquisition amiable dune
parcelle de terrrain nu située 38 rue Arago et 20-22 rue Jean
Jaurès
- Acte authentique en vue de lacquisition dun bien dans
la copropriété située 18 rue Pierre Curie
- Acte authentique en vue de la cession amiable dune propriété
communale dénommée Les Estaris à ORCIERES MERLETTE
- Acte authentique en vue de lacquisition par voie de préemption
dun bien en totalité sis 25 rue Charles Lorilleux
- Convention de mise à disposition dun local au palais
des congrès au profit de la Société Historique
Artistique et Littéraire de Puteaux
- Revalorisation de lindemnité représentative
de logement des instituteurs
- Revalorisation de la rémunération des médecins
intervenant dans les structures daccueil petite enfance
REVUE
DE PRESSE : LES MILITANTS PS ESPIONNÉS (LE PARISIEN)
vendredi 6 février 2004
Le Parisien, dans son édition des Hauts-de-Seine, a publié
ce matin l'article ci-dessous où il est question d'espionnage
des militants socialistes par un élu de la majorité
municipale de Puteaux... et où il est aussi question d'une
nouvelle déclaration outrancière de notre maire. Notre
ville ne mérite vraiment pas tout cela...

LES
BRÈVES : ROBERT BADINTER DIMANCHE A PUTEAUX !
vendredi 6 février 2004
- Ancien ministre de la justice de François Mitterrand, ancien
président du Conseil Constitutionnel, sénateur socialiste
des Hauts-de-Seine... Robert Badinter viendra dimanche matin
(8 février) sur le marché de Puteaux. Ce sera l'occasion
pour les Putéoliens de discuter avec l'un des principaux acteurs
de l'abolition
de la peine de mort. On pourra aussi lui demander ce qu'il pense
de la situation de notre ville (voir les autres brèves ci-dessous)
ou de son collègue au Sénat, Charles Ceccaldi-Raynaud
!

- La
mairie a une nouvelle fois refusé cette semaine d'accorder
une salle à la section locale du parti socialiste pour qu'elle
puisse tenir sa réunion mensuelle. Ce mépris du fonctionnement
normal de la démocratie ne devrait-il pas être dénoncé
par chacun d'entre nous... quelle que soit notre opinion politique
!?
- Les
socialistes de Puteaux ont invité l'élue Marie-Laure
Meyer, mardi dernier, à parler de son livre "Qui veut
tuer la démocratie ?". Ils ont trouvé une salle...
à Nanterre ! En arrivant, les participant ont eu la surprise
de surprendre devant l'entrée le maire-adjoint de Puteaux Gaston
Garino en train de photographier tout le monde !!!!! Dans quel but
??? Sommes-nous en France ??? Gaston Garino qui s'est vanté
un jour auprès de moi d'avoir été (jeune) résistant
pendant la guerre fait-il honneur par ce comportement à ceux
qui ont résisté comme lui et qui ne sont plus de ce
monde ???
- Censure
à la bibliothèque municipale... Une personne qui fréquente
régulièrement la bibliothèque municipale de Puteaux
me signale que l'exemplaire de l'Express a été expurgé
de l'article sur notre maire. La feuille des pages 21 et 22 a été
soigneusement découpée !!!! Sommes nous en France au
pays des droits de l'homme et de la libérté d'expression
???
- Au
fait, on ne connait toujours pas la date du prochain conseil municipal
! Un abus de plus ?
DOCUMENT
: QUAND UN ADJOINT DE PUTEAUX TRAITE UN CITOYEN D'AGITÉ
!
jeudi 5 février 2004
Il se passe des choses à Puteaux qu'on ne voit nulle part ailleurs.
Comme par exemple, des élus municipaux qui se permettent dans
leurs courriers aux citoyens d'ajouter des remarques désobligeantes.
Le sentiment d'impunité est tel, que nos élus semblent
voir oublié qu'ils sont mandatés par l'ensemble des
électeurs de cette ville pour accomplir une mission précise
et pas pour nous commander, nous juger, voire nous insulter.
Les faits sont simples : c'est l'histoire d'un couple de Putéoliens
avec plusieurs jeunes enfants. Ils travaillent tous les 2. "Nous
dépensons 600 euros par mois de nounou depuis 3 ans, parce
que la mairie n'a pas trouvé de place en crèche (ma
fille était sur liste d'attente 7 mois avant sa naissance).
Ma femme et moi avons le droit d'insister un peu lorsque l'on nous
dit "Non". C'est humain", témoigne Eric.
Insister ? "Oui, nous avons passé une dizaine de coups
de téléphone, envoyé 5 lettres suppliantes de
désespoir... puis nous avons envisagé de faire intervenir
la Préfecture des Hauts de Seine au mois de novembre dernier".
Rien de bien extraordinaire en effet pour des parents désemparés.
Pourtant, cette attitude ne plait pas à Anne-Marie Amsellem,
mairesse-adjointe déléguée "aux élections,
aux affaires diverses et aux bâtiments et centre technique"
(au passage, petite question : pourquoi c'est l'adjointe déléguée
aux élections qui répond à une demande de place
de crèche ????????). Dans son courrier adressé à
notre couple de Putéoliens, Madame Amsellem les invite à
"cesser (leur) agitation" ! Quel mépris
!!!!
"L'agitation,
c'est de se lever tôt, préparer sa fille, l'emmener dans
les bras jusqu'à sa voiture garer loin parce qu'il n'y a pas
de place de parking. L'emmener chez une nounou dans une autre commune.
L'agitation, c'est d'arriver au bureau à 9 heure du matin et
de se dire en ouvrant son premier dossier "P.... ! je suis déjà
fatigué" m'écrit Eric.
Mesdames et Messieurs de la mairie, à défaut de pouvoir
répondre à toutes les demandes de crèche, accordez
au moins à ce couple -et aux autres citoyens de cette ville-
un peu de respect !!!

Espérons
que Léonie trouvera une place dans une école de Puteaux
au mois de septembre. Nous suivrons cela attentivement...
UN
TROTTOIR PLEIN D'OBSTACLES RUE VOLTAIRE
mercredi 4 février 2004
Un lecteur de MonPuteaux m'a envoyé la photo ci-dessous, accompagnée
de la légende suivante : "Un dimanche matin en revenant
du marché... Entre les deux roues et les poubelles, comment
je fais pour passer avec mon caddie ? D."

HARCÈLEMENT
: CHARLES CECCALDI ASSUME PUBLIQUEMENT
mercredi 4 février 2004
Des propos
véritablement scandaleux tenus par le maire de Puteaux sont
rapportés dans l'EXPRESS du 2 février (page 22). Nous
publions cet article ci-dessous. Il s'agit d'une version édulcorée
de ce qu'a vraiment dit Charles Ceccaldi au cours d'une cérémonie
de rémise de Légion d'honneur, en présence de
plusieurs élus de la majorité départementale
outrés.

Le maire va-t-il accuser l'Express d'hebdomadaire socialiste ?
Ainsi, Charles Ceccaldi reconnait publiquement me harceler ! Ainsi,
il reconnait avoir dépensé plus de 200.000 euros d'argent
public dans l'achat d'un appartement (dans mon immeuble, juste à
côté du mien) pour "y loger des voisins pénibles",
comme l'écrit l'Express (en fait, le maire a été
plus cru) !
Ainsi, Charles Ceccaldi assume publiquement, et avec un total sentiment
d'inpunité, le fait d'avoir démandé à
des employés municipaux de m'agresser !
MON
MESSAGE DE LA ST VALENTIN DIFFUSÉ... MAIS TRONQUÉ !
mardi 3 février 2004
La ville,
à l'occasion de la St Valentin, diffuse sur les panneaux lumineux
de la commune des messages d'amour... Tout le monde peut laisser un
message sur le site internet municipal. J'en ai publié un :
"bonne journée à tous les amoureux de... la
démocratie. Christophe de www.monputeaux.com". En
route, l'adresse de ma page s'est perdue ! Surprenant non ?!!
LES
BRÈVES DE PUTEAUX ET DU 92
lundi 2 février 2004
- ZAC DANTON : Le passage entre Courbevoie et Puteaux va enfin
pouvoir être réalisé... Depuis 6 ans, le maire
de Puteaux empêche la réalisation d'un accès entre
le quartier Danton de Courbevoie et le parvis de La Défense.
Les travaux consistant à réaliser la dalle de liaison
permettant de relier la ZAC Danton au quartier de la Défense
avaient été interrompus en juillet 1998 du fait de Charles
Ceccaldi-Raynaud qui avait refusé l'autorisation de survol
de cet ouvrage au dessus de la rue de Valmy. Une procédure
de déclassement de cette voie a par la suite été
engagée par le Préfet des Hauts de Seine.
Soucieux de faire aboutir ce dossier d'intérêt public
et de mettre un terme à cette situation de blocage incompréhensible
et préjudiciable pour les riverains et les usagers de la ZAC,
le maire de Courbevoie, Jacques KOSSOWSKI, est intervenu à
plusieurs reprises auprès du gouvernement qui, par décret
en date du 18 décembre 2003, a enfin autorisé le déclassement
de cette rue et le transfert de propriété au profit
de l'Etat. Ainsi, les études nécessaires au redémarrage
des travaux de cet ouvrage public vont pouvoir être lancées
prochainement. Le maire de Puteaux est une fois de plus désavoué
par ses "amis"...
-
De la démocratie et de la vie associative à Puteaux...
Marie-Laure Meyer, élue PS de Nanterre, viendra parler aux
Putéoliens demain mardi de 19h à 21h, salle Jacques
Decour (en face du 14 rue des rosiers, à 100 m des Bergères),
de son livre "Qui veut tuer la démocratie ?". L'occasion
de dialoguer aussi sur le thème "démocratie participative
et vie associative". Vaste sujet dans notre ville !
- Un
nouveau radar automatique à Puteaux... Il sera installé
dans les mois qui viennent sur les quais de Seine.
- La
patinoire à Puteaux... Vous avez peut-être remarqué
cette semaine que nos rues étaient particulièrement
glissantes. Et pour cause ! malgré les messages d'alerte de
Météo France, les trottoirs n'ont été
salés qu'au bout de 2, voire 3 jours... Pourquoi ?
-
Où sont les livres à Jules Vernes ??? Mécontentement
des usagers de la bibliothèque Jules Vernes qui vient de rouvrir
après plus d'un an de fermeture. Les lieux sont peut-être
beaux (sièges en cuir, parquet en bois, cheminée !!!)...
mais la mairie a semble-t-il oublié de prévoir un budget
pour acheter des livres et des CD. Le fond est particulièrement
pauvre...
- Où sont les flingues ??? L'année dernière,
la ville a acheté 25 revolvers Smith et Wesson pour la police
municipale. Sont-ils utilisés ? Le seront-ils un jour ? La
mairie est étrangement silencieuse sur toutes ces questions
!
-
Le conseil général du 92 nominé pour les Big
Brother Awards... Les Lauréats de la 4ème édition
en France des Big Brother Awards seront dévoilés mercredi
4 février à 20h au centre cuturel La Clef à Paris.
Toute personne ou institution ayant porté atteinte à
la vie privée, négligé de la protéger
ou faisant la promotion de la surveillance individuelle ou collective,
peuvent se voir primer et recevoir un "Orwell". Dans la
liste des nominés de l'édition 2003, on retrouve le
conseil général des Hauts de seine & Philippe Schwartz
- les élus du conseil et leur "conseiller" attitré
(sociétés Crayon Noir, Global E-vision), maître
d'oeuvre du projet de videosurveillance aux abords des collèges
du 92...
LA
MÉDECINE DU TRAVAIL DÉMÉNAGE
dimanche 1er février 2004
Le bâtiment de la médecine du travail, boulevard Richard
Wallace, est en cours de démolition. Le service est transféré
14/16 rue Victor Hugo. Un immeuble de "standing" (encore
un) sera construit à la place.