Retour / Sommaire


ARTICLES DE OCTOBRE 2003

REVUE DE WEB : LES CECCALDI ET LA DROITE (PS-PUTEAUX.COM)
vendredi 31 octobre 2003

Le site des socialistes de Puteaux vient de publier un nouvel article sur "les Ceccaldi et la droite". Le PS local explique que les problèmes de Puteaux ne sont pas qu'une question de personne... c'est aussi le résultat d'une politique de droite. L'auteur de l'article le démontre à travers une succession d'exemples : mépris de la démocratie locale, autoritarisme, homophobie, sabordage de la PAIO...

LIRE L'ARTICLE DU PS PUTÉOLIEN


 

 

 

REVUE DE PRESSE : SARKOZY APPELLE AU CALME... ET FRANCOIS HOLLANDE S'INSURGE (LE PARISIEN)
mercredi 29 octobre 2003

Nicolas Sarkozy et François Hollande réagissant aux événements de Puteaux ! C'est ce matin dans l'édition des Hauts-de-Seine du Parisien !

«JE NE PUIS, comme vous, que souhaiter que revienne à Puteaux la sérénité nécessaire à l'exercice apaisé d'une démocratie locale préférant l'expression des urnes et des assemblées légitimes à celle de la rue. » Le message est on ne peut plus clair et il est signé Nicolas Sarkozy. Interpellé par le patron du PS des Hauts-de-Seine au lendemain des échauffourées qui ont eu lieu devant l'hôtel de ville de Puteaux peu avant la séance du conseil municipal du 17 octobre dernier, le ministre de l'Intérieur n'a pas tardé à répondre... et à appeler clairement chacun au calme". écrit le Parisien.

A la suite de la réaction du ministre de l'intérieur, le quotidien du 92 publie celle de François Hollande, déjà diffusée sur mon forum.

 

 

 

REVUE DE PRESSE : CHAISES MUSICALES CHEZ LES SÉNATEURS (LE PARISIEN)
lundi 27 octobre 2003

"LES SÉNATORIALES, à la rentrée 2004, promettent un beau casse-tête pour les états-majors politiques dans les Hauts-de-Seine. Car, à droite, il faudra faire de la place en position éligible sur la liste UMP à un sénateur sortant venu de l'UDF, le maire de Boulogne, Jean-Pierre Fourcade, et... à des femmes, au nom de la parité", nous signale le Parisien, dans son édition des Hauts-de-Seine.

"Logiquement, un des sénateurs sortants issus de feu le RPR - Charles Ceccaldi-Raynaud, maire de Puteaux ; Roger Karoutchi, conseiller régional ; Jean-Pierre Schosteck, maire de Châtillon - devra laisser sa place", ajoute le quotidien.

Charles Ceccaldi pourrait être celui-là... Il laisserait sa place de sénateur à... sa fille. On avait le père, grâce à la parité, on aura la fille ! sauf si...

 

 

 

REVUE DE PRESSE : ECHAUFFOUREES A LA MAIRIE (LE PARISIEN)
samedi 18 octobre 2003

LE PARISIEN dans son édition des Hauts-de-Seine publie un long article sur ce qui s'est passé vendredi soir devant l'Hôtel-de-ville : "Les militants et élus venus soutenir Christophe Grébert, habituellement interdit d'accès au conseil municipal, se sont tous fait refouler manu militari de l'hôtel de ville par des hommes de main du sénateur-maire".

 

 

 

REVUE DE PRESSE : UN MAIRE PS S'INVITE AU CONSEIL (LE PARISIEN)
mercredi 15 octobre 2003

Le Parisien, dans son édition du 92, annonce ce matin que "LE MAIRE de Fontenay-aux-Roses et premier secrétaire fédéral du Parti socialiste, Pascal Buchet, sera présent, vendredi soir à Puteaux, juste avant le début du conseil municipal, à 19 heures. L'élu veut ainsi marquer son soutien au militant PS, Christophe Grébert. L'animateur du site contestataire monputeaux.com est interdit d'accès à la séance publique du conseil depuis plusieurs mois par le maire (UMP) Charles Ceccaldi Raynaud. Scandalisé, le patron du PS départemental a sommé il y a quelques semaines le préfet d'intervenir pour assurer « la sécurité » du militant et son « droit élémentaire d'expression et de participation à la vie citoyenne ». Dans un nouveau courrier envoyé lundi dernier, Pascal Buchet informe le préfet qu'il se rendra « personnellement à Puteaux avant le conseil municipal ». « J'espère qu'à cette occasion, monsieur Grébert aura toute la liberté de participer à cette séance publique et donc à la vie citoyenne de la commune dans laquelle il réside, écrit l'élu PS. Je vous remercie par avance de tout mettre en oeuvre afin que sa sécurité - invoquée par le maire pour lui refuser l'entrée - soit assurée. »

 

 

 

REVUE DE PRESSE : PUTEAUX ALTERNATIVE INFOS N°6
mercredi 15 octobre 2003

Le numéro 6 du bulletin d'information de l'association PUTEAUX ALTERNATIVE vient de sortir. Ce journal marqué très à gauche est distribué dans les rues et sur les marchés de Puteaux. Sa cible principale reste la politique libérale et sécuritaire du gouvernement Raffarin... mais les articles sur la majorité putéolienne UMP (ou devrait-on dire "UMPuteaux" !) occupent aussi largement ce 6eme numéro.

"Un souffle démocratique" règne-t-il sur notre ville s'interroge Puteaux Alternative, quand la municipalité organise une réunion publique sur le PLU ? Hélas... au "Mépris du droit", "un Putéolien, membre du parti socialiste, voit se précipiter sur lui, avec une brutalité inouïe, 4 policiers municipaux, accompagnés d'individus en civil dont on ignore strictement la fonction. Christophe, bête noire du clan Ceccaldi, mais citoyen comme les autres, se retrouve une fois de plus expulsé manu militari d'une réunion publique !".

Dans un autre article, Puteaux Alternative note un "Ravalement de façade à la mairie de Puteaux". "Les lecteurs attentifs de Puteaux Infos y auront noté une plus grande place accordées aux comptes-rendus et à la présentation des travaux du conseil municipal"... mais "derrière ce trompe l'oeil, les vieilles méthodes demeurent"... "le conseil municipal se déroule avec à chaque fois une salle remplie à l'avance par les personnels municipaux en service commandé" ...

Pour contacter Puteaux alternative : puteauxalternative@no-log.org

 

 

 

REVUE DE PRESSE : PUTEAUX INFOS D'OCTOBRE
dimanche 5 octobre 2003

Le numéro 154 du journal de la ville est actuellement distribué dans vos boites aux lettres.

Un "dossier sécurité" de 8 pages fait le point sur toutes les actions de la municipalité dans ce domaine.

On y apprend notamment que les 26 policiers municipaux, assistés par 56 agents municipaux de surveillance, ont effectué au premier semestre de cette année 156 interventions qui ont donné lieu à un rapport ou à une main courante, contre 432 interventions sur l'ensemble de l'année 2002.

En 2003 par rapport à 2002, on se dirige donc vers une baisse importante du nombre d'interventions de la police municipale... Le maire a en effet ordonné à ses policiers de ne plus verbaliser les infractions au code de la route pour "faire la chasse au délinquant". L'automobiliste qui grille un feu rouge n'est-il pas un délinquant ?

"Puteaux infos" nous apprend aussi que le nombre de délits constatés à Puteaux par la police nationale baisse régulièrement depuis 2 ans : 2.719 délits en 2001, 2.620 en 2002 et 1.758 de janvier à septembre 2003.

La mairie y voit le résultat de sa politique de sécurisation des espaces publics, autrement dit de la pose des grilles autour des parcs et de certaines places. Pour la majorité municipale, moins d'espaces publics = moins de délinquance...

"Puteaux infos" ne nous dit rien en revanche sur le coût pour la ville de ces différentes actions de sécurité. La municipalité répondra certainement à cela que la sécurité n'a pas de prix. C'est vrai... mais on souhaite tout de même connaître ce prix !!!

Ce numéro d'octobre compte 5 photos de Joëlle Ceccaldi, mais aucune du maire ! Cela fait 2 mois que Charles Ceccaldi n'apparait plus dans "Puteaux infos". Faut-il y voir la confirmation de sa candidature à la prochaine cantonale ?

VOIR LE COMPTEUR PROPAGANDA

 

 

 

 

 

EN OCTOBRE AUX 4 TEMPS
mercredi 1er octobre 2004

Il se passe toujours quelque chose au centre commercial de La Défense !

- Du 1er au 4 octobre de 12h30 à 18H30, retrouvez Valérie Payet place des Terrasses et découvrez des ateliers interactifs présentant les dernières nouveautés en matière de mode, design, nouvelles technologies et bien-être.

- 3 nouvelles boutiques ouvriront leurs portes au cours des prochains jours :

Massimo Dutti, le spécialiste de la mode homme vue par Zara, vous accueillera très bientôt place de l'Arc-en-Ciel, niveau 1.

Les loisirs créatifs vous intéressent ? Loisirs et Créations vous attend prochainement place des Terrasses, niveau 1.

Et en avant-première, Too young to die, la nouvelle enseigne de la mode "chaussures" fera son apparition place des Arcades, niveau 1, avant la fin du mois d'octobre.

 


 

DEBARQUEMENT DE CITROUILLES
vendredi 31 octobre 2003


(photo de S.)

Halloween à Puteaux... à voir dans l'image du jour

 

 

JE REVE OU LA VILLE ME PLACE SOUS SURVEILLANCE ???
vendredi 31 octobre 2003

Cette fois... certains vont me prendre pour un parano !!! Tout ce qui suit à pourtant été discuté et décidé par la majorité municipale. Je n'ai fait que consulter les décisions du Conseil...
La ville a acheté un appartement... dans mon immeuble... au même étage et voisin du mien... Elle va y installer un employé municipal, gardien de son état. Sera-t-il chargé de m'espionner ??? On se doute que cet homme, qui a charge de famille (il a un enfant handicapé), n'a pas eu le choix de cette nouvelle "affectation" dans cet appartement de fonction. Il n'a pas non plus le choix des "missions spéciales" que lui demanderont éventuellement le maire et sa fille, qui sont à la fois ses employeurs et ses logeurs. La mairie avait justifié l'achat de cet appartement en invoquant un plan départemental d'aide au logement des plus défavorisés. Ce logement devient maintenant un appartement de fonction de la ville ! Vous avez dit bizarre ?
Cette situation illustre bien les méthodes de peur, de pressions et de menaces utilisées depuis 35 ans par les Ceccaldi. Ceux qui en ont été victimes savent que je n'exagère pas. Je compte donc bien continuer à dénoncer ces méthodes !
En attendant, je souhaite la bienvenue à mon nouveau voisin et à sa famille. Je sais qu'ils sont des victimes de ce système heureusement moribond. Ils pourront compter sur mon aide.
Christophe Grébert

 

 

LES BREVES DE PUTEAUX
vendredi 31 octobre 2003

- UNE VILLE GRILLAGÉE, VERROUILLÉE, CADENASÉE !!! On sait maintenant que la majorité municipale voit des "envahisseurs totalitaires" partout... Ce fantasme nous coûte très cher. La commune vient de lancer un appel d'offres pour la fourniture de serrures, de clôtures et de grillages "sur l'ensemble de la ville". Le marché -sur 3 ans- a été fixé dans une fourchette (très large !) de 450.000 à 1.800.000 euros !

- L'installation d'une clôture autour de la résidence des Rosiers a été facturée 228.784 euros.

- Du granite rose de Chine pour la rue Roque de Fillol... 819.500 euros seront consacrés à la rénovation de la rue Roque de Fillol, entre la rue Rousselle et la rue Jean Jaurès. La chaussée sera refaite. Les trottoirs seront réaménagés (avec du granite rose de Chine). Des chênes verts seront plantés. Et un nouveau mobilier urbain sera installé, notamment 29 lanternes "sur candélabres de style".

- Les associations sportives sous contrôle... comptable ! Le maire a décidé de faire appel à un expert comptable "pour contrôler les comptes des associations sportives subventionnées par la ville et s'assurer de la conformité de chaque dépense avec l'objet de l'association."... Et si le maire étendait cet audit -de manière sérieuse et indépendante- à l'ensemble des comptes de la municipalité ????

- Réouverture de la médiathèque Jules Verne. Il suffisait de demander ! "Après de grands travaux de rénovation, la médiathèque Jules Verne rouvrira ses portes à Noël", annonce la municipalité. La rénovation était grande effectivement, puisque ce local était fermé depuis plus d'un an ! Monputeaux s'en était étonné en septembre dernier... Vous avez dit hasard ?

- Accident de circulation. Un accident sérieux s'est déroulé mercredi vers 13h30 entre 2 véhicules à l'angle des rue Paul Lafargue et Roque De Fillol. L'un des véhicules n'a pas respecté le feu rouge. La circulation a été interrompue sur cette portion le temps de dégager les blessés. Cela rappelle que 1/ ce carrefour est particulièrement dangereux, surtout depuis qu'a été aménagé un tourne à gauche et qu'ont été installés des feux de signalisation 2/ la rue Paul Lafargue sert trop souvent de défouloir pour ceux qui aiment la vitesse 3/ l'importance du trafic de transit en milieu urbain augmente d'autant le risque d'accident.

- Puteaux champion d'internet ! Le site de la mairie se flatte de l'attribution d'un second @ remis par 2 ministres Claudie Haigneré et Jean-Louis Borloo. Par contre, sur la photo illustrant l'article, on ne voit que Monsieur le ministre et pas Madame la ministre. La mairie de Puteaux serait-elle machiste ou ne publie t-elle de photos de femmes que lorsqu'elle s'appelle Joëlle C. ?

 

 

LES HABITANTS DU COTEAU NE SERONT PAS DECUS !
jeudi 30 octobre 2003

Dans « Puteaux Infos » d'octobre (N°154, page 5), le maire nous a expliqué qu'une réunion d'explications a permis d'apaiser les craintes des riverains de l'îlot Montaigne où sera construit le palais de la médiathèque. Si l'article est si court, c'est sans doute par manque de place, car il eut été intéressant que tous les Putéoliens aient connaissance de ses explications.
Il conclut son bref article par « Ils ne seront pas déçus ».
C'est sûr qu'ils ne seront pas déçus ! Ils auront devant leurs fenêtres un gros bloc de béton en lieu et place de la vue dégagée qu'ils ont actuellement et les appartements autour de l'îlot ne verront plus le soleil de la journée à cause de la hauteur démesurée de ce palais.
Un espace vert eut été plus approprié afin d'agrémenter ce quartier résidentiel et donner une âme à un centre ville déjà largement livré aux bétonneurs.
Il suffit de regarder le quartier Haussmannien en cours de construction face à la mairie pour avoir une idée de l'avenir que le maire nous réserve : toujours plus de béton et de moins en moins d'espaces de vie.
En construisant des immeubles de plus en plus hauts, sans aménager des lieux de vie, le maire transforme peu à peu la ville en cité-dortoir pour riches. C'est sa conception du caractère résidentiel, annoncé dans le PLU, qu'il veut donner à Puteaux pour les années à venir ?
J.

LIRE AUSSI DANS PEUT MIEUX FAIRE : "POURQUOI VEUT-ON TRANSFORMER MA VILLE EN NEUILLY-BIS" ET "LE PALAIS DE TROP"

 

 

REVUE DE PRESSE : "PUTEAUX - FAIT DIVERS - UN MAIRE PAS TRES NET" (PARIS OBS)
jeudi 30 octobre 2003

"Depuis 34 ans, Charles Ceccaldi-Raynaud règne sur Puteaux. Sans partage et avec des méthodes musclées. Mais, depuis 2 ans, monputeaux.com trouble sa belle ordonnance"... C'est ainsi que commence un article sur les événements de Puteaux publié sur 2 pleines pages dans le supplément Ile-de-France du Nouvel Observateur (N°2034 - semaine du 30 octobre au 5 novembre 2003).

Le Nouvel Obs raconte longuement la soirée du 17 octobre devant l'hôtel-de-ville : "bousculades, femmes qui s'effondrent dans la cohue, dégringolades dans l'escalier... De sa voix aiguë et éraillée, Charles Ceccaldi-Raynaud tonne : "Ceux qui n'ont rien à faire ici sont priés de partir". Bilan : 2 plaintes au commissariat..."

Interrogé sur mon interdiction du conseil municipal, le maire explique aux journalistes de l'hebdomadaire qu'il n'a "pas envie qu'une bagarre éclate dans les tribunes, à 8 mètres au-dessus de la salle, et que quelqu'un passe par-dessus bord !". Est-ce cela qu'il me réserve si j'assiste au prochain conseil municipal ?

Dans cette interview, Charles Ceccaldi laisse passer quelques infos. Sera-t-il le candidat de l'UMP à la cantonale de mars prochain ? "J'en ai envie, je vais voir...", déclare-t-il...
Joëlle Ceccaldi prochaine mairesse de Puteaux ? "Elle me succèdera avant la fin du mandat et ce n'est pas Grèbert qui va lui faire peur.", conclu notre maire.

Ainsi donc Joëlle Ceccaldi obtiendra une nouvelle fonction sans passer par les urnes... grace à papa ? Ce n'est pas votre fille qui a toutes les raisons d'avoir peur, monsieur le maire... Ce sont les citoyens !!!! arfff :o)))))

A LIRE DANS LE NOUVEL OBSERVATEUR : UN MAIRE PAS TRÈS NET

 

 

NICOLAS SARKOZY VEUT ERADIQUER LA MAFIA EN CORSE... MAIS ASSUME LES CASSEROLES DES CECCALDI DANS LE 92...
jeudi 30 octobre 2003

Alerté par Pascal Buchet, le responsable du PS dans les Hauts-de-Seine, Nicolas Sarkozy réagit au coup de force de Charles et Joëlle Ceccaldi, lors du conseil municipal du 17 octobre. Dans une longue lettre, datée du 22 octobre, le ministre de l'intérieur affirme, en gros, que tout est bien à Puteaux ! Cette lettre de Nicolas Sarkozy est dangereuse, puisqu'elle risque d'encourager les dérives anti-démocratiques des Ceccaldistes. En cas d'accident, le ministre ne pourra pas dire qu'il ne savait pas ou qu'il n'est pas directement responsable.

MonPuteaux publie l'intégralité de ce courrier :


LIRE LE RECTO, LE VERSO DU COURRIER DE NICOLAS SARKOZY

 

 

NADINE JEANNE CANDIDATE À LA CANTONALE DE MARS 2004
mercredi 29 octobre 2003

Le site de la section socialiste de Puteaux annonce que Nadine Jeanne a été désignée par les militants ("à l'unanimité") pour être leur candidate à la cantonale de mars 2004. Dans leur article, les socialistes expliquent que la mairie leur a refusé une salle le soir de cette désignation.

Sur le site perso de la candidate www.nadinejeanne.com, on apprend par ailleurs qu'une délégation de Puteaux a été reçue vendredi dernier au conseil général par le président Charles Pasqua, afin de lui parler des événements du 17 octobre 2003.

Nadine Jeanne est la 3eme candidate déclarée pour la cantonale 2004, après Annick Herbin du PC et Bruno Ligonie du FN. Charles Ceccaldi compte bien représenter l'UMP, avec le projet d'obtenir une vice-présidence du conseil général. En campagne depuis la rentrée sous couvert de débats sur le PLU, il pourrait se déclarer officiellement fin février, à la toute dernière limite légale.

 

 

SCOOP !!!! LA MAIRIE UTILISE DES E-MAILS BIDONS POUR ÉCRIRE SUR MONPUTEAUX
mercredi 29 octobre 2003

C'est à peine croyable : j'ai découvert que la mairie avait créé plusieurs adresses e-mail bidons (chez yahoo, hotmail, msn et caramail) avec lesquelles elle comptait publier des messages en sa faveur sur le forum de mon site !
Malheureusement pour elles (et heureusement pour moi !), les personnes de la municipalité qui ont tenté cette piteuse opération de manipulation n'y connaissent rien en informatique. Elles ne savent pas que l'anonymat n'existe pas sur le Net... et que chaque mail envoyé est accompagné d'un certain nombre d'informations qui permettent de remonter jusqu'à l'ordinateur d'où il est diffusé.

UN PEU DE TECHNIQUE :

La mairie de Puteaux possède son propre réseau internet, avec ses propres adresses que l'on appelle "IP". Les adresses IP comprises entre 194.250.112.248 et 194.250.112.255 appartiennent à la mairie de Puteaux. Chaque ordinateur possède sa propre adresse IP sans laquelle il ne pourrait communiquer avec les autres ordinateurs.

Toutes ces informations sont référencées par Internic, un organisme indépendant qui gère l'attribution des adresses IP.

Pour la mairie de Puteaux, les références sont les suivantes :
inetnum: 194.250.112.248 - 194.250.112.255
netname: FR-COMMUNE-DE-PUTEAUX
descr: COMMUNE DE PUTEAUX
country: FR
admin-c: JG9422-RIPE
tech-c: JG9422-RIPE
status: ASSIGNED PA
notify: addr-reg@rain.fr
mnt-by: RAIN-TRANSPAC
address: COMMUNE DE PUTEAUX
address: 131 RUE DE LA REPUBLIQUE 92800 PUTEAUX
phone: + 33 1 46 92 96 27
fax-no: + 33 1 46 92 96 28
e-mail: Webmaster@mairie-puteaux.fr

Tous les mails envoyés depuis la mairie de Puteaux sont donc marqués avec une adresse IP comprise entre 194.250.112.248 et 194.250.112.255. C'est un jeu d'enfant de les repérer ! Il suffit de jeter un coup d'oeil dans le "code source" des mails que vous recevez. C'est ce que j'ai fait sur certains mails pour lesquels j'avais des doutes... Quelle ne fut pas ma surprise de constater que les quelques courriels reçus sur mon forum et soutenant la municipalité provenaient de la mairie !

COMMENT LIRE LE "CODE SOURCE" D'UN MAIL :

sur Outlook Express, ouvrir le mail puis aller dans fichiers/ propriétes/ détails/ source du message.

2 EXEMPLES DE MESSAGES "BIDONS" ENVOYÉS PAR LA MAIRIE DE PUTEAUX

- Vendredi 24 octobre, "Valérie M." écrit sur le forum de Monputeaux pour répondre à Isabelle (message diffusé le 23/10 à 19:03). L'IP qui accompagne son e-mail est : 194.250.112.253. Il s'agit donc bien d'un courriel envoyé depuis l'Hôtel-de-ville. Que nous dit cette "Valérie M." ? "Je ne suis pas une cliente", commence-t-elle par préciser. Très drôle ! "Mais j'apprécie tout ce qui est mis à ma disposition et à celle de mes enfants. J'ai habité dans d'autres villes de la région parisienne, notamment à Gennevilliers et je peux vous dire que ca n'a rien à voir avec Puteaux. La qualité de Puteaux est (sans aucune comparaison) meilleure". Il y a comme un certain racisme social qui se dégage de ces propos. "Votre commentaire sur les éditos du maire me fait penser que vous n'êtes pas la petite oie blanche que vous prétendez être", termine "Valérie M." à l'adresse d'Isabelle qui avait osé se moquer des poémes de notre maire adoré.

- Le même jour, vendredi 24 octobre, je reçois un message d'une certaine "Jeanne V.".
L'adresse IP de cet e-mail est 194.250.112.253. C'est aussi un message envoyé depuis la mairie de Puteaux. Que dit-elle : "Je suis la présidente de l'association "Femmes en avant". J'avais protesté, au nom de l'association que j'étais en train de créer, contre ce David qui s'est longuement répandu sur votre site sur son geste violent contre une femme. Toujours est-il que l'histoire n'était pas inventée comme il tente (et vous aussi visiblement Mr Grebert) de le faire croire puisqu'il a eu un rappel à la loi et une amende pour ce geste.". Surprise ! l'association "femmes en avant" -dont on avait pu lire un message sur le site municipal dans la rubrique AGORA (le message y est encore. il est signé M.V. !) est donc une création de la mairie ! Dans le message qu'elle m'envoie "Jeanne V." réaffirme qu'un militant Vert a agressé une femme pendant un conseil municipal. C'est totalement faux. La femme qui affirme avoir été agressée est une chef de service de la mairie. Sa plainte a été déclarée sans suite. Il n'y a donc jamais eu ni amende, ni condamnation. Le militant Vert a été victime d'un véritable guet apens !

(LES ORIGINAUX DE CES E-MAILS "MUNICIPAUX" AVEC LEURS CODES SOURCES LES AUTHENTIFIANT SONT A LA DISPOSITION DE TOUTE AUTORITÉ QUI VOUDRA LES CONSULTER)

Je vous rappelle qu'un filtre a été installé à la mairie pour bloquer l'accès à mon site. Ce n'est donc pas n'importe quel employé de mairie (à qui on interdit la consultation de Monputeaux.com) qui m'a envoyé ces messages. Il ne peut s'agir que d'un responsable important (un élu peut-être ?).

Que penser de cette nouvelle "affaire" putéolienne ? Que la majorité ceccaldiste a encore manqué une occasion de ne pas paraître complètement ridicule ! C'est franchement triste de voir une municipalité se préter à cette lamentable opération. Cela montre aussi que le clan ceccaldiste ne reculera devant aucune manipulation !

Christophe Grébert

 

 

L'EFFET BOOMERANG DES TRACTS CECCALDISTES
mardi 28 octobre 2003

La semaine dernière, le maire a fait distribuer par les employés municipaux un tract d'une violence inouï, signé par Pascal Caumont, conseiller municipal UMP.
Quand on sait que cet élu préside l'une des commissions du conseil des jeunes, les parents de ces enfants de CM2 sont en droit de se demander quel genre d'instruction civique il va leur inculquer.
Beaucoup de Putéoliens ont été choqués par les termes utilisés dans ce tract.
Les lecteurs de MonPuteaux connaissaient le contexte ; par contre, les autres Putéoliens ayant pour seule lecture « Puteaux Infos » sont tombés des nues et ne comprenaient rien à ce qui avait bien pu se passer, ils ont donc interrogé leur entourage, les commerçants pour tenter d'en savoir plus sur ces hordes de voyous qui auraient envahi la ville et qui la mettraient à feu et à sang ; en fin de compte, ils ont ainsi pu en apprendre de belles sur les turpitudes de notre municipalité qui n'est pas aussi exemplaire que les propos policés des revues municipales le laissent croire.
En utilisant des termes haineux, il incite les Putéoliens à se poser des questions, à vouloir des réponses et à se faire une opinion.
Notre maire serait-il en train de perdre la main ?
Alors qu'il a su la jouer fine pendant des années, il semble incapable de maîtriser ses nerfs et une situation qui lui échappe. Au lieu de jouer en sa faveur, son tract, tel un boomerang, se retourne contre lui.
Cette attitude désespère ses fidèles, trop timorés pour lui dire ses quatre vérités et qui se demandent chaque jour avec angoisse où il va les mener.
Il a débuté sa carrière dans une mairie socialiste, va t-il la terminer en la rendant sur un plateau doré à la gauche ?
J.

 

 

DEBUT DES TRAVAUX DE LA PISCINE
lundi 27 octobre 2003

Après des années et des années d'attente, le chantier de la nouvelle piscine de l'île a enfin commencé. Il ne s'agit pour l'instant que de travaux de terrassement. Et il faudra attendre 2005/2006 pour pouvoir barboter à nouveau dans les 2 bassins. Car, il y en aura 2 : une piscine couverte et une piscine extérieure... comme le montre ci-dessous la photo du projet enfin rendue publique par la mairie !

On se demande pourquoi la municipalité n'a jamais présenté de maquette de ce "palais des sports aux deux piscines" à la population. Il faut attendre le début des travaux pour savoir ce qui sera construit ! Le projet est pourtant très important : il coûtera à la ville 25,5 millions d'euros !


Le chantier de la piscine, lundi matin. les engins de chantier creusent le "trou"...

 

 

POLICE MUNICIPALE : UN CHEF DE PLUS OU DE MOINS
dimanche 26 octobre 2003

Il y a réel problème d'encadrement au sein de notre police municipale. En quatre ans, 5 responsables s'y sont succédés :
Il y a eu Monsieur DRUELLE, directeur parti en retraite.
Il y a eu Monsieur BRIDOUX, Chef de Police, mis au placard et parti.
Il y a eu Monsieur HUBERT, Chef de police, remercié et parti.
Il y a eu Monsieur BOULANGER, remercié sans ménagement.
Et maintenant, il y a Monsieur DAUCHY, le seul a avoir accédé à la catégorie B du cadre d'emploi. Arrivé de la commune de Neuilly, considéré par certains ceccaldistes paranos comme une taupe, il a été prié de retraverser la Seine....
A qui le tour ? Déjà un nom circule...

 

 

DISTRIBUTION DOMINICALE DE L'UMP LOCALE
dimanche 26 octobre 2003

Des "militants" ceccaldistes (employés municipaux ?) ont distribué ce matin sur le marché un tract signé (au feutre) "UMP"... dont le texte restera certainement dans les annales comme le degré zéro de la communication politique !

"Sous les réserves d'usage le PS a infligé un désaveu au commando des envahisseurs forcenés venus de tout le département. L'un d'eux, petit journaliste à Puteaux, faisait chaque jour l'éloge de Pasqua sur la radio départementale. Aujourd'hui il fait l'éloge de la gauche folle."



Que ceux qui comprennent quelque chose à ce tract m'écrivent d'urgence !!! :o)))
La manière parfaitement suicidaire dont se ridiculise la majorité municipale me laisse personnellement pantois !
CG

 

 

LA SECURITE VUE PAR LA MUNICIPALITÉ : ERREURS, OMISSIONS, APPROXIMATIONS, MENSONGES
samedi 25 octobre 2003

PM = police municipale
PN = police municipale
OPJ = officier de police judiciaire
SMS = service municipal de surveillance

Dans le dossier consacré à la sécurité publié dans le "Puteaux infos" d'octobre, la mairie montre encore une fois la haute considération qu'il a de la police nationale en la plaçant en troisième position comme acteur de la sécurité dans SA ville.
Il a certainement oublié qu'il a signé, conjointement avec le préfet, deux conventions de coordination (Puteaux et Défense) qui officialisent l'existence de sa PM, déterminent ses missions et la subordonne aux patrons de ces deux circonscriptions (pas de convention = pas de PM).
Pourquoi ne parle-t-on pas de la PN de la Défense ?
Les agents de la PM, après avoir recu les agréements du préfet et du procureur, sont concidérés comme des agents de police judiciaire adjoint... et de ce fait sont directement subordonnés aux commissaires dans l'excercise de leurs missions sur la voie publique.
Le maire, même en rappellant qu'il est "officier de police judiciaire" n'a aucune prérogative sur les procés verbaux que les PM établissent. Il n'a aucun droit légal de regard, ni de décider de leur transmission à l'autorité judiciaire. En le faisant il se met hors la loi. Si les Pm acceptent cette situation c'est qu'ils y trouvent leur compte...
Par deux fois, il est fait référence à la Gendarmerie. Aurait-on oublié que puteaux est en zone police et que la gendarmerie n'intervient sur le territoire de la commune que ponctuellement pour certaines enquêtes.
Plutôt que d'écrire que les 26 PM travaillent en 3 brigades, il aurait été plus intéressant de nous communiquer le taux d'encadrement, le nombre de stagiaires et l'ancienneté moyenne de cet effectif.
En aucun cas, il est fait appel directement au SAMU. Les pompiers sont toujours les premiers à intervenir.
La surveillance des bureaux "privés" ne rentre pas dans les prérogatives de la PM, sauf dégats contatés ou sur réquisition de la PN.
Pas de commentaire sur le pourcentage des interventions, sauf que les 56% manquant doivent correspondre aux Procés Verbaux qui n'ont pu être censurés par l'autorité municipale.
Un radar de prévention ? Un radar c'est un radar. On peut faire de prévention ou de la répression. Il se trouve donc qualifié par son mode d'utilisation. A la différence que pour faire de la répression son utilisation par la PM est subordonnée à un OPJ donc à la PN. Dans ce cas, le maire ne domine pas l'emploi de Son radar. Pourquoi avoir retiré ce radar à la PN qui l'utilisait régulièrement sur les voies "rapides" de la commune et contribuait à leur sécurisation ?
Peut-on demander au rédacteur de définir "des moyens de légitime défense" ?
Le jour où la photographe de la mairie a fait les photos la brigade devait être reduite à quatre agents car on voit toujours les mêmes.

Le SMS : ce service n'a aucune structure légale. Le métier d'agent de surveillance n'exsite pas au catalogue des professions des collectivités territoriale. C'est pourquoi les agents qui le composent sont recrutés comme AGENT D'ENTRETIEN sous contrats. Ils n'ont aucune prérogative pour la surveillance de la voie publique, ormis les agents agrémentés pour le stationnement et uniquement pour cette mission. Toutefois ces agents sont autant d'yeux qui sont à meme d'informer les polices des problèmes rencontrés sur la ville. Ils n'ont aucun pouvoir d'intervention et ne peuvent agir que comme citoyen. Ils peuvent etre appellés a aider les PM pour sécuriser une zone ou un accident. D'ailleurs leur utilisation ou leur participation à la sécurité publique peut être remise en question en cas de problème majeur. Leur compétence se borne à la surveillance des biens communaux. Ils ne peuvent en aucun cas réprimer un manquement à un arrêté municipal et doivent faire appel aux forces de police pour cela.
En totalisant la répartition des effectifs on arrive à 68 pour 56 annoncés !
Pourquoi voit-on une voiture en photo alors que les moyens annoncés ne font mention que de 2 roues ?
Il est plus facile de recruter des contractuels, mués pour cause alimentaire que des PM plus difficiles à museler.
Pourquoi ce dossier occulte complétement la participation journalière d'une société de gardiennage à la sécurisation des cités HLM : Lorilleux, Cartaux, Rosiers. Pourtant le coût financier n'est pas négligeable.
C'est nouveau la PN collabore avec la PM. Tous les textes disent le contraire.
A moins que la technique ait changé, les vidéos des escalators et Monges ne sont visualisés qu'en cas de probleme technique. Ils ont en revanche oublié le passage Félix PYAT qui est la seule vidéo opérationnelle.
La videosurveillance à Puteaux, c'est l'arlésienne. On nous annonce une troisième étude en 2003... mais on nous dit pas le coût global des deux premières qui n'ont pas abouties certainement pas nanque de volonté politique et de compétence municipale.

 



"ON DIRAIT CESAR !" - LE DISCOURS DU MAIRE DU 17 OCTOBRE 2003
vendredi 24 octobre 2003

Le site www.puteaux92.com diffuse le son d'une partie du discours qu'a prononcé le maire le soir du 17 octobre 2003, avant de lacher ses gros bras sur les citoyens et élus venus assister pacifiquement au conseil municipal. "On dirait César ! ", commente quelqu'un dans la foule. Un document à la fois amusant et triste, car les pratiques d'un autre siècle de Charles Ceccaldi font beaucoup de mal à la politique...

ECOUTEZ CE SON (C'EST UN FICHIER WAV QUI FAIT ENVIRON 1 MO)

"Nous vous avons laissé pénétrer (dans la mairie) car nous sommes des démocrates" ose dire le maire ! C'est fort de café ! C'est un commissaire de police qui -forçant le barrage des gros bras municipaux- m'a permis d'atteindre le hall de l'hôtel de ville, d'où je serai ejecté manu militari aussitôt après la fin du discours du maire !

Comprenez-vous comme moi qu'à un moment Charles Ceccaldi lance"A mort les totalitaires !" ? Comme il venait de dire juste avant que j'étais un totalitaire... n'est ce pas là une menace de mort à mon encontre prononcée par mon maire ????

 

 

LES BREVES DE PUTEAUX
vendredi 24 octobre 2003

- Une tour Eiffel à Puteaux ? Véridique ! La ville a bien failli commander une tour métallique de 30 mètres de haut à la société Eiffel. La tour, en fait une sorte de flêche lumineuse ("un phare du futur" dixit le maire), devait être construite à côté de la vieille église ! Le projet aurait coûté au moins 500.000 euros ! Finalement, c'était tellement moche... que le maire a décidé de renoncer au monumental "signal", au motif qu'il était "trop futuriste"... On a eu chaud !
Comment la mairie a-t-elle pu envisager de construire une telle tour au pied d'un monument classé (la vieille église) pour reconnaître ensuite que ce projet "contreviendrait aux exigences des architectes des bâtiments de France"
! Nous sommes dans la 5eme dimension !
La municipalité a payé des frais d'études pour ce projet que l'on savait d'avance irréalisable. Le montant de ces frais inutiles n'a pas été communiqué. La mairie n'a pas communiqué non plus sur ce projet. En aurait-elle honte ?


- Un guide en or. Autre dépense énorme : la mairie a demandé à un avocat de réaliser spécialement pour ses services un "guide des procédures de commande publique". L'avocat a facturé ses services 15.548 euros (plus de 100.000 FF) !!!!

- Elections dans les écoles. Les 17 et 18 octobre se sont déroulées les élections des représentants des parents d'élèves. A Puteaux, la PEEP domine avec 83 élus, contre 10 élus pour la FCPE... et 49 pour les autres listes.

- Juge de proximité attend plaignants. La première audience d'un juge de proximité, qui devait avoir lieu jeudi matin à Puteaux, n'a finalement pas eu lieu, faute de contrevenant ! Ce premier dossier, signale l'AFP, concernait une affaire de coups et blessures entre concubin et concubine, mais l'intéressé ne s'est pas présenté au tribunal. Le juge Alain Laporte, un magistrat à la retraite, également ancien avocat reviendra début novembre au tribunal de Puteaux, pour une audience au civil qui devrait traiter une dizaine d'affaires dont des pantalons égarés au pressing et le non remboursement de caution.

- Bientôt 2 radars automatiques à Puteaux. Ils seront installés sur l'A14.

- Le nouveau club de rugby hors-jeu. Le Comité Départemental du 92 de la FFR a rejeté (comme c'est son droit) la demande de création d'un nouveau club de rugby version ceccaldienne. Par ailleurs, devant le nombre insuffisants des inscriptions, des non-Puteoliens sont de nouveaux admis ! Et dire que c'est ce qui avait été reproché à l'ancien club et déclenché sa suppression par décision du... maire ! R.

- La boîte aux lettres du 21eme siècle. La Poste a installé une nouvelle boîte devant la mairie de Puteaux :


- La France en photos. Edouard Roubat expose ses photographies au Palais de la culture... des images de "La France" à voir jusqu'au 31 octobre. Entrée libre...

 

 

APRES LE COUP DE FORCE DU MAIRE : SILENCE ASSOURDISSANT À DROITE
mercredi 22 octobre 2003

Alors que les messages de soutien à MonPuteaux.com et les déclarations publiques condamnant Charles Ceccaldi se multiplient à gauche jusqu'au plus haut niveau... étrangement à droite c'est le silence radio : personne à l'UMP et aucun élu de droite dans le 92 (même pas Balkany !) pour soutenir le maire de Puteaux et sa fille. Ces derniers ont pourtant été qualifiés d'anti-démocrates ! Or, il n'y a aucun sénateur pour défendre un vieux collègue, ni un seul député pour venir en aide à la jeune suppléante du ministre phare du gouvernement !

Ce silence assourdissant est révélateur. Il montre combien les Ceccaldi sont isolés et ne règnent désormais plus que sur leurs seules terres putéoliennes. Charles et Joëlle ne peuvent plus compter que sur ceux qui, à Puteaux, acceptent encore leur domination. Mais combien de temps encore ce réseau clanique et clientéliste vieillissant tiendra-t-il ?
Par la propre volonté du maire, la sociologie de Puteaux a bien changé depuis 10 ou 20 ans. Et de nombreux électeurs de droite, vivant dans les nouveaux immeubles de standing constuits sous le Ceccaldisme, ne se reconnaissent plus du tout dans cette UMPuteaux là !

Il n'y a qu'à lire le tract de "l'UMP Puteaux" diffusé hier et aujourd'hui dans nos boites aux lettres par des employés municipaux (pendant leurs heures de travail, donc avec nos impôts !), pour réaliser combien le ceccaldisme est moribond. Politiquement, il n'existait déjà plus depuis longtemps.

LA MAIRIE FAIT DIFFUSER PAR DES EMPLOYÉS MUNICIPAUX UN TRACT DE "L'UMP PUTEAUX"

"Un commando conduit par des socialio-communistes venus d'ailleurs tente en vain un coup de force contre la mairie", signe le conseiller municipal ceccaldiste Pascal Caumont

Je vous laisse juge : RECTO - VERSO



Dans ce tract, la municipalité affirme encore une fois que j'ai tenté de "casser la porte d'accès réservée aux handicapés" de l'Hôtel-de-ville. Tout cela est absurde et totalement faux. Si j'avais tenté de casser quoi que ce soit, la mairie se serait fait un plaisir de me poursuivre. Or, rien. Bien entendu, puisque c'est un mensonge. J'ai donc l'intention de porter plainte auprès du procureur de la République pour diffamation.
Christophe Grébert

 

 

LES EVENEMENTS DE PUTEAUX ÉVOQUÉS AU CONSEIL MUNICIPAL DE NANTERRE
mercredi 22 octobre 2003

Le conseil municipal de Nanterre s'est réuni mardi 21 octobre. Au cours de la séance, Patrice Marchal , conseiller municipal socialiste, a fait la déclaration suivante devant ses collègues :

"Cher(e) collègue,
Les élus socialistes de Nanterre sont indignés et sous le choc. La ville de Puteaux ne semble plus être en République. Les droits élémentaires du citoyen y sont régulièrement bafoués : un habitant de cette commune est empêché systématiquement d'assister au Conseil municipal. Vendredi dernier, une étape supplémentaire a été franchie puisque des élus et des citoyens qui venaient assister pacifiquement au conseil municipal ont été empêchés d'entrer dans la mairie, avant même le début de la séance, celle-ci étant « gardée » par des dizaines de personnes violentes aux ordres du maire. Comme vous le savez la liberté d'expression, de réunion et de circulation sont des droits civiques fondamentaux. A Puteaux, ces droits élémentaires sont bafoués par ceux-là même qui sont en charge de les faire respecter.
Depuis plus d'un an, Christophe Grébert, journaliste et militant politique, est empêché de participer aux conseils municipaux de Puteaux par la force. Dès qu'il se présente à la mairie pour assister à un conseil municipal, comme il est de droit pour tout citoyen, il est immédiatement saisi par le personnel communal et expulsé violemment. Cette interdiction a depuis peu été élargie à d'autres réunions municipales. Son crime, il a ouvert un site Internet où il publie ses opinions et celles de ses concitoyens sur la politique menée par le sénateur-maire Charles Céccaldi-Raynault. Monsieur le sénateur-maire justifie cette interdiction par le fait qu'il ne serait pas en mesure d'assurer la sécurité du citoyen Grébert dans la salle du conseil municipal. A cause de ses opinions et pour le protéger, il le fait expulser systématiquement de la mairie !!!
Ces explications, pas plus que l'usage de la force contre des citoyens et des élus sous l'autorité du maire ne sont acceptables.
Vendredi soir 17 octobre, des élus et des militants ont constaté et ont été victimes des violences dirigées contre Christophe Grébert. Devant les caméras de télévision et les journalistes de la presse écrite, le maire de Fontenay-aux-Roses, premier secrétaire du parti socialiste, Pascal Buchet, Francine Bavay Vice-présidente du conseil régional (Verts), Maurice Lobry (PS) conseiller régional, Gabriel Massou (PCF) conseiller régional, et les nombreux militants et élus présents qui accompagnaient Christophe Grébert, ont été molestés par le personnel communal à l'entrée de la mairie. Dans
le même temps, par la sonorisation extérieure, Charles Céccaldi, micro à la main, exhortait ses employés à utiliser la force je cite : « dehors les hordes d'envahisseurs socialos-communistes, vive l'UMP ».
Madame la Députée-maire, cher(e) collègue, ces événements graves démontrent que des dérives inacceptables sont à l'oeuvre dans cette commune voisine. Si des représentants élus font subir aux citoyens et aux élus des violences illégitimes, c'est notre pacte républicain qui est rompu.
Comment s'étonner ensuite des violences contre les élus si les institutions chargées de faire respecter la loi s'en prenne physiquement aux citoyens, donnant là un exemple lamentable ?
Pour ma part, je siège sous la présidence de monsieur Charles Céccaldi-Raynault au SICUDEF, syndicat de chauffage de la Défense. Tant que le citoyen Grébert n'aura pas la possibilité d'exercer l'intégralité de ses droits civiques et que l 'état de droit ne sera pas redevenu la règle de vie commune à Puteaux, je refuserai de participer aux réunions d'une institution présidée par l'individu responsable de cette situation.
Je demande à chacun de mesurer la gravité de ce qui s'est passé et j'interpelle publiquement les pouvoirs publics et la justice. Vous n'êtes pas sans savoir que ces incidents se sont déroulés dans la circonscription du ministre de l'Intérieur.
Madame la Députée-maire, en tant que parlementaire, vous ne pouvez pas non plus rester insensible à ces événements.
Nous prenons nos responsabilités et espérons que chacun prendra les siennes. C'est pourquoi je demande à tous les groupes politiques de marquer publiquement leur réprobation à l'encontre de ces agissements".

 


COUP DE FORCE DU MAIRE : RÉACTIONS DES COMMUNISTES DES HAUTS-DE-SEINE
mardi 21 octobre 2003

>ANNIE MANDOIS, conseillère municipale communiste de Levallois-Perret, était présente vendredi soir devant l'hôtel-de-ville de Puteaux. Elle témoigne de ce qu'elle a vu dans un communiqué diffusé à la Presse :

" ASSEZ DU TOTALITARISME DE CECCALDI-RAYNAUD !
J'étais à Puteaux, Hauts-de-Seine, Ile de France, France, ce 17 octobre 2003. Pourtant, je me suis demandée en quel pays et à quelle époque nous étions !
Comment des élus, Maire ( M. Ceccaldi- Raynaud ), Députée ( Mme Ceccaldi, fille du Maire et suppléante en 1997 de M. Sarkozy, aujourd'hui ministre de l'Intérieur), pouvaient ainsi en toute impunité, et en utilisant la violence physique, bafouer les lois de la République et la démocratie !
Tout cela pour empêcher un citoyen putéolien, Christophe Grébert, d'assister au conseil municipal dont il est interdit de séjour depuis plusieurs mois.
Son délit : avoir créé un site sur lequel montrant son intérêt pour sa ville, il donne des informations et dit ses désaccords avec la politique municipale.
Un vrai crime de lèse-majesté pour M. Ceccaldi-Raynaud et sa fille!
Vendredi, des habitants de Puteaux et des élus PC, PS, Verts du département sont venus lui apporter leur soutien à l'occasion de la réunion d'un conseil municipal, où il entendait se rendre malgré l'interdiction.
Deux rangées de " gros bras", prêts à tout, barraient la porte d'entrée et ont poussé avec violence, les élus de gauche, dont la conseillère municipale PS de Puteaux, citoyens putéoliens considérés comme des intrus dans leur propre mairie, et journalistes.
Comment le Ministre de l'Intérieur peut-il tolérer que de tels faits se produisent dans sa circonscription, dans son département ?
Nous ne pouvons pas laisser faire. La démocratie est en danger.
Mrs Balkany à Levallois-Perret, Ceccaldi-Raynaud à Puteaux, Pémezec au Plessis-Robinson, Aeschlimann à Asnières, etc..la liste est longue des comportements anti- démocratiques des élus de droite dans ce département.
Non, les Hauts-de-Seine ne sont pas un " fief " à part. Ces élu(e)s ne peuvent pas tout se permettre.
Ils ne sont pas au-dessus des lois de la République. En les bafouant, ils bafouent tous les citoyens
Elus, leur premier devoir, est, pour eux-mêmes, de les respecter.
Nous ne nous laisserons pas intimider, sinon vers quel totalitarisme allons-nous?
Démocrates, républicains, élus et citoyens, nous avons une responsabilité particulière.
Je lance un appel à tous les signataires de " L'appel contre le populisme", qui m'ont apporté leur soutien dans mon action contre P.Balkany, pour qu'ensemble nous élargissions la riposte.
Je propose, pour l'immédiat, de faire fonctionner le réseau d'alerte créé sur le site de la fédération du PCF, pour révéler tous les faits, et j'appelle les signataires à aller vers des actes de solidarité multiples, à envisager les différentes formes d'actions que pourrait prendre notre détermination à faire reculer de tels comportements et faire avancer la démocratie dans les Hauts-de-Seine. "

>Roland Muzeau, Sénateur des Hauts-de-Seine, fait une déclaration et écrit au Ministre de l'Intérieur :

"Gennevilliers, le lundi 20 octobre 2003
Scandaleux : M. Ceccaldi-Raynaud opère le tri sélectif entre citoyens !
Interdire l’accès à une séance publique du Conseil municipal : ça n’existe pas ! A Puteaux, si ! Un citoyen de Puteaux, dont le seul « crime » est de montrer son intérêt à la vie locale, de créer un site Internet sur sa Ville, qui donne des informations, des points de vue, des critiques, est, depuis un an, interdit d’accès en Mairie pour suivre ce qui se dit pendant les séances du Conseil municipal. Vendredi dernier, il se fait accompagner d’élus de gauche du département. Même motif, même punition : les gros bras du sénateur-maire UMP sont là pour les refouler, sous le prétexte que la salle a déjà été remplie depuis 2 heures ! C’est incroyable, et inadmissible ! On aurait pu croire ces pratiques dictatoriales révolues ! Mais monsieur Ceccaldi-Raynaud confirme, une fois de plus, qu’il fait fi de toute pratique républicaine usuelle. Il ignore avec mépris, l’aspiration la plus élémentaire de citoyens à participer à la vie sociale et démocratique de leur ville et de leur pays. Je formule le vœu que cette exigence citoyenne devienne majoritaire. J’adresse mon soutien solidaire aux citoyens de Puteaux confrontés aux diktats d’un potentat local. Je proteste immédiatement auprès du ministre de l’intérieur".

"Gennevilliers, le lundi 20 octobre 2003
Monsieur Nicolas SARKOZY
Ministre de l'intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales Monsieur le Ministre,
Je tiens à vous faire part de ma surprise et de mon indignation, suite aux évènements survenus le vendredi 17 octobre dernier en Mairie de Puteaux.
Tout d’abord interdire l’accès aux séances du Conseil municipal, en principe publiques, à un citoyen de la Ville, sous prétexte qu’il a osé émettre des critiques envers l’action de son sénateur-maire est dangereux et scandaleux.
Cette situation de fait ne doit pas nous étonner : vous connaissez comme moi les tendances autoritaires de monsieur Ceccaldi-Raynaud, et sa propension à faire le tri entre ses administrés.
Rappelons-nous le 20 août 1996, et l’affaire du transfert sur Gennevilliers, d’employés communaux de Puteaux, tous d’origine africaine.
Ces tendances étant bien connues, j’estime qu’il vous incombe, au regard des déclarations publiques faites sur l’Etat de droit, d’anticiper de tels manquements, et d’intervenir dans votre circonscription, auprès de votre collègue de parti, et suppléant, pour faire respecter l’ordre républicain.
La Commune de Puteaux ne peut devenir une zone de non-droit livrée aux mains partisanes d’un clan.
En effet, non seulement ce citoyen, monsieur Christophe Grébert, a été refoulé manu militari par des sbires de monsieur le sénateur-maire, non seulement différents élus de gauche et verts du département n’ont pu entrer dans la salle du conseil « préparée » pour les empêcher d’assister à la séance, mais monsieur le Commissaire de police de Puteaux s’est vu également interdire l’accès de la Mairie.
Je souhaiterais donc que vous usiez de votre autorité pour diligenter une enquête préalable aux mesures à prendre, de façon à ce que la vie démocratique et citoyenne puisse être garantie dans cette Commune qui doit être rendue à la Liberté.
Dans l’attente d’une réponse que j’espère favorable,
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre
Roland MUZEAU"

 

 

ETAT DE NON DROIT DANS LA CIRCONSCRIPTION DE NICOLAS SARKOZY
lundi 20 octobre 2003

L'article L2121-18 du code général des collectivités territoriales précise "les séances des conseils municipaux sont publiques". La salle des séances doit être accessible à toute personne, sans restriction.
A Puteaux, cet article est bafoué depuis plus d'un an par le maire qui l'assume au grand jour.
Depuis plusieurs mois, cette atteinte aux lois fondamentales de la République a été portée à la connaissance du commissariat de police de Puteaux, du préfet des Hauts de Seine et du ministre de l'Intérieur. Journaux, radios et télévisions en ont parlé. Mais à ce jour, aucune autorité n'a rien fait pour que la loi s'applique à Puteaux comme dans n'importe quelle autre commune de France.
Fort d'un soutien implicite ou explicite, le maire ne fait plus dans la dentelle et n'hésite pas à muscler ses méthodes.
Il a commencé par interdire l'accès des tribunes aux sympathisants de l'opposition en les remplissant plus de deux heures à l'avance avec des employés municipaux et des sympathisants de l'UMP, du même coup les simples citoyens ne peuvent plus y accéder.
Puis, le maire a jugé que la présence de sympathisants de l'opposition dans les couloirs de la mairie, c'était encore trop. Il a donc décidé de leur interdire d'entrer dans la mairie.
Après un premier essai lors de la réunion du PLU, il a décidé de franchir une nouvelle étape, celle des violences physiques, mise en oeuvre vendredi soir devant les caméras de la télévision publique, les journalistes et de nombreux putéoliens abasourdis face à un tel déferlement de violence que rien de saurait justifier.


un Ceccaldiste donne un coup de pied dans la direction du cameraman de France 3


Alors que le ministre de l'Intérieur s'est donné pour mission d'éradiquer les zones de non droit sur l'ensemble du territoire, combien de temps acceptera t'il que dans sa propre circonscription les règles les plus élémentaires de l'Etat Républicain soient bafouées au grand jour par un maire, sénateur de la République ?
Attendra t'il qu‚il y ait mort d'homme pour prendre les mesures qui s'imposent et qu'il a déjà mises en oeuvre dans d'autres communes de France ?
A force de tergiverser ou de laisser faire, l'image de l'homme public qui s'est engagé à rétablir l'autorité de l'Etat, en pâtira-t-il au point d'hypothéquer ses chances d'accéder aux plus hautes fonctions de l'Etat ?
J.



DE QUOI LES CECCALDI ONT PEUR ?
lundi 20 octobre 2003

Charles et Joëlle Ceccaldi, le père et la fille, tous deux parlementaires, peuvent constater dans les tribunes de l'Assemblée et du Sénat la présence de spectateurs de tous bords, sympathisants des différents partis ou simples citoyens. Il en est ainsi depuis que la République est notre.

Dans toutes les communes de France, les séances du conseil municipal sont publiques sauf à Puteaux où le maire remplit les tribunes avec des employés municipaux et des sympathisants de l'UMP et interdit l'entrée de la mairie aux sympathisants de l'opposition. Pourquoi ?

Pourquoi auraient-ils peur de quelques militants de gauche alors qu'ils sont réélus depuis des années avec des scores très confortables ?
Auraient-ils des choses à cacher ?

Souvenons-nous des révélations sur les mandatures Chirac-Tibéri suite à l'arrivée de la gauche en 2001 à la mairie de Paris : emplois fictifs ou de complaisance, logements pour la famille ou les amis, frais de bouche, voyages, pleins d'essence pour les véhicules personnels aux pompes municipales, etc...

Alors que le budget de la ville de Paris est de 3.000 euros par parisien, celui de la ville de la ville de Puteaux est de 7.000 euros par putéolien ! Avez-vous l'impression d'en avoir pour votre argent ?

En cas de victoire de la gauche à Puteaux, la droite aurait-elle tout à craindre d'un audit ?

Puteaux, c'est en effet 280 millions d'euros de budget pour 40.000 habitants, c'est 2.000 employés municipaux, c'est 5.000 logements de l'office HLM municipal... Puteaux, ce sont les 2 tiers du quartier de La Défense, le CNIT, la Grande Arche, les Quatre Temps, les sièges des plus grandes sociétés internationales... Puteaux, c'est beaucoup de pouvoir, beaucoup d'argent. Les Ceccaldi règnent ici en maîtres absolus depuis 35 ans.

Il est plus que temps que ceux qui savent parlent ! Il est plus que temps que les Putéoliens se réveillent et ne s'aveuglent plus de ce clientélisme d'un autre temps. La politique, c'est autre chose. Puteaux mérite mieux !
J. et C.

 

 

LE MAIRE ET SA FILLE N'EN SONT PAS A LEUR PREMIER "COUP"
lundi 20 octobre 2003

Ce qui s'est passé vendredi dernier à la mairie de Puteaux n'est que le dernier "coup" de la famille Ceccaldi. En février dernier, ils avaient fait un scandale au commissariat de Puteaux, accusant les policiers d'être des "socialistes" (pour eux, c'est une insulte). Les policiers avaient eu le tort de verbaliser Vincent Franchi-Ceccaldi, le propre fils de la 1ere adjointe et députée et petit-fils du sénateur maire...

A l'époque, le Parisien avait rapporté l'affaire et iTélé avait diffusé un reportage.

LIRE L'ARTICLE DU PARISIEN

LIRE LE SUJET DE iTélé (FICHIER REAL)

 

 

QUAND LE MAIRE ORGANISE UNE FAUSSE MANIF DE PUTÉOLIENS
lundi 20 octobre 2003

Le maire a organisé vendredi soir une "fausse" manifestation de la "population en colère" contre l'opposition. Vous avez vu la tête des putéoliens qui tiennent les banderoles ? (pour la petite histoire, il s'agit d'employés municipaux)... Je vous assure les Putéoliens ne sont pas tous des barbouzes ! :o////


(image France 3)



QUAND JE SUIS EXPULSÉ DE LA MAIRIE (IMAGES FRANCE 3)
lundi 20 octobre 2003

Voici quelques images tirées du film de France 3. Après avoir pu passer la première porte de l'hôtel-de-ville grâce à l'intervention d'un commissaire de police, je suis expulsé par les gros bras du maire ("dehors les envahisseurs" lance Charles Ceccaldi dans la sono !) :

 

 

LE POINT SUR LE COUP DE FORCE DU MAIRE : ARTICLE DANS LIBÉRATION, DANS "20 MINUTES" ET LE PARISIEN... LETTRES DU PS À NICOLAS SARKOZY ET AU PREFET... PLAINTE POUR VOL DU JOURNALISTE DE L'AFP...
lundi 20 octobre 2003

> Pascal Buchet, responsable du PS 92, maire de Fontenay-aux-Roses et Conseiller général, a écrit au ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy :

"Monsieur le Ministre,
La ville de Puteaux ne semble plus être en République. Les droits élémentaires du citoyen y sont régulièrement bafoués : un habitant de cette commune est empêché systématiquement d’assister au Conseil municipal.
Après être intervenu auprès de Monsieur le Préfet des Hauts-de-Seine, j’ai voulu me rendre compte personnellement de la situation et ai donc voulu venir à la dernière séance du Conseil municipal, ce vendredi 17 octobre 2003.
J’ai tout d’abord constaté qu’il était impossible d’entrer dans la mairie avant même le début de la séance du Conseil municipal, celle-ci étant « gardée » par des dizaines de personnes violentes aux ordres du maire.
Conseiller général des Hauts-de-Seine et demandant à entrer, j’ai été molesté par ces individus de même que les élus municipaux de l’opposition, le citoyen en question, les journalistes présents ainsi que les deux commissaires de la Police nationale isolés sans que les 8 agents de Police stationnés sur le trottoir n’interviennent.
L’irresponsabilité du maire est certaine mais je considère que la responsabilité de l’Etat est en cause pour manquement grave à garantir la sécurité des personnes et la liberté des citoyens à Puteaux.
Monsieur le Préfet m’a pourtant assuré que les instructions avaient été données mais de fait n’ont pas été appliquées en ce vendredi 17 octobre.
Aussi, je me permets de vous saisir pour qu’une enquête soit diligentée par vos services sur cette grave affaire, que vous m’indiquiez les raisons qui ont motivé l’absence d’intervention et la faiblesse de la Police nationale à garantir la sécurité des élus et citoyens présents, ainsi que les mesures que vous comptez prendre pour que les principes constitutionnels et la loi républicaine s’appliquent enfin à Puteaux.
Dans l’attente de vous lire, je vous prie de recevoir, Monsieur le Ministre, l’assurance de ma haute considération".

 

>Les élus putéoliens de l'opposition ont envoyé un courrier au préfet du 92 pour demander l'annulation du conseil municipal du 17 octobre :

"Monsieur le Préfet,
Le vendredi 17 octobre s'est tenu un Conseil municipal à Puteaux. Trois élus de l'opposition sur cinq étaient présents devant l'hôtel de ville : Monsieur GHENASSIA, Monsieur BRISSET, Madame JEANNE. Monsieur REIN avait donné mandat à Madame JEANNE, Madame BENSAID était absente et n'avait pas donné mandat.
Nous avons voulu avant d'entrer nous assurer que Monsieur Grébert, militant socialiste, interdit de conseil depuis près d'un an et récemment molesté à l'entrée d'une réunion publique, pourrait assister, comme n'importe quel autre citoyen, à ce conseil. Or il n'en a rien été.
A deux reprises, Monsieur Grébert, les conseillers municipaux de l'opposition, les élus du département, de la région ainsi que tous les citoyens de Puteaux non invités par le Maire ont été violemment repoussés à l'extérieur de l'hôtel de ville.
Monsieur Ghénassia a néanmoins pu parvenir jusqu'à la salle du conseil où il a déclaré, en notre nom, que nous ne pouvions siéger dans de telles conditions.
En conséquence, nous demandons l'annulation de tous les actes de ce conseil.
Nous vous prions de recevoir, Monsieur le Préfet, l'expression de notre haute considération".



> Le journal LIBERATION publie ce lundi matin un article (page 17) sur la soirée de vendredi devant l'Hôtel-de-ville :

"Politiques- Puteaux: un PS indésirable au conseil municipal
Il dénonce les méthodes du maire et écrit à Sarkozy.
Par le karst marylin
lundi 20 octobre 2003 selon Pascal Buchet, maire (PS) de Fontenay-aux-Roses et conseiller général, la passivité des services de l'Etat face aux méthodes très particulières du sénateur-maire UMP de Puteaux, Charles Ceccaldi-Raynaud, doit être qualifiée de «scandale de la République». Vendredi soir, l'élu socialiste participait devant la mairie de Puteaux à une manifestation dénonçant le fait que Christophe Grébert, militant du PS et animateur du site contestataire monputeaux.com, se voit depuis des mois interdire l'accès à la séance du conseil municipal. Quand le petit groupe a tenté de pénétrer dans l'hôtel de ville, il a été refoulé par des gros bras municipaux employés par la mairie. Les journalistes et cameramen présents ont également été bousculés, alors qu'une contre-manifestation d'une centaine de personnes conduites par Joëlle Ceccaldi, députée (UMP), première adjointe et fille du maire, dénonçait le «totalitarisme» et les «socialo-communistes».
Pascal Buchet écrit aujourd'hui au ministre de l'Intérieur et probable patron des Hauts-de-Seine pour déplorer que «la ville de Puteaux ne [soit] plus en République». Il demande l'ouverture d'une enquête pour expliquer «l'absence d'intervention et la faiblesse de la police nationale pour garantir la sécurité des élus et citoyens présents». Et accessoirement, pour faire respecter l'accès libre au conseil municipal".
 
LIRE L'ARTICLE SUR LE SITE DE LIBERATION

 

> Le Parisien, dans son édition des Hauts-de-Seine, revient également sur cette soirée. Il nous apprend notamment que le journaliste de l'AFP présent à Puteaux vendredi a porté plainte pour vol de son carnet de notes à l'intérieur de la mairie :

Puteaux - Le PS en appelle à Sarkozy
LA COULEUR avait été annoncée dès vendredi soir. Après avoir été refoulés manu militari de la mairie de Puteaux, en marge de la séance du conseil municipal, les élus et sympathisants de gauche avaient promis de donner suite. Comme à chaque fois qu'il est interdit de conseil municipal, Christophe Grébert a déposé une main courante. Ce journaliste putéolien est indésirable depuis qu'il a créé un site Internet très critique à l'égard de la majorité de Charles Ceccaldi-Raynaud. Motif invoqué par le maire (UMP) : « Ses positions sont tellement détestées que sa sécurité ne serait plus assurée s'il assistait au conseil. » Certes, vendredi il avait pu rejoindre le hall de la mairie, sous escorte policière, avec Pascal Buchet, conseiller général PS, mais le répit ne fut que de courte durée, puisqu'il s'est une seconde fois retrouvé dehors. Pascal Buchet, de son côté, a choisi d'adresser aujourd'hui un courrier au ministre de l'Intérieur, afin qu'il diligente une enquête. En se rendant au côté de Christophe Grébert, avec d'autres élus, il tenait à se « rendre compte de la situation ». « L'irresponsabilité du maire est certaine, mais je considère que la responsabilité de l'Etat est en cause pour manquement grave à garantir la sécurité des personnes et la liberté des citoyens à Puteaux », indique-t-il en interrogeant Sarkozy sur « l'absence d'intervention et la faiblesse de la police nationale ». Les trois élus socialistes, qui ont finalement refusé de siéger vendredi, ont réclamé par lettre au préfet l'annulation de la séance. Enfin, un journaliste de l'AFP a déposé plainte après le vol de son carnet de notes dans la mairie.
C.S.

LIRE L'ARTICLE SUR LE SITE DU PARISIEN

 

>Le journal gratuit "20 minutes" rapporte les faits de vendredi :

"Bagarre au conseil municipal : bousculades, vendredi soir, à l'entrée du conseil municipal de Puteaux (92).
Plusieurs dizaines d'opposants à la municipalité UMP, qui affirment qu'on leur refuse l'accès au conseil, étaient venus, accompagnés d'élus de gauche, faire la preuve de cette entrave. Les journalistes présents sur place ont également été bousculés et expulsés".

 

 

LES RÉACTIONS LOCALES DU PS, DE L'UMP (CECCADISTE) ET DU FN
dimanche 19 octobre 2003

Les réactions politiques après ce qui s'est passé vendredi soir devant la mairie de Puteaux sont déjà nombreuses au plan local. Mais cela ne fait certainement que commencer... En effet, dans les dernières images diffusées samedi soir sur France 3 on distingue parfaitement des employés de mairie frapper des gens. Tout cela bien entendu devrait avoir des suites.

- Sur son site www.ps-puteaux.com, la section locale socialiste qualifie cette soirée de vendredi de "surréaliste" : "Sous l'oeil des caméras et des élus du département et de la région, la Majorité actuelle a donné une belle image de la façon dont elle conçoit la démocratie ! Les élus de l'opposition ont refusé de siéger dans ces conditions. Ils ont écrit au Préfet pour demander l'annulation des actes de ce conseil".

- Sur son site "officieux", l'UMPuteaux (branche ceccaldiste de l'UMP), accuse pêle mêle l'opposition et les journalistes de "Médisance, perfidie, calomnie, harcèlement", de se "repaître avec délectation de ce que (le mensonge) engendre, la haine, la violence, l'humiliation, le désarroi, l'atteinte à l'honneur", de "vomir des torrents de boue nauséabonde sans se soucier des dégats irréparables occasionnés". "Cela fait peur, notre démocratie vacille, elle est en danger", "Il suffit de regarder derrière soi pour voir et apprécier tout ce qui a été accompli depuis plus de trente ans et de regarder devant soi à travers le Plan d'Urbanisme ce qui va l'être. Ce torrent de boue qui se veut être dévastateur, sera asséché par tous ceux et toutes celles qui sont en quête de la Vérité", ajoute le porte parole UMP officieux de Puteaux sur son site web dans une réaction mise en ligne le 18 octobre.

- enfin, Bruno Ligonie, représentant du Front National à Puteaux, "s’inquiète de la Démocratie telle qu’elle est pratiquée par l’UMP". "Il est plus que temps pour les putéoliens de renvoyer dos à dos les acteurs de cette échauffourée", déclare le candidat FN à la cantonale de mars 2004.

 

 

LE COUP DE FORCE DU MAIRE DIFFUSÉ SUR FRANCE 2 ET FRANCE 3
samedi 18 octobre 2003

Les images de France 3, filmées vendredi soir devant la mairie de Puteaux, ont été diffusées aujourd'hui dans la partie régionale du 12/14 et du 19/20, ainsi que dans le journal de 13 heures de France 2.

Le reportage de France 3 Région montrait bien la violence organisée par le maire pour empêcher des citoyens et des élus d'assister au conseil municipal. 2 sujets différents ont été diffusés le midi et le soir. Dans celui passé le soir on voit distinctement les gros bras de la mairie frapper ! Bientôt des extraits et des images ici.

Le premier reportage (celui du 12/14) est rediffusé sur le site www.Puteaux92.Com...



"La fièvre monte à Puteaux. Depuis un an , les incidents se mutiplient autour du conseil municipal. Tout est parti de la création par un militant socialiste d'un site internet critiquant le sénateur maire Charles Ceccaldi Raynaud. Le journaliste militant est interdit de conseil depuis 1 an et demi. Et hier soir, on a atteint des sommets. Reportage malgré les heurts et les bousculades..."

"Christophe Grébert, militant socialiste, est interdit de séjour au conseil municipal de Puteaux. Hier, son expulsion devenue habituelle a tourné a une violente empoignade générale..."

"Retour sur une soirée mouvementée. 18 heures 30, le maire UMP de Puteaux sort de sa mairie à la tête d'une manifestation d'une centaine de personnes. Charles Ceccaldi Raynaud, 78 ans, dont 35 à l'hôtel de ville, entend s'opposer, dit-il, aux socialo-communistes".

"Je ne suis pas né autoritariste. Et je ne l'ai jamais été... à la différence de quelques autres qui sont leurs associés... et qui sont les héritiers de ceux qui ont soutenu Staline et les Bolcheviques... qui ont fait 80 millions de morts", déclare le maire.

"Il nous a été très difficile d'interviewer le maire, d'autant que sa fille Joëlle, première adjointe, nous a empêché à plusieurs reprises d'approcher son père".

"Retour du défilé à la mairie sous les sifflets d'un groupe de manifestants de gauche. Pour couvrir les cris, la mairie déclenche un contre feu musical...".

"Accompagné de la police et du responsable socialiste des Hauts-de-Seine, Christophe Grébert sera finalement admis au sein de la mairie. Repit de courte durée, puisque le militant socialiste a été agressé et expulsé de l'hôtel-de-ville. Les élus de gauche refuseront d'assister au conseil municipal..."

"A plusieurs reprises, le cameraman de France 3 a été pris à parti, menacé et molesté. Puteaux dans la banlieue Ouest avait hier des allures de farwest..."

 

 

REVUE DE PRESSE : "HEURTS ET BOUSCULADES A L'ENTREE DU CONSEIL MUNICIPAL DE PUTEAUX" (AFP)
samedi 18 octobre 2003

L'AGENCE FRANCE PRESSE, qui alimente en informations tous les médias du pays, a diffusé une dépêche vendredi soir :

"Heurts et bousculades à l'entrée du conseil municipal de Puteaux
PUTEAUX (Hauts-de-Seine), 17 oct (AFP) - 20h48 - Des heurts et des bousculades se sont produits vendredi en début de soirée devant la mairie de Puteaux opposant plusieurs dizaines de partisans et d'opposants de la municipalité peu avant la tenue d'un conseil municipal, a constaté l'AFP.
Ces incidents ont eu pour origine la volonté de citoyens de la ville d'assister au conseil municipal alors que l'accès à la mairie leur est, selon eux, interdite.
Opposant du maire actuel, Charles Ceccaldi-Raynaud (UMP), ils se voient à chaque conseil objecter les risques que leur présence ferait courir à l'ordre et à leur propre sécurité, a expliqué à l'AFP l'un d'entre eux, Christophe Grebert.
Venus avec plusieurs élus, socialistes ou verts, du département ils ont été refoulés de l'entrée de la mairie alors qu'une sonorisation couvrait leur protestations. A cette occasion, les journalistes et cameramen présents ont
également été bousculés et également expulsés.
Peu avant, une contre-manifestation d'une centaine de personnes avec à sa tête Joëlle Ceccaldi député (UMP), première adjointe et fille du maire, était arrivée sur les lieux portant des banderoles dénonçant le "totalitarisme" et les "socialo-communistes".
A la sortie de la mairie, Pascal Buchet, maire (PS) de Fontenay-aux-Roses et conseiller général, a dénoncé l'absence de la police nationale qui aurait du, selon lui, faire respecter l'accès à la salle du conseil."

 

 

GROS BRAS ET SONO GUEULANTE POUR FAIRE TAIRE L'EXPRESSION CITOYENNE
vendredi 17 octobre 2003

"Mais c'est incroyable ce qui se passe ici ! Je n'ai jamais vu ça ! Je n'aurais même jamais pu l'imaginer !" me dit une petite dame venue de Levallois-Perret.

Moi, je pensais pourtant que les manières du maire de Levallois ressemblaient à celles du nôtre. Et bien pas du tout ! Puteaux est vraiment un cas unique !

Rappel des faits : depuis 1 an, je ne peux plus accéder aux séances du conseil municipal. Le maire, Charles Ceccaldi Raynaud, 78 ans, sénateur, devenu gaulliste sur le tard, m'en interdit arbitrairement l'accès. Il me reproche de révéler sa manière clientéliste et clanique de gérer "sa" ville. Il ne supporte surtout aucune opposition. Il a peur de l'expression démocratique.

Mais ce soir, des élus et des responsables politiques, socialistes, communistes et Verts, maires, conseillers généraux, conseillers régionaux sont venus constater cette interdiction illégale. Beaucoup de simples militants sont aussi là...

Pascal Buchet, maire de Fontenay... Francine Bavay, Gabriel Massou, Maurice Lobry, tous trois conseillers régionaux, et tous les autres élus des Hauts-de-Seine qui étaient présents (de Sceaux, Boulogne-Billancourt, Levallois-Perret, etc.) ont été servis ! Mon maire pour eux s'est surpassé !

Dès 17h30, les employés municipaux avaient reçu pour consigne de se rassembler à la mairie. On prépare des bandéroles "A bas les totalitaires" (un appel au meurtre ???)... un tract délirant est tiré : "No Pasaran !" proclame-t-il, affirmant que la "population est en colère" (ah bon ?), "Non au coup de force socialo-communistes" !!! Quelle blague !!!


A 18h, les employés municipaux sortent de la mairie avec leurs belles banderoles... font le tour de l'Hôtel-de-ville... pour revenir une demi heure plus tard ! quelle manif parfaitement spontanée de la population putéolienne "en colère" ! (je blague !)


La "contre-manif" organisée par le maire et sa fille : des employés municipaux prisonniers d'un système odieux de soumission au maitre...


La mairie se barricade. Le garage municipal est fermé. Des gros bras -employés de mairie, boxeurs amateurs, castagneurs recrutés pour l'occasion ?- se rassemblent devant l'entrée. Une sono est installée de chaque côté.

Ils attendent qui ? moi ! pauvre citoyen qui tente en vain depuis 1 an d'assister au conseil municipal ! Quelle énergie et que d'argent public dépensés !

J'arrive sur le parvis de l'hotel-de-ville à 18h45... Là, je tombe sur une petite centaine d'employés municipaux convoqués et quelques supporters ceccaldistes. Joëlle Ceccaldi (notre députée, fille du maire et suppléante de Nicolas Sarkozy !) est en tête. Autour, les Putéoliens se marrent : "ils nous fait quoi le maire ce soir encore ?". Les "manifestants", payés en heure sup, commencent à contourner la mairie pour atteindre l'entrée du conseil, 150 mètres plus loin ! quel défilé ! Je les devance.

Sur les marches de la mairie, j'aperçois une vingtaine de gros bras, milice privée, qui m'attendent. Impressionnant !

Heureusement, ce soir, je ne suis pas seul... Il y a beaucoup de témoins de ce cinéma anti-démocratique ceccaldiste : la sono crache maintenant à fond de la musique (plainte pour tapage ?). La manif "organisée" arrive, grimpe les marches et entre dans la mairie au cri de "ceccaldi, ceccaldi !". "barbouze, barbouze !", scandent de leur coté des militants de Puteaux Alternatives. Ambiance !



Pascal Buchet, maire et conseiller général du 92, me dit "venez, on entre aussi"... Il me tire par la manche... mais je suis aussitôt repoussé violemment par les gros bras du maire. Plusieurs fois, je manque de tomber. Pascal Buchet lui-même est bousculé ! D'autres élus le sont aussi. Ces gros bras ne sont dépositaires d'aucune légitimité pour nous barrer le passage ! Qui sont-ils ?

La police nationale est présente en force. Pascal Buchet demande à un commissaire de me permettre d'entrer. Le commissaire passe devant moi... Lui aussi est bousculé !

Nous profitons de l'intervention de la police nationale : avec Pascal Buchet, nous parvenons à passer la première porte de la mairie ! Nous sommes dedans ! Miracle ! Mais là, nous faisons face à des gens fous furieux ! Je vois la haine sur leurs visages !

Les insultes, les accusations pleuvent. Les policiers nationaux sont bloqués par les gros bras ! Ils doivent sortir et mettre leurs brassards "POLICE" pour ne pas se faire boxer !? La situation est tendue ! Joëlle Ceccaldi insulte, vocifère, menace : nous sommes chez elle, chez son père (l'hotel-de-ville). Le père reste en arrière. Puis, pour couper court à la crise de nerf délirante de sa fille, il prend le micro. La sono extérieure crache la voix nasillarde du maire : "dehors les envahisseurs totalitaires ! Vive l'UMP !" (re-re-re-sic).

Sur ordre du maire, les fauves sont lachés : je suis expulsé manu militari... Mes pieds ne touchent plus terre ! Je me retrouve dehors. Le maire a fait la démonstration de ce qu'il est.

Plusieurs journalistes ont assisté à tout ca. France 3 a tout filmé. Le cameraman reçoit quelques coups des gros bras (payés avec quel argent ?).


Pascal Buchet répond aux questions de France 3

Le groupe socialiste de Puteaux a refusé d'assister dans ces conditions au conseil municipal et écrira au Préfet pour faire annuler les actes de cette séance du 17 octobre.

Je voudrais remercier tous ceux qui sont venus me soutenir vendredi soir. Merci aussi pour tous vos messages. Certains me disent que j'ai du courage. Je ne crois pas avoir spécialement de courage. J'étais plutôt effrayé par tout ce remu ménage.
C'est parce que je crois en la démocratie que j'ai la force de faire tout ça. Mais je pense aussi que la démocratie n'est jamais acquise, que c'est un combat de tous les jours... La preuve ce soir.
Christophe Grébert

 

 

NICOLAS SARKOZY A PUTEAUX !!!
jeudi 16 octobre 2003

Hasard du calendrier, Nicolas Sarkozy vient à Puteaux samedi. C'est à dire 24 heures après le rassemblement pour la "démocratie locale" qui aura lieu vendredi devant l'Hôtel-de-ville. Mais le ministre de l'intérieur ne vient pas soutenir Charles Ceccaldi et Joëlle (sa suppléante à l'Assemblée Nationale et la grande amie de Cécilia, son épouse) face à l'adversité ! Non ! Nicolas Sarkozy vient rencontrer les adhérents UMP des Hauts-de-Seine. Le meeting militant se tiendra au hall des sports, sur l'île de Puteaux. On sait que le ministre de l'intérieur, ayant finalement renoncé à se présenter aux régionales, veut succéder à Charles Pasqua à la tête du 92.
Profitons de sa présence : Monsieur Sarkozy, pourriez-vous rappeler à notre sénateur-maire les lois républicaines et démocratiques de base ? Et pour commencer, le respect de l'opposition... et du simple citoyen !
CG

 


LE MAIRE NE LAISSERA PAS ENTRER CHRISTOPHE GREBERT ET DAVID MICHEL
jeudi 16 octobre 2003

Selon des informations obtenues mercredi à la mairie de Puteaux, le maire Charles Ceccaldi-Raynaud a donné des consignes claires : Christophe Grébert, militant socialiste et webmaster de www.monputeaux.com, et David Michel, militant Vert de Puteaux, ne doivent absolument pas entrer dans l'Hôtel-de-ville... Tout devra être fait pour les empêcher de passer, y compris la force.
Il n'est pas question bien évidemment de céder aux provocations du maire et de forcer le passage. Les gens présents devant l'hôtel-de-ville constateront tout simplement qu'une "sélection" est faite à l'entrée de la mairie... et témoigneront partout dans les Hauts-de-Seine de ce qu'ils ont vu.
CG


L'entrée du conseil municipal se fait habituellement par l'arrière de la mairie.
vendredi aussi ???

 

 

APRES LE PS, LES VERTS PROTESTENT CONTRE LE MAIRE DE PUTEAUX
jeudi 16 octobre 2003

Francine BAVAY, Vice-présidente du Conseil régional d'Ile-de-France et Frédéric PUZIN, secrétaire départemental des Verts Hauts-de-Seine, seront présents au rassemblement de soutien à David MICHEL et Christophe GREBERT, vendredi 17 octobre à 19 heures, devant l'Hôtel-de-ville de Puteaux.

LES VERTS ont diffusé le communiqué de presse suivant :

"PUTEAUX ET LA RÉPUBLIQUE !

David MICHEL et Christophe GREBERT sont des citoyens de Puteaux. Ils sont tous les deux militants respectivement des Verts et du Parti socialiste. À plusieurs reprises ces administrés se sont vus refuser l'accès aux séances du Conseil municipal de la ville de Puteaux. À plusieurs reprises également, ils ont été menacés verbalement de façon violente, car de toute évidence l'expression libre et pacifique qui est la leur pour que soit respectée la démocratie dans leur commune déplaît au Maire.

Les Verts des Hauts-de-Seine constatent qu'à Puteaux, mais aussi dans d'autres communes du département dirigées par la droite, l'expression citoyenne est de plus en plus difficile et de plus en plus muselée.

Les Verts des Hauts-de-Seine rappellent que les mairies sont par nature les maisons du peuple. En ce sens, elles ne peuvent ni ne doivent être bunkérisées.

Les Verts des Hauts-de-Seine rappellent encore que la loi exige que les séances des Conseils municipaux soient (sauf cas exceptionnel) publiques, à Puteaux comme ailleurs.

Les Verts des Hauts-de-Seine entendent que la démocratie et les lois de la République soient respectées partout et par tous.

Les Verts des Hauts-de-Seine soutiennent David MICHEL et Christophe GREBERT dans la lutte nécessaire qu'ils mènent pour plus de transparence et de démocratie.

Les Verts des Hauts-de-Seine manifesteront concrètement leur solidarité lors du rassemblement devant la mairie de Puteaux vendredi 17 octobre 2003 à 19 heures à l'occasion du Conseil Municipal".

CONSULTER LE COMMUNIQUÉ SUR LE SITE DES VERTS DU 92



 

SOCIALISTES, COMMUNISTES ET VERTS PRÉSENTS VENDREDI À PUTEAUX
mercredi 15 octobre 2003

Le site local du PS (www.ps-puteaux.com) l'a annoncé ce matin : Pascal Buchet, le premier secrétaire fédéral socialiste, autrement dit le responsable du PS dans les Hauts-de-Seine, sera présent vendredi à 19 heures devant la mairie de Puteaux. Pascal BUCHET "viendra s'assurer que Christophe Grébert, comme n'importe quel autre citoyen de la ville, pourra assister au conseil municipal du 17 octobre. Le responsable socialiste a écrit au Préfet pour lui demander de tout mettre en oeuvre afin que la sécurité de Monsieur Grébert soit assurée", écrit le PS.

Les Verts, dont un militant est également "interdit" de conseil municipal par le maire, seront aussi représentés vendredi à 19 heures devant l'hôtel-de-ville de Puteaux par Francine BAVAY vice présidente du conseil régional d'Ile-de-France et Frédéric PUZIN, conseiller municipal à Sèvres et Secrétaire départemental Verts 92.

Les Communistes du 92 seront aussi là : Gabriel Massou, Conseiller régional, membre de la direction départementale et Annie Mandois, Conseillère municipale de Levallois, ont notamment annoncé leur venue.

Marie-Laure Meyer, élue de Nanterre et "survivante" de la tuerie du 27 mars 2002, ne pourra pas être présente, mais elle a tenu à soutenir cette action sous la forme d'un très beau et émouvant message :

"Je ne pourrai malheureusement pas assister au conseil municipal de Puteaux vendredi soir, la ville de Nanterre dévoilant à la même heure une plaque à la mémoire des algériens tués lors de la répression sanglante de la manifestation pacifique du 17 octobre 1961.
Je le regrette car je crois qu'il est extrêmement important pour le bon fonctionnement de notre démocratie que les débats des élus du peuple soient publics y compris et surtout pour leur opposition. Car, en démocratie, l'opposition d'aujourd'hui est la majorité de demain : les citoyens doivent avoir le choix. Mais ce n'est que partie remise...
Le drame du 27 mars 2002, où 8 élus ont été tuée et 19 autres blessés gravement en pleine séance de conseil, ne doit pas être un alibi pour moins de démocratie, au contraire. Nos conseils sont toujours libres d'accès, nos réunions publiques dans les quartiers se déroulent pacifiquement et nous n'avons ni chauffeurs, ni gardes du corps.
Nous avons besoin d'une démocratie plus claire, plus simple, nous devons soutenir des élus qui n'ont pas peur du débat, qui respectent le résultat des élections et ne cherchent pas à s'en servir pour capturer le pouvoir à leur seul profit.
Craindre le débat public, c'est en pas avoir suffisamment confiance dans l'intelligence des citoyens et dans sa propre capacité de conviction. Et c'est à nous élus de donner l'exemple de la tolérance et du respect des règles démocratiques. En démocratie, on gagne par la conviction, pas par la répression."

Marie-Laure Meyer
2ème adjointe au maire de Nanterre
Présidente du groupe des élus socialistes

 

 

LE GRAND PRIX CYCLISTE DE PUTEAUX REVIENT DE LOIN
mardi 14 octobre 2003

En ce dimanche 12 octobre 2003 avait lieu le grand prix cycliste de Puteaux. Une petite quarantaine de coureurs, dont la moitié du CSM Puteaux, s'est élancée en milieu d'après-midi pour 40 boucles d'un circuit dans les rues du centre ville sous le soleil et avec un léger vent. Pendant plusieurs tours, six échappés ont mené la course avant d'être rejoints par une grande partie du peloton.



Les primes offertes par des commerçants, des spectateurs et des admirateurs permettaient d'animer la course lors des sprints intermédiaires. Le sprint final s'est joué entre deux coureurs, un junior d'Argenteuil l'emportant devant un représentant du CSM Puteaux.

Malgré un beau dimanche automnal, il y avait peu de spectateurs le long du parcours, un peu plus sur la ligne d'arrivée et trop peu d'encouragements de la part d'un public bien trop sage, à l'image des plus hauts représentants de la municipalité (Note du webmaster : le papa et sa fille !), présents pendant quelques minutes rue Chantecoq et qui n'ont pas applaudi une seule fois les coureurs lors des passages successifs, ce qui témoigne une nouvelle fois du peu de cas qu'ils accordent aux sportifs et au développement du sport à Puteaux.


Les gagnants

A l'heure de la remise des prix, par un temps un peu frisquet, il ne restait plus que le fidèle d'entre les fidèles, l'adjoint au maire chargé des sports, présent pendant toute la course et qui n'a pas ménagé ses efforts pour que la course se déroule dans de bonnes conditions.
Le premier récompensé fut le vainqueur de la course, Cyrille Patoux, d'Argenteuil. Puis ce fut le tour du deuxième et premier Putéolien : François Ladurée. Pascal Partrofort, également du CSMP Puteaux, a lui terminé meilleur junior !
Espérons que ce Grand Prix retrouve sa place dans le calendrier cycliste au mois de juin 2004, permettant une meilleure lisibilité, gage du succès, tant auprès des coureurs que des spectateurs .
J.

LES ÉCHOS DU GRAND PRIX

- 44 coureurs pour ce prix cycliste dont 19 pour le CSMP Puteaux et 9 pour l'ASMIN (Rungis). C'est toutefois un coureur d'Argenteuil qui a gagné. François Ladurée est pour sa part le premier du club de Puteaux. Les coureurs ont bien précisé que leur espoir était de rejoindre les meilleurs ! hummm... affirmation risquée à Puteaux !

- quand l'animateur a salué la présence du maire et de sa fille il y a eu quelques applaudissements en revanche lorsqu'il a cité Gaston Garino, le maire adjoint chargé des sports, on a entendu seulement 2 personnes applaudir...

- Avant la course des grands, il y a eu la course des benjamins et des minimes (20 gamins)... tous putéoliens... nos futurs champions en herbe !

- "Puteaux infos" avait annoncé "une centaine de coureurs venus de la France entière"... Il y en avait 2 fois moins... et ils venaient tous de la région ! Cherchez l'erreur !

- Saluons le président du CSMP cycliste, Raymond Plaza, qui a sauvé le club de la disparition. Il n'y a en effet que 2 Putéoliens dans son équipe de coureurs. Il a malgré tout obtenu du maire la survie du cyclisme putéolien. Bel exploit ! D'autres clubs n'ont pas eu cette chance.

- "Vous voyez, je ne fais pas que compter les chaises... je sais aussi organiser un grand prix" a lancé le maire adjoint chargé des sports... allusion à l'épisode du restaurant de l'île de Puteaux ! quel humour (noir) !

- Gaston Garino qui a du téléphoner plusieurs fois au maire pour qu'il vienne assister à "son" grand prix cycliste. "Si tu ne viens pas rapidement, ça va gueuler" lui a t il lancé devant tout le monde. Le maire et sa fille sont finalement arrivés vers 17h30 et son réparti presque aussitôt, sans effectivement applaudir, ni même regarder les coureurs.

- Pape et fifille étaient plus interessés par la présence du webmaster de Monputeaux.Com. Ils ont même envoyé des employés municipaux zélés pour l'insulter : "vous n'êtes qu'une grosse merde !" ont lancé des responsables de la mairie à Christophe Grébert venu assister à la course. Et cela devant plusieurs témoins ! Quelle intelligence ! :o/ Puteaux mérite mieux !

 

 

 

C'EST LA CHIENLIT AU CLUB DE TENNIS
lundi 13 octobre 2003

De l'aveu même d'un adhérent "c'est la chienlit au CSMP-Tennis, et peut-être même la mutinerie". Depuis un mois, une affiche signée "la mairie" indique : "plus de possibilité de jouer après le 6 octobre sans les nouveaux badges 2003/2004", date à laquelle tous les joueurs de tennis putéoliens ont reçu leurs inscriptions, mais pas un seul non habitant de Puteaux. C'est le résultat de la nouvelle politique du maire de refuser les adhésions des "hors-Puteaux" dans les clubs sportifs de la ville...
Le week-end dernier, le maire est passé au club de tennis admirer la splendeur de ses nouveaux palmiers (chacun ses priorités). Il s'est fait interpeller par le vice-président (la présidente a démissionné depuis un moment !) qui lui a fait remarquer que le club était devenu un désert... Le maire aurait répondu qu'on l'avait trompé, que les Putéoliens s'étaient plaints qu'ils ne pouvaient pas jouer faute de place. Après tous les avertissements que les adhérents du club lui ont donné, cela semble difficile à croire ! Il a dit qu'il allait faire quelque chose...
Lundi dernier (échéance du 6), devant la désertification du club ou pour éviter une émeute, la direction a décidé d'octroyer une semaine de survie de plus aux "hors-Puteaux"...
Mais ce week-end, la coupe a débordé. Les joueurs spoliés sont rentrés dans la cabinet du directeur, et ça a bardé... Le nouveau directeur ("bras armé" de la mairie) n'a sans doute pas passé un bon moment.
Face aux plaintes, l'administration a sorti de son chapeau magique 30 enveloppes contenant les noms de 30 "hors-Puteaux" finalement autorisés à profiter des installations putéoliennes !!! Selon quels critères ont-ils été choisis ? pourquoi 30 et pas 60 ou 100 ? Fureur accentuée des adhérents : une seule personne parmi celles présentes était l'un des bénéficiaires de la précieuse autorisation !
Voilà où en sont les choses au CSMP-tennis à l'heure actuelle. Il y aura peut-être des suites : des adhérents avocats de profession l'ont promis et ont menacé : la procédure, tout à fait arbitraire, est en plus parfaitement illégale.
Le chaudron du sport à Puteaux ne fait que commencer... A suivre
A.

 

 

DES TRAVAUX SUR LE CIRCULAIRE
dimanche 12 octobre 2003

Des travaux sont en cours le long du circulaire... à priori pour éviter le stationnement "sauvage" le long du couloir de bus. Cela remet sur la table la question d'aménagement plus global du circulaire et des relations ombrageuses entre la ville de Puteaux et l'EPAD. La majorité municipale est opposée à la transformation du circulaire en boulevard urbain, avec piste cyclable et feux rouges.
S.



 


 

PROCHAIN CONSEIL MUNICIPAL : LE VENDREDI 17 OCTOBRE A 19 HEURES
samedi 11 octobre 2003

Le conseil municipal se réunira vendredi prochain (17 octobre) à partir de 19 heures. Bien entendu, je compte bien m'y rendre. Comme à chaque fois depuis plus d'un an, le maire m'empêchera-t-il, avec ses gros bras (hommes en civil, membre de la section de boxe, personnes louches...), d'accéder à la mairie ? Je vous propose de le constater vous même en venant assister à cette réunion.


Voici quelques unes des questions qui seront abordées par les conseillers municipaux :

- résultat de l'appel d'offres sur l'édification d'un signal près de la Vieille Eglise,
- résultat de l'appel d'offres sur la mise en lumière des façades de l'Hôtel-de-ville, de la crèche des Cèdres et de l'hôpital de Puteaux,
- résultat du marché pour la réalisation des travaux de remise en conformité des installations électriques de l'Hôtel-de-ville,
- résultat de l'appel d'offres relatif aux services de traiteurs pour les réceptions du nouvel an 2004,
- dossier de consultation d'entreprises relatif à la location de matériel de réception,
- dossier de consultation de concepteurs pour l'aménagement du square de la Pergola,
- dossier de consultation de concepteurs pour le réaménagement des locaux pour la création d'une crèche Felix Pyat,
- dossier de consultation d'entreprises pour le réaménagement de la voirie et la rénovation de l'éclairage rue Roque de Fillol,
- dossier de consultation d'entreprises pour les travaux de clôture, de grillage et de serrurerie sur l'ensemble de la ville,
- autorisation au maire de déposer un permis de construire et dossier de consultation d'entreprises pour l'aménagement de salles de danse provisoires dans les locaux du 198 rue de la République,
- contrat de maîtrise d'oeuvre pour la création d'une fontaine rues des Pavillons et Jean Jaurès,
- décompte définitif pour les travaux de construction d'une clôture autour de la résidence des Rosiers,
- mise en location de locaux commerciaux appartenant à la ville au 31/33 boulevard Richard Wallace,
- modification de la liste des logements de fonction,
- mission de contrôle des comptes des associations sportives,
- attribution de subventions,
- convention avec l'association CSMP Judo,
- convention avec l'association CSMP Tennis,
- convention avec l'ASM de gymnastique de Puteaux.

 

 

LES BRÈVES DE PUTEAUX
vendredi 10 octobre 2003

- Des idées pour Puteaux. La municipalité a mis une boîte à idées à la disposition des Putéoliens dans le hall administratif de l'Hôtel-de-ville. Après les palmiers de la rue Jean Jaurès (qui ont supprimé les dernières places de stationnement encore disponibles !), la piste de ski (qui a causé des dégâts au parvis de la mairie) et les silhouettes d'animaux à chaque coin de rue (trop mortel !)... les élus de la majorité sont en effet à court d'idées pour dépenser bêtement nos impôts !

- La nouvelle association des commerçants.... de Joëlle. Le dernier "Puteaux infos" nous apprend la création de l'APAC (l'association putéolienne de l'artisanat et du commerce). L'ancienne association des commerçants de Puteaux a en effet été dissoute. Sa prise de position contre les palmiers lui a été fatale. Tous les commerçants de la ville sont "de facto" adhérents de l'APAC, explique le magazine municipal ! Or, que constatons-nous... que le président de cette nouvelle association n'est autre que le coiffeur de Joëlle Ceccadi... que la vice-présidente (entre-temps partie de Puteaux) était son esthéticienne... Quelles heureuses coïncidences !!! Il y a comme de la reprise en main dans l'air, non ?

- Encore un site internet sur Puteaux ! Un de plus... Roger Cohen est Putéolien depuis 35 ans, depuis en fait l'accession de Charles Ceccaldi à la mairie. Il le connait donc très bien. Retraité, il a décidé de consacrer un peu de son temps libre à la réalisation de son site web pour dire "sa vérité" sur la ville de Puteaux. Le site s'intitulera "Vive Puteaux"... tout un programme. "J'ai trouvé ce nom très rigolo", explique Roger Cohen tout encore au bonheur des mariages récents de son fils et de sa fille. Les heureux élus sont d'ailleurs en photo page 25 du "Puteaux infos" d'octobre ! Si Monsieur Cohen est si bien introduit à la mairie, gageons que ses infos seront instructives ! Le site ouvrira dans quelques semaines. Nous en serons des lecteurs attentifs.

- Les socialistes putéoliens préparent l'alternance. A 5 mois de l'élection cantonale, les militants socialistes désigneront leur candidat lors d'une réunion le 21 octobre.

- 2 juges de proximité débarquent à Puteaux pour régler les "petits litiges". 2 juges de proximité viennent de prendre leur fonction dans notre ville. Ils jugeront les petites infractions pénales (contraventions des 4 premières classes) et au civil les affaires qui n'engagent pas des sommes supérieures à 1.500 euros. Le but est de soulager le tribunal d'instance. Pour les saisir, une simple déclaration au greffe du TI suffit. C'est gratuit.

 

 

LE PRÉFET DONNE SON ACCORD A L'EXPLOITATION DE LA CENTRALE DE LA DÉFENSE
vendredi 10 octobre 2003

L'annonce faite jeudi par le préfet des Hauts-de-Seine est une terrible nouvelle pour les riverains qui se battent, depuis l'explosion meurtrière de 1994, pour obtenir une réelle sécurisation de la chaufferie de La Défense. Le représentant de l'Etat a révélé à la presse qu'il allait donner un avis favorable à la demande d'exploitation de la centrale thermique déposée par la société Enertherm et qui avait donné lieu au printemps dernier à une enquête publique. L'avis favorable du préfet est cependant assorti d'un certain nombre de conditions.
10 ans après un drame qui a coûté la vie à 3 personnes, des milliers d'habitants de Courbevoie vont donc demeurer sous la menace d'une nouvelle catastrophe. La première réaction du CRAC est le découragement : "Voilà une grosse bataille perdue, comme on pouvait s'y attendre certes, mais il faudra bien du courage pour continuer", déclare une adhérente du Collectif des Riverains Anti Centrale. Charles Ceccaldi a joué un grand rôle dans ce dossier, puisqu'il est le président du syndicat de Chauffage Urbain de La Défense (SICUDEF), qui regroupe les Communes de Courbevoie, Nanterre et Puteaux, et qui a choisi l'exploitant de la chaufferie dans des conditions actuellement instruites par la justice

A LIRE :

- un dossier sur la Centrale sur le site du PS de Puteaux
- un article d'août 2002 sur Monputeaux : "Plus d'eau chaude, ni de chauffage"
- plusieurs articles en septembre 2002 sur Monputeaux, dont : "Le maire de Puteaux menace le préfet de guerre civile"
- le site du CRAC
- un article sur le sujet est publié ce vendredi matin dans LE PARISIEN (édition du 92).

 

 

RAVALEMENT DE FACADE À LORILLEUX
jeudi 9 octobre 2003

Grands travaux à Lorilleux : on change les fenêtres, on ravale les façades. Il est vrai que cette résidence HLM en avait bien besoin. Puteaux est l'une des villes les plus riche de France, elle a donc parfaitement les moyens d'entretenir son parc social, même si parfois elle se fait un peu prier pour le faire. Il faut dire que le maire préfère les résidences de standing "du type hôtels particuliers du Marais" (sic) plutôt que les logements populaires...
Rappelons une petite phrase du maire lors de la réunion sur le PLU : "la loi nous impose 20% de logements sociaux. A Puteaux, nous en avons 35%. Notre objectif sera d'aller vers les 20%" ! Ce qui signifie donc que la majorité municipale compte soit construire beaucoup d'immeubles de grands standings (ce qui semble impossible vu le peu de terrains disponibles dans notre ville) soit de détruire des logements HLM ! Voilà donc le futur que nous réserve le clan ?


QUAND LORILLEUX RETROUVE DES COULEURS

 

 

PUTEAUX HONORE "IN EXTREMIS" LA PETITE REINE
mercredi 8 octobre 2003

Le 1er juillet dernier, MonPuteaux vous annonçait que le mois de juin se terminait sans que le grand prix cycliste de la ville de Puteaux ait eu lieu.
En effet, depuis de nombreuses années, le grand prix cycliste avait lieu un soir du mois de juin ; mais en cette année 2003, la mairie décida de le supprimer, décision faisant sans doute partie de son opération «Sport libéré». Libéré de quoi ? Nul ne le sait !
Devant le tollé suscité par une telle décision et piquée au vif par la révélation de MonPuteaux, la mairie se décida à réagir : Christophe Grébert insulté téléphoniquement par le maire-adjoint chargé des sports et branle-bas de combat à tous les étages furent les premières réactions d'un état-major municipal affolé et incapable de maîtriser ses nerfs...
Prenant conscience de la bévue, décision fut prise d'organiser un grand prix au plus tôt ; mais comme une telle organisation supporte plus de contraintes et nécessite davantage de délai qu'une réception «Champagne-Petits fours», la mairie sonna la garde et l'arrière-garde qui communiquèrent à tout va, quitte à travestir la vérité pour tenter d'éteindre l'incendie.
Une demande fut sollicitée en urgence auprès de la Fédération Française de Cyclisme qui magnanime autorisa ce critérium.
Preuve de cette précipitation, le site de la FFC n'a pas été mis à jour ; il fait état de la course «Paris-Conneré» organisée le CSM Puteaux le 5 octobre qui a bien failli ne pas avoir lieu (Cf. Le Parisien du 04/10) et du GP de Levallois le 19 octobre, mais point de GP à Puteaux le 12 octobre.
Autorisé in extremis par la FFC, ce grand prix cycliste, enfin rétabli, aura lieu ce dimanche 12 octobre de 16 à 18 heures à Puteaux.
Je vous invite à venir nombreux pour encourager tous les cyclistes engagés dans cette course et plus particulièrement nos cyclistes putéoliens qui apprécieront le réconfort des spectateurs après l'année difficile qu'ils viennent de vivre.
J.

Circuit : Rues République, Chantecoq, Jaurès et Lafargue.

 

 

LES BRÈVES DE PUTEAUX ET DU 92
mardi 7 octobre 2003

- A la "fac Pasqua", l'Etat reconnaissant. Le diplôme d'ingénieur attribué par le pôle universitaire Léonard de Vinci a obtenu une première reconnaissance officielle. L'habilitation de ce diplôme a été accordée pour quatre ans. Environ 150 élèves, sur les 1.500 que compte l'école financée par le Conseil général, suivent actuellement ce cursus. Depuis sa création en 1995, le pôle universitaire a coûté au département environ 300 millions d'euros. L'aide du conseil général représente 10.600 euros par étudiant et par an alors qu'elle n'est que de 15 euros par étudiant pour la faculté de Nanterre.

- Centrale de La Défense : les Verts tirent le signal d'alarme. La proximité de la centrale de la Défense avec des immeubles d'habitation, des crèches, des haltes-garderie, inquiètent les Verts des Hauts-de-Seine qui s'étonnent du non respect des procédures légales. Les Verts dénoncent le maintien de la centrale dans une zone où vivent plus de 15.000 personnes et demandent son déplacement dans une zone à vocation industrielle. Ils stigmatisent la fuite en avant des pouvoirs publics, notamment du Conseil général qui a entériné la construction d'un centre de protection maternelle et infantile à une centaine de mètres de la centrale. En 1994, la chaufferie a explosé, tuant 2 personnes et en blessant plusieurs dizaines d'autres.

- Le Front national en campagne pour les régionales et les cantonales de mars 2004. Marine Le Pen sera la tête de liste du FN dans les Hauts-de-Seine pour les régionales. A la cantonale de Puteaux, c'est Bruno Ligonie qui représentera le parti de Jean Marie Le Pen. Il sera également candidat aux régionales.

- Homophobie et mairie de Puteaux. Secrétaire national de l'UMP, conseiller régional d'Ile-de-France, président d'"Elus Locaux contre le sida" et "On Est Là !", Jean Luc Romero viendra parler de son livre "virus de vie" au palais de la culture le jeudi 16 octobre à 19 heures. Pour assister à cette rencontre, il faut retirer une invitation au palais de la culture. "Homme d'engagement, Jean-Luc Romero a choisi de se faire l'avocat de causes souvent méprisées en choisissant de plaider en faveur des "humiliés". Partisan d'un discours sans complaisance sur la lutte contre le sida et les discriminations, cet élu entend combattre les tabous", écrit la municipalité sur son site internet. Amusant... quand on se rappelle que j'ai personnellement fait l'objet d'insultes homophobes à la mairie de Puteaux !

- Les sportifs putéoliens fichés. Les informations demandées sur la fiche à remplir pour l'obtention de la carte Omnisports sont les mêmes que la saison dernière, sauf qu'en plus, il est indiqué que les sportifs sont fichés par la mairie et que ce fichier a fait l'objet d'une déclaration auprès de la CNIL.

 

 

ADIEU QUINCAILLERIE !
dimanche 5 octobre 2003

La quincaillerie du Boulevard Richard Wallace va disparaître. Un groupe bancaire a acheté les locaux afin d'y installer une agence. A terme, rien qu'à ce carrefour, ce seront 3 banques qui se disputeront la clientèle putéolienne...

 

 

DES TRAVAUX RUES JEAN NENNIG ET EICHENBERGER
vendredi 3 octobre 2003

Les travaux ont commencé rue Jean Nennig, un passage situé entre les rues Jean-Jaurès et Eicheinberger. Plusieurs entrepôts insalubres vont disparaîtres et un immeuble d'habitations va être détruit. Dommage pour celui-ci, il aurait pu faire l'objet d'une réhabilitation heureuse, le bâtit extérieur semble en bon état.


Les travaux du marché Chantecoq ont aussi commencé... La phase 1 est en cours. Il en reste 2 autres, pour au moins six mois de chantier.

 

 

VIOLENCES A PUTEAUX : LE PREFET DES HAUTS-DE-SEINE SE DECLARE ATTENTIF À LA SITUATION
mercredi 1er octobre 2003

Le PS de Puteaux a publié aujourd'hui sur son site la réponse du préfet des Hauts-de-Seine au courrier que lui a adressé Pascal Buchet, le premier secrétaire fédéral du parti socialiste, après les violences exercées contre moi et d'autres personnes lors de la réunion publique sur le PLU du 8 septembre.
Dans cette réponse, Michel Delpuech affirme avoir "évoquer cette situation auprès de la Direction Départementale de la sécurite publique". "Les services locaux de la circonscription de sécurité publique de Puteaux (..) continueront à être très attentifs à la situation", ajoute le représentant de l'Etat dans notre département.

VOUS AVEZ INTERNET... PENSEZ A CEUX QUI NE L'ONT PAS
ET QUI NE PEUVENT PAS CONSULTER CE SITE
IMPRIMEZ, PHOTOCOPIEZ ET FAITES CIRCULER LES INFOS DE MONPUTEAUX.COM

Retour / Sommaire / Haut de Page