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AOÛT 2002

UN WEEK-END A REBONDISSEMENTS...
samedi 31 août 2002

Jusqu'à dimanche, des jeunes basketteurs s'affrontent sur le parvis de La Défense...



Ne les ratez pas... ce sont les futurs as du panier !!!




LE BUS 144 CHERCHE SA ROUTE...

jeudi 29 août 2002

C'est un peu le feuilleton de la fin de cet été. Une fois les travaux terminés rue Jean Jaurès, les bus de la ligne 144 avaient pu retrouver leur itinéraire normal. Cela n'a durer qu'une seule journée ! Finalement, hier, la RATP a annoncé que ses bus n'emprunteraient plus la partie bordée de Palmiers de la rue. Et pour cause : comme il n'y a plus qu'une seule voie de ciculation et qu'aucune place de stationnement n'est prévue, le trafic se retrouve complètement bloqué dès qu'un camion vient livrer un commerçant. L'arrêt face au Monoprix est donc supprimé. Les bus passent désormais par la rue Lucien Voilin.

 

AMÉLIE, DE MONTMARTRE A PUTEAUX...
samedi 24 août 2002

Pour bien commencer la saison culturelle, la ville nous offre une projection en plein air du
Fabuleux destin d'Amélie Poulain ! Rendez-vous sur l'esplanade de la Mairie, le samedi 7 septembre à partir de 21h15 (entrée libre).




LE MAIRE ET SA FILLE EN BALADE EN CORSE

mardi 27 août 2002

Samedi 24 août, notre sénateur-maire, Charles Ceccaldi-Raynaud, et sa fille Joëlle, 1ère adjointe et nouvelle députée de notre circonscription, ont rendu une visite surprise aux Putéoliens en vacances à la Marine de Caprone, une résidence que possède la municipalité à Ghisonaccia, en Haute-Corse.

"Des aménagements récents ont permis d'améliorer la qualité des prestations offertes aux estivants. Le motel a été réaménagé et propose désormais des chambres plus spacieuses et équipées de la climatisation. D'importants travaux ont aussi permis de rendre les bungalows plus confortables", explique le service communication de la Mairie, en annonçant cette petite sortie de nos élus.

Notre ville possède d'autres résidences : un village vacances à Ploemeur, dans le Morbihan... l'hôtel Les Estaris à Orcières-Merlette, dans les Hautes-Alpes... ainsi que l'hôtel Le Crêt du Loup à La Clusaz, en Haute-Savoie. Priorité est donnée pour l'accès à ces résidences aux habitants de Puteaux. Réservation et information à la Mairie : 01 46 92 93 37 ou 38.


L'ARRET D'AUTOBUS "COLLIN" EST RETABLI
lundi 26 août 2002

Les bus de la ligne 144 emprunteront à nouveau la rue Jean Jaurès, dans sa partie rénovée, à partir de mardi 27 août. Attention : comme la rue est réduite à une seule voie et qu'aucun stationnement réservé aux livraisons n'a été prévu, on peut penser que certains matins... ça va bloquer !!!

 

BFM : RMC EST INTÉRESSÉ
lundi 26 août 2002

RMC Info confirme être sur le point de déposer un dossier de reprise auprès de l'administrateur judiciaire de BFM. La radio économique, installée à Puteaux, emploie 120 personnes. Seuls 40 postes seraient sauvés. RMC Info envisage de recentrer BFM sur l'économie... et le sport. BFM quitterait Puteaux pour rejoindre les locaux d'RMC Info à la porte de Versailles.

 

COLLECTE DE SANG À LA MAIRIE...
vendredi 16 août 2002

Comme chaque été, les hopitaux des Hauts-de-Seine manquent de sang. Une collecte est organisée à la mairie : mercredi 21 et jeudi 22 août, de 16h à 19h30.

 

LE CONSEIL MUNICIPAL DIT "NON"...
vendredi 9 août 2002

Comme prévu, le Conseil Municipal a voté contre le transfert du domaine public de l'EPAD... Lire la délibération.

 

LE CONSEIL MUNICIPAL REPORTé...
lundi 5 août 2002

Le Conseil Municipal, qui devait se prononcer ce soir sur l'avenir de la gestion de La Défense, a été annulé. En effet, le quorum n'a pas ete atteint : une dizaine d'élus seulement étaient présents (sur 43). Le Maire lui-même était absent.
Un nouveau Conseil a donc été programmé pour vendredi prochain (9 août) à 18 heures.
Puteaux peut surement se vanter d'être la seule ville de France à convoquer un CM en plein mois d'août. Les élus municipaux, qui -faut-il le rappeler- accomplissent leur tâche bénévolement, ont bien du mérite !

 

L'Art à La Défense, La Défense de l'Art...
Vendredi 2 août 2002


Le Numéro 30 de "Préférences", le magazine de l'EPAD, vient de sortir.
Au sommaire, un dossier sur le très riche patrimoine culturel dans le quartier d'affaires.



Vous pouvez retirer gratuitement "Préférences" à l'espace Info-Défense, 15
place de La Défense, La Défense 4, du lundi au vendredi de 10h à 18h.

 





PLUS D'EAU CHAUDE NI DE CHAUFFAGE POUR LES ABONNES DE LA CHAUFFERIE DE LA DEFENSE...
samedi 31 août 2002

La nouvelle a été annoncée ce matin dans le journal LE PARISIEN : ce soir à minuit, la chaufferie de La Défense s'arrêtera ! Cela concerne des milliers de logements et de bureaux des communes de Puteaux, Courbevoie et Nanterre. 30.000 foyers (selon Le Parisien) vont être privés de chauffage et d'eau chaude, si un accord n'est pas rapidement trouvé entre l'administration et la société propriétaire de la centrale.

Petit retour en arrière : depuis l'explosion de la chaufferie, en 1994, celle-ci fonctionne avec des autorisations provisoires de la préfecture renouvelées chaque année ou tous les 2 ans. La dernière autorisation prend fin ce soir. L'exploitant de la centrale, la société Enerthem (qui succède à la Climadef), a décidé de stopper ses installations, s'engageant dans un étonnant bras de fer avec la préfecture des Hauts-de-Seine. Mais ce bras de fer pénalise avant tout la population !!!

"C'est incroyable d'en arriver là", déclare notre maire et président du Sicudef (le syndicat intercommunal propriétaire de la chaufferie). C'est effectivement incroyable, d'autant que Charles Ceccaldi-Raynaud savait, comme tout le monde, que le 1er septembre 2002 la centrale devrait s'arrêter. Peut-être pensait-on que le préfet donnerait une nouvelle autorisation sans sourciller... 8 ans après l'explosion, le problème de la centrale reste entier.

Entretien avec Joelle Paris, présidente de l'association CRAC, Collectif des Riverains Anti Centrale :

- pouvez-vous nous présenter votre association ?

- Le CRAC a été fondé en mars 2001, date anniversaire de l'explosion, par une poignée d'habitants du quartier Faubourg de l'arche déjà actifs, mais désireux de se faciliter l'accès aux documents administratifs, d'où l'association. Son objet principall : préserver l'environnement, la santé et la sécurité des riverains de la centrale Climadef. Obtenir toute l'information sur les risques industriels que la proximité des habitations, écoles, etc fait courir aux habitants. Lutter pour l'emploi des meilleurs technologies disponibles, et la recherche d' alternatives intelligentes et de bon sens qui n'hypothèquent pas l'avenir. La coexistence centrale / zac est une erreur. La recherche de responsabilités passées semble vaine (même la justice française ne semble pas avoir bougé d'un pouce en 8 ans !). En revanche, les riverains seront très attentifs aux responsabilités déterminées par les décisions actuelles.

- Quelle est votre réaction à la double décision de la préfecture d'une part
de ne pas renouveler son autorisation de fonctionnement de la centrale et de la société responsable de la chaufferie d'autre part de cesser ses activités dés ce soir ?


- Lorsqu'on a l'historique conjoint de la centrale depuis son explosion de 1994 et de la construction de la ZAC devenue Faubourg de l'Arche, la situation de ce jour offre un spectacle pitoyable. Notre première réaction est "8 ans pour en arriver là, beau travail !". Après 8 ans, il nous semble que personne ne peut se déclarer pris au dépourvu...

Ce qu'il faut bien comprendre : Il est inexact de dire que le préfet n'accorde pas d'autorisation. Le préfet dit que le dossier de demande de renouvellement d'autorisation ne lui est pas parvenu dans les temps, et ce malgré les mises en garde répétées adressées des mois à l'avance au concédant (SICUDEF, syndicat intercommunal regroupant Courbevoie, Nanterre, Puteaux et le conseil général, actuellement présidé par M. Ceccaldi Raynaud) et à l'industriel concessionnaire.

Le Préfet serait hors la loi s'il accordait une autorisation sans attendre l'enquête publique, phase absolument obligatoire. Le fait que l'industriel cesse son exploitation à l'échéance de la fin de l'autorisation est aussi logique, car c'est lui le premier responsable, et une installation classée soumise à autorisation n'a pas le droit de fonctionner sans autorisation. Sauf dispositions particulières, et d'après le préfet c'est le cas, le ministère de l'Ecologie ayant validé le principe de cette période de transition (d'après fax du préfet adressée au CRAC le 29 aout).

Notre interprétation est donc que pour l'instant l'Etat et le tandem Sicudef Enertherm n'ont pas trouvé d'accord satisfaisant sur le partage des responsabilités, nécessité par cette situation absurde de transition entre 2 autorisations temporaires, après 8 ans d'immobilisme.

- Comme on ne peut pas laisser des milliers de foyers sans eau chaude ni chauffage, quelle solution d'urgence envisagez-vous ?

- Nous ne pensons pas que cette situation soit tenable très longtemps pour ces
initiateurs. Néanmoins elle a l'avantage de prouver qu'il est possible d'arrêter cette centrale, et c'est tout ce que le CRAC attendait ! Une solution d'urgence pourrait être que tous les foyers privés d'eau chaude aillent baigner leurs enfants ou laver leur vaisselle Tour Eve à la Défense (siège du Sicudef) ou à la mairie de Puteaux, ou encore au siège social de la société Enertherm dans Paris... Plus sérieusement, on peut s'interroger sur le principe même de cette prise d'otages. Et sur ces motivations réelles.

- Que souhaitez-vous pour l'avenir ?

- Que les risques industriels et sanitaires exacts auxquels les riverains de cette installation sont soumis soient clairement identifiés, mesurés, rendus publics, et que les habitants décident en toute connaissance de cause de partir ou rester, si les protagonistes persistent dans l'absence d'étude de solutions alternatives visant soit à déplacer cette installation, soit à déplacer les 15 000 habitants du quartier Faubourg de l'Arche !


A LIRE :

- l'article du PARISIEN http://jdj.leparisien.com/jdj/Sat/HAUTSSEINE/3364097.htm
- l'article de MonPuteaux 1 MILLION D'EUROS POUR BELLERIVE du 13 août 2002

- le courrier du prêfet sur le site du CRAC

 

LA RENTREE, LA TETE DANS LES ETOILES...
samedi 31 août 2002

Comme tous les ans, les enfants et leurs parents étaient invités à la Mairie pour fêter la rentrée des classes. A chaque jeune inscrit en maternelle ou à l'école primaire, la municipalité a offert un cartable avec des cahiers, des crayons... tout ce qu'il faut pour bien apprendre en classe ! Pour l'occasion, le hall de la Mairie était transformé en cité des étoiles... peuplé d'astronautes et de créatures venues d'autres planètes. Les enfants ont pu participer à des jeux, se faire maquiller ou bien encore appendre des tours de magie... Ahhhh, si seulement l'école c'était comme ça tous les jours !!!



Une fête placée sous le signe des Etoiles...
VOIR LES PHOTOS



UN BAR DE MOINS... UNE BANQUE DE PLUS...
vendredi 30 août 2002

Le bar qui se trouve à l'angle du boulevard Richard Wallace et de la rue Jean Jaurès va bientôt fermer. A la place, c'est une agence du Crédit Lyonnais qui ouvrira.


A la place de ce bar, une agence du Crédit Lyonnais ouvrira bientôt


Avec aussi le CIC, qui s'est installé il y a quelques mois à la place d'une boulangerie à l'angle Jaurès/esplanade de la Mairie, on ne manquera vraiment pas de banquiers dans le quartier ! On compte pratiquement une dizaines d'agences différentes sur quelques centaines de mètres.




LA RENTREE POLITIQUE : LES SOCIALISTES DE PUTEAUX SE LANCENT SUR LE NET...
jeudi 29 août 2002

Inspirés peut-être par l'expérience MonPuteaux, les socialistes de Puteaux ont officiellement lancé mercredi soir leur propre site internet : www.ps-puteaux.com.

Pour son ouverture, le site militant publie la liste des emplacements des 101 caméras de vidéosurveillance que la mairie compte prochainement installer dans les rues de notre ville. Un projet sur lequel la municipalité s'est depuis le début refusée à communiquer, alors que celui-ci devrait mobiliser la bagatelle de 4 millions d'euros (plus de 25 millions de FF) rien qu'en investissement.



Dans une ville où la population est fortement informatisée et connectée au Net (Puteaux a été trés tôt cablé et ADSLisé), le web peut servir l'expression citoyenne. Je souhaite donc la bienvenue à ce nouveau site. Je sais que d'autres projets sont en cours. De cela, nous devons tous nous réjouir. Car l'Internet est bien plus qu'un immense supermarché... c'est aussi un formidable moyen pour accéder au savoir et pour faire circuler les idées..

Christophe Grébert


 

Entretien avec Madame Nadine Jeanne, Conseillère municipale de Puteaux et chargée de communication à la section PS de Puteaux :

- Quel est l'objectif de votre site ?

-
Notre but est de renforcer la présence de l'opposition municipale en accroissant sa visibilité. Nous espérons mieux faire connaître nos actions et favoriser l'émergence d'un débat démocratique à Puteaux.

- Quelles informations pourra-t-on trouver sur ps-puteaux.com ?

- On y trouvera des renseignements sur la vie de la section, sur le travail des élus, sur les questions discutées en Conseil municipal, sur les dossiers que nous avons suivis...

- Que représente le Net pour vous, en tant que militante ?

- C'est un nouvel outil de communication, mais pas seulement pour les partis. Il est intéressant parce qu'il permet une plus grande interactivité. Et aussi parce qu'il constitue une banque de données à laquelle on peut se référer.




PUTEAUX-SUR-MER AURA DU POISSON FRAIS TOUS LES JOURS...

mercredi 28 août 2002

Puteaux n'avait pas de poissonnerie (à part celles du Monoprix et des marchés). Il fallait corriger cela... c'est fait : Gilles Cohen, qui est "dans le poisson depuis 25 ans", ouvrira sa nouvelle boutique demain matin à 9 heures dans la rue Eichenberger ( juste à côté du Leader Price). Il possède déjà la "plus grosse poissonnerie du 92" à Levallois-Perret et il en inaugure une 3ème, cette semaine aussi, à Neuilly ! Autant dire que ce n'est pas un amateur. Aux Putéoliens, il promet le meilleur rapport qualité/prix, des promotions chaque jour selon l'arrivage direct des côtes françaises et hollandaises et un choix parmi
plus de 200 variétés.


Gilles Cohen : un poissonnier heureux...

Son secret : le service. Ses vendeurs seront toujours prêts à vous expliquer la provenance d'un poisson et la meilleure façon de le préparer...
La poissonnerie sera ouverte du mardi au samedi de 9h à 13h et de 15h à 19h30, le dimanche de 9h à 13h (fermeture le lundi).
A partir du 16 septembre, on pourra aussi se faire livrer son poisson, en téléphonant au 01 47 67 03 99.




1.500 JEUNES BASKETTEURS SUR LE PARVIS DE LA DEFENSE

mardi 27 août 2002

Mais que faisaient ces alpinistes, lundi, sur la façace du CNIT ? Ils étaient en train de poser l'affiche annonçant la "Nike Battleground" !



A partir d'aujourd'hui et jusqu'à dimanche, 1.500 jeunes vont s'affronter dans un tournoi de basket. Terrains et paniers ont été installés sur le parvis, entre le CNIT et les 4 TEMPS :


derniers préparatifs avant le début de la compétition

Les 50 meilleurs jeunes champions auront ensuite la chance de s'entraîner avec l'une des stars du basket : Tony Parker. Le plus jeune meneur de jeu européen de la NBA annoncera lui-même les noms des 50 sélectionnés vendredi à 18 heures. Enfin, dimanche, une SUPER FINALE opposera les meilleurs des meilleurs. L'accès est libre.

 

QUAND UN PRESSING EN CACHE UN AUTRE...
lundi 26 août 2002

Lorsque l'année dernière, Maurice Charbit, commerçant depuis plus de 25 ans dans la rue Jean Jaurès, a vu s'installer un concurrent juste à côté de chez lui, il n'en a tout d'abord pas cru ses yeux ! Et pourtant, c'était bien vrai :


2 pressings côte à côte : cherchez l'erreur !

Certains clients ont même pensé qu'il avait vendu sa boutique ou que celle-ci avait été agrandie !!! C'est en fait l'une des méthodes habituelles de certaines grosses chaînes de pressing : ouvrir une boutique à la porte d'un petit indépendant et casser les prix pour profiter d'une clientèle déjà établie. Une concurrence sauvage contre laquelle un commerçant ne peut rien faire du tout. Monsieur Charbit s'accroche... malgré une baisse de 20 pour cent de son chiffre d'affaires.

 

LA MAIRIE EMBAUCHE UN WEBMASTER POUR REPONDRE A MONPUTEAUX.COM
dimanche 25 août 2002

Depuis la création de MonPuteaux.Com, le site officiel de la Mairie de Puteaux est soudainement sorti de sa torpeur. Désormais après chaque article mis en ligne sur MonPuteaux.Com, la ville publie sa propre réponse sur www.mairie-puteaux.com.
En pleine période estivale, la municipalité a pour cela dû trouver d'urgence un webmaster !

Voici l'annonce de recrutement (publiée à cette adresse http://emploi.journaldunet.com/php/offre/offre.php?id_offre=958) :

URGENT - recherche assistant webmaster pour le service communication de la
mairie de Puteaux (Hauts-de-Seine) du 15.07.02 au 30.08.02 : revue de web, site
Internet, notes de synthèse, numérisation du journal municipal, etc
Convention de stage
Non rémunéré
Lieu : Puteaux

Il s'agit d'un stage non rémunéré. Notre ville n'a pas les moyens de se payer un webmaster ? Ce n'est pas très sérieux ! On dénonce les entreprises qui passent des conventions de stage l'été pour remplacer leurs employés partis en vacances, on attend mieux de sa municipalité.

 

PUTEAUX-CROISETTE (3eme partie)
Vendredi 23 août 2002

Après 4 mois de travaux, la circulation a été rétablie dans la rue Jean Jaurès, entre Wallace et la Mairie. Comme indiqué dans l'article du 21 août, la rue est désormais bordée d'une rangée de palmiers, les trottoirs ont été agrandis, les autos ne circulent plus que sur une seule voie et les places de stationnement ont toutes été supprimées. Par ailleurs, pour les livraisons, des horaires stricts vont être mis en place. Ca risque de bouchonner le matin !
A terme, la mairie veut réaliser une zone piétonne dans ce quartier
. Mais Jean Jaurès étant un axe important de notre ville, on voit mal comment la municipitalité pourrait décider de le fermer totalement aux voitures.

"les personnes agées ne peuvent plus traverser"

La Municipalité promet de consulter les commerçants sur ce projet. Des commerçants qui ne semblent pas particulièrement heureux : les trottoirs très hauts ne facilitent pas la tâche des livreurs et les personnes agées ne peuvent plus traverser avec leurs caddies. Plusieurs commerçants affirment que leurs chiffres d'affaires étaient déjà en forte baisse depuis le début des travaux (de -10 à -15 pour cent). Mais en pleine période estivale, il est encore trop tôt pour tirer un bilan sérieux. Alors, attendons...
Le Maire (toujours en vacances) et la présidente de l'association des commerçants (elle aussi encore en vacances) doivent s'attendre à beaucoup de travail dès leur retour !

 

PUTEAUX-CROISETTE (2eme partie)
Jeudi 22 août 2002

Dans un communiqué, qui a aussitôt suivi la publication de l'article "Puteaux-Croisette" du 21 août, la mairie affirme : "Il a été mis fin à la petitesse des trottoirs, mais pas à la petitesse d'esprit des grincheux idéologues, dévots de la médiocrité". Ces insultes me sont-elles directement adressées ? Franchement, les gens de la mairie n'ont pas grand chose à faire pour répondre -surtout de manière aussi creuse- au tout petit internaute que je suis ! J'énerve parce que je m'exprime librement ? Il faudra s'y habituer : Puteaux est aussi ma ville...


A quelques mètres des palmiers,
une autre promenade peu "poétique
" de notre ville !!!

Mais puisque la mairie se met tout d'un coup à "communiquer", j'espère qu'elle dira aussi aux contribuables (c'est à dire à nous) combien cette "promenade poétique et exotique" a coûté... Au prix du palmier, sans doute quelques dizaines de milliers d'euros... Cela fera plaisir aux Putéoliens qui habitent des logements insalubres à seulement quelques mètres de là. Qu'attend-on pour les réhabiliter ces vieux immeubles de la rue Collin ? Certains préfèreraient peut-être les raser pour construire du "Haussmannien" à la place ? :o(((((((

 

APRES PARIS-PLAGE, VOICI PUTEAUX-CROISETTE !!!
mercredi 21 août 2002

La rue Jean Jaurès a pris cet après-midi un petit air de Croisette : des camions sont venus déposer une vingtaine de Palmiers dans la partie en cours de réaménagement de la rue, entre le carrefour Wallace et l'esplanade de la Mairie.
Ces palmiers occupent les emplacements qui semblaient réservés au stationnement. Et cette occupation est définitive ! La mairie envisage de créer à terme une zone piétonne dans ce secteur. Interrogés sur les détails et les délais de ce projet, les services municipaux concernés ont répondu "qu'ils n'en savaient rien" (encore une fois, la communication n'est pas le fort de notre administration locale).



Ceux qui pestaient déjà devant la perspective de ne plus pouvoir se garer devant le Monoprix devront s'y faire et aller plus loin : les parkings de la Mairie et de la rue Mars et Roty vont être agrandis, un 3eme parking devrait être créé rue Saulnier, et à plus longue échéance un projet de nouveau parking rue du Bicentenaire (à la place de l'ancien magasin Ford) serait à l'étude. Plus de 200 nouvelles places seront mises rapidement à la disposition des automobilistes. Cela compensera donc largement la neutralisation du stationnement rue Jean Jaurès... il faudra marcher un peu, c'est tout !



Quant aux commerçants, qui n'avaient pas été prévenus de l'installation de ces palmiers, ils attendent de voir l'effet que cela aura sur le chaland ! La municipalité tente de les rassurer en affirmant (avec son habituel style alambiqué) que "cette reconquête des trottoirs offre aux Putéoliens un meilleur accès aux commerces ainsi qu’une promenade poétique et exotique à l’ombre des palmiers". Notre Maire voudrait-il copier Bertrand Delanoë ? Pourquoi pas ! Enfin une bonne idée !!!

VOS REACTIONS :

> Les palmiers, ça gèle en hiver (NB : cette variété résisterait au gel) et ça coûte cher !!! Il vaut mieux planter 100 platanes que 10 palmiers !!!! Et il vaut mieux refaire 20 trottoirs en bitume rouge avec pistes cyclables que 2 trottoirs en granit ! Christian

> la rue J. Jaurès sans places de stationnement, c'est très bien, cela rendra théoriquement la circulation plus fluide. Quant à l'aggrandissement du parking Mars et Roty, moi qui subi déjà les nuisances olfactives, sonores et visuelles de ce parking déja agrandi deux fois depuis mon installation à Puteaux, cela me rend furieux. Il m'avait semblé lire quelque part que le parking Mars et Roty devait être enterré et qu'un jardin serait créer sur la dalle de celui-ci !? En savez-vous plus ? Stéphane

 

ET SI PUTEAUX ETAIT SOUS LES EAUX ?
dimanche 18 août 2002

Les images en provenance de République Tchèque et d'Allemagne nous ont tous choquées. Et si une crue catastrophique touchait la région parisienne ? De vieilles cartes postales sont là pour nous rappeler la crue de 1910.





Tout au long du siècle dernier, des travaux ont bien entendu été réalisés sur le bassin de la Seine pour éviter qu'un tel événement ne se reproduise : des barrages et de vastes bassins de rétention ont été construits en amont de Paris.
Toutefois, l'homme ne peut pas grand chose face aux grandes catastrophes naturelles... et plus encore aujourd'hui qu'en 1910, une crue de la Seine aurait des conséquences humaines et économiques considérables.
C'est le travail de la DIREN (direction régionale de l'environnement d'Ile-de-France) de prévoir et d'annoncer les risques d'inondation. Sur son site, vous pouvez trouver des informations et des cartes. C'est l'une de ces cartes que je vous livre aujourd'hui : celle des plus hautes eaux connues sur Puteaux.



Cliquez sur l'image pour la voir en grand


Il ne s'agit pas des zones inondables... mais des zones qui ont par le passé été déjà inondées. Cette carte correspond donc à un "scénario déjà observé mais toujours susceptible de se reproduire à l'identique, voire en plus grave", explique le document de la DIREN.
Si vous habitez les rues Voltaire, Gehard, Benoit Malon, des Pavillons ou Arago... sachez qu'en cas de grande crue... vous risquez fort d'avoir les pieds dans l'eau !

Consultez le site de la DIREN : http://www.environnement.gouv.fr/ile-de-France/phecrues/default.htm

 

CHAUFFAGE URBAIN : 1 MILLION D'EUROS POUR BELLERIVE...
mardi 13 août 2002

En plein mois d'août, les résidents de Bellerive viennent de recevoir une lettre du Maire portant sur "l'affaire" du chauffage urbain. Dans ce courrier de 2 pages, Charles Ceccaldi-Raynaud annonce que la SOCLIP (la société concessionnaire du chauffage urbain à Puteaux) a bien surfacturé ses services. Le Maire avance même des montants pour les 3 copropriétés de Bellerive : plus d'un million d'euros de surfacturation sur la période 1994/2000. Il annonce que la Municipalité a mis en demeure la SOCLIP de rembourser ces sommes.
C'est la première fois que le Maire, qui est aussi le président du Syndicat Mixte de Chauffage Urbain de la Défense (SICUDEF) propriétaire de la Centrale de Courbevoie, reconnaît officiellement des faits dénoncés depuis des années par les habitants. Cette reconnaissance "estivale" arrive 2 mois seulement avant la conclusion du procès engagé contre la SOCLIP par les résidents de Bellerive.



Une partie de cette affaire remonte à 1994, lorsque la centrale CLIMADEF de Courbevoie explose. La centrale de Puteaux reprend alors du service. Elle utilise du fioul qui est à l'époque moins cher que les combustibles utilisés à Courbevoie : le gaz et le charbon. Mais la SOCLIP ne change pas ses bases de calcul. La surfacturation atteint en moyenne 30 pour cent ! Les résidents de Bellerive ont bien obtenu récemment une réindexation des tarifs... mais ce qu'ils réclament, c'est le remboursement depuis 94.
Aujourd'hui, le maire leur donne totalement raison. "Mieux vaut tard que jamais", déclare un habitant. Voyons maintenant ce que la justice décidera : RDV en octobre.

 

LE MAIRE PREND UN ARRETE QUI VISE MONPUTEAUX.COM
vendredi 9 août 2002


Après seulement 3 mois d'existence, MonPuteaux.Com subit pour la première fois les foudres de la Mairie.

Le Maire, dans un arrêté daté du 8 août, interdit désormais à tout Putéolien de pénétrer dans la salle du Conseil municipal avec un appareil photographique. Raison invoquée pour justifier cette interdiction : si une photo était prise, le flash de l'appareil pourrait gêner le travail des élus.

Je dois malheureusement avouer que cette limitation de la liberté du citoyen putéolien à se balader avec un appareil photo (y compris dans sa mairie) est de ma faute.
En effet, lors du Conseil municipal du 23 juillet, du haut de la tribune du public, j'ai photographié de loin mes élus (voir la photo du délit ci-dessous). Je précise que cette photo a été faite sans flash. Sur le moment, personne n'a remarqué que j'avais prise une photo... preuve que cela n'a gêné en rien les débats. C'est seulement lorsque je l'ai publiée sur mon site qu'une personne m'a envoyée un e-mail pour m'expliquer que j'avais "dérogé au droit" en prenant ce cliché.



Je ne savais pas que photographier ses élus en train de travailler était mal ! d'autant qu'une réunion du Conseil municipal est non seulement accessible au public, mais qu'aussi par tradition républicaine elle se tient "toutes portes ouvertes, afin que rien ne soit décidé en cachette".

En assistant aux Conseils et en vous en parlant ensuite sur ma page perso, suis-je en tort ? Ma démarche n'est-elle pas parfaitement civique et ne devrais-je pas plutôt recevoir des louanges de la part de nos représentants élus ? Tout ce qui peut contribuer à faire connaître les délibérations municipales est bon pour la démocratie locale. Et je suis fier d'y participer désormais.

Tout cela valait-il un arrêté municipal ? Que craint-on ? Quelle menace je représente ?

Ce qui gêne peut-être, c'est qu'un simple citoyen se permette d'exercer son droit le plus normal et le plus défendable : la liberté d'expression.

Mais comme justement je ne suis qu'un simple citoyen (sans organisation derrière lui, ni avocat, ni conseiller juridique... et pour tout argent que celui qu'il gagne chaque mois...), en cas de procédure judiciaire engagée contre moi (on ne sait jamais), je ne jouerai pas au martyr : je fermerai aussitôt et définitivement mon site.

Si cela devait arriver, je vous préviendrais et je le ferai savoir.

Si MonPuteaux.Com devait être fermé dans les prochaines semaines, certains parleront de victoire. Moi, je dirai que c'est la liberté qui a perdu.

Je me permets à ce propos de vous conseiller la lecture d'un livre de poche : "LE DROIT ET LA LOI ET AUTRES TEXTES CITOYENS" de Victor Hugo (éditions 10/18).

Christophe Grébert

 

LES PIGEONS PIGEONNéS...
jeudi 8 août 2002


Après plusieurs années de réflexion, le Conseil Municipal vient de voter la réalisation de 2 pigeonniers sur le territoire communal.
Les pigeons, que l'on surnomme aussi parfois les "rats avec des ailes", sont la plaie des villes : leurs déjections dégradent les bâtiments et les monuments... et ils sont soupçonnés -mais à tort- de transporter des maladies. Entre la pause de grilles de protection (pas toujours très esthétiques) et le nettoyage des façades "fientées", le pigeon coûte cher aux collectivités. Pour se débarasser "en douceur" de cette nuisance, le Conseil Général des Hauts-de-Seine incite financièrement les communes du 92 à s'équiper... de pigeonniers.

Le principe de ces pigeonniers est assez simple : on y attire les pigeons en leur offrant une demeure agréable et de la nourriture... Une fois qu'ils sont bien installés, on vient régulièrement stériliser leurs oeufs. Il suffit de laisser les couples avoir un petit de temps en temps pour qu'ils ne désertent pas l'endroit. Rapidement, la population diminue... et nos rues sont plus propres !

EN 1 AN SEULEMENT, LE NOMBRE DE PIGEONS PEUT ETRE DIVISÉ PAR 5, selon les promoteurs de cette méthode !

Une méthode qui a l'intérêt de n'être pas agressive pour les oiseaux, contrairement aux captures pratiquées par beaucoup de municipalités. Elle satisfait donc pleinement les associations de protection des animaux, avec qui les élus doivent désormais compter.

Mais construire un pigeonnier représente un investissement : 14.000 euros hors taxes pour un abris capable d'accueillir 300 à 400 oiseaux. A cet investissement de départ, il faut ajouter un minimum de 6.000 euros hors taxes en frais annuels d'entretien.


un véritable pigeon de Puteaux !

Plusieurs sociétés proposent aux municipalités des pigeonniers "clés en main" : SERVIBOIS en réalise depuis 1995. Ses pigeonniers en bois ont été adoptés par plusieurs villes des Hauts-de-Seine, notamment par Meudon, où ils ont montré leur efficacité. Mais, Puteaux semble avoir choisi une autre entreprise : PRO URBA. Spécialisée dans le mobilier urbain, cette société de Fontenay-sous-Bois fabrique depuis peu un pigeonnier qui est lui en métal. Les pigeonniers des 2 sociétés valent environ le même prix. En revanche, PRO URBA réclame 9.000 euros H.T. de coût d'entretien annuel, contre 6.000 euros H.T. pour SERVIBOIS. Il faudra consulter les devis pour voir ce qui justifie une telle différence.

LA POPULATION D'UN PIGEONNIER DEVORE 100 KILOS DE BLÉ PAR MOIS !

Installer un pigeonnier n'est pas une chose simple. L'une des difficultés est de trouver le bon endroit où les oiseaux se sentiront assez bien pour y nicher : il faut des arbres, du calme et un point d'eau à proximité (pour Puteaux, l'île serait idéale). Par ailleurs, le "rayon d'action" de ces pigeonniers n'est que de 500 mètres : avec cette solution, on ne peut donc "traiter " qu'un seul quartier... mais pas toute une ville. Enfin, parallèlement à l'installation du pigeonnier, une campagne d'information doit être menée par la municipalité auprès des personnes qui avaient l'habitude de nourrir les pigeons. Elles ne pourront plus le faire, au risque autrement de faire rater toute l'expérience. Ce sera difficile d'expliquer ça aux petits vieux dont c'est la passion !

Le Conseil Général apporte une aide d'environ 5.000 euros par pigeonnier construit. Puteaux veut en réaliser 2. Ils pourraient être inaugurés en 2003, si le dossier de subvention est accepté. Réponse en octobre.

Lire aussi l'article sur le site du conseil general : www.hauts-de-seine.net/doc.jsp?DocId=24789



LA CLE DES CHAMPS...
mercredi 7 août 2002

Puteaux au mois d'août... comme partout, c'est le désert. Mais ceux qui sont encore là, comme moi, auraient aimé pouvoir profiter un peu des jardins, parcs et places de la ville. Dommage, à voir ces quelques photos prises cet après-midi dans le bas de Puteaux, le "maître des clés" semble être parti en vacances... avec son trousseau :



à lire aussi l'article sur les nouveaux jardins de Puteaux dans la rubrique PEUX MIEUX FAIRE


L'AVENIR DE LA DEFENSE EN DISCUSSION, LUNDI, AU CONSEIL MUNICIPAL
vendredi 2 août 2002

Apres les élus de Courbevoie, le mois dernier, le conseil municipal de Puteaux se penchera lundi 5 août sur un gros dossier : l'avenir de la gestion de La Défense.
Il est proposé aux conseillers de voter contre le transfert, proposé par l'Etat, des "ailes" du domaine public de l'Epad dans celui des collectivités territoriales. Autrement dit, il s'agirait de faire peser sur le budget des 2 communes l'entretien de tous les espaces publics de La Défense qui se trouvent sur leur territoire et qui ne relèvent pas spécifiquement de la dalle. Courbevoie a voté contre. Puteaux fera donc de même.



Petite explication : en 2007, l'EPAD cessera juridiquement d'exister. Sa mission d'aménageur de La Défense sera même achevée un peu plus tôt (vers 2004), après la réalisation de 3 derniers programmes de bureaux : la tour CBX, le projet Gambetta pour Bouygues Immobilier et le Palatin II. Problème : qui succédera à l'EPAD pour gérer la dalle de 30 hectares entre le Pont de Neuilly et la Grande Arche ? On pourrait imaginer un comité de gestion regroupant Puteaux, Courbevoie et le conseil général des Hauts-de-Seine. Mais les 2 communes ne veulent pas en entendre parler.

Non seulement, l'intercommunalité n'a jamais été leur fort, mais en plus cela leur coûtera de l'argent : le budget d'exploitation de la dalle se solde chaque année par un déficit de 9 millions d'euros pour l'Etablissement Public gestionnaire du quartier d'affaires. Cependant, il ne faut pas oublier que La Défense rapporte à Courbevoie, mais surtout à Puteaux 137,2 millions d'euros par an de taxe professionnelle !

Un consensus reste à trouver entre les communes et l'Etat... chacun cherchant pour l'instant à se décharger sur l'autre de la gestion future de La Défense.

CG (à lire sur le sujet : "La Défense à la recherche d'un gestionnaire" Les Echos n° 18694 du 11/07/2002 p. 6)

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